[Table ronde] »Politiques eugénistes au Japon »

17 décembre 17:00 18:30 CET

L’Ined organise une table-ronde mardi 17 décembre 2024 de 17h à 18h30 avec la présentation de deux ouvrages : Histoire du Japon: l’économie et la population, d’Okasaki Ayanori et Eugénisme au Japon: politiques et droit de 1868 à 1996, d’Isabelle Konuma. Les discussions auront lieu avec Bernard Thomann et Frédéric Roustan.

Lieu : Humathèque du Campus Condorcet, auditorium Françoise Héritier, 10 cours des Humanités, 93001 Aubervilliers.

Campus Condorcet

10 cours des Humanités
Aubervilliers, 93001 France
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[Parution] »Eugénisme au Japon – Politiques et droit de 1868 à 1996″, Isabelle Konuma, Ined éditions, 2024

Isabelle Konuma a le plaisir de vous annoncer la parution de son livre : 

Eugénisme au Japon – Politiques et droit de 1868 à 1996, Ined éditions, 2024.

L’Ined organise une table-ronde mardi 17 décembre 2024 de 17h à 18h30 (Humathèque du Campus Condorcet, auditorium Françoise Héritier, 10 cours des Humanités, 93322 Aubervilliers Cedex). Les discussions auront lieu avec Bernard Thomann et Frédéric Roustan.

C’est au début de l’ère Meiji que le Japon s’empare réellement des questions de santé publique. Influencés par les concepts sur l’hérédité qui se déploient alors en Occident, les gouvernements successifs vont mettre en place des politiques ouvertement eugénistes, dans le but d’« améliorer la race japonaise ». 

Face à la nécessité de structurer le corps médical, les différents gouvernements tentent d’établir un système de santé comparable à celui des puissances occidentales. À cette époque, les concepts eugénistes du Britannique Francis Galton se diffusent progressivement dans les milieux scientifiques et intellectuels japonais, et vont fortement influencer les politiques mises en place notamment pour encadrer les pratiques abortives, jusqu’à aboutir, en 1948, à la promulgation de la loi relative à la protection eugénique. Loin de se cantonner au pouvoir, le mouvement eugéniste japonais devient un étendard qui rassemble des hommes et des femmes aux parcours divers (généticiens, féministes, politiciens, etc.), tous unis par une même volonté : celle d’« améliorer la race japonaise » et d’en assurer sa pérennité.
Ainsi, après la guerre, cette politique fut renforcée et étendue à l’aide par exemple du planning familial, dans le but de reconstruire le pays. Ce n’est qu’à partir des années 1990 qu’un réveil progressif se fait jour et que les pratiques eugénistes sont remises en question.
L’ouvrage d’Isabelle Konuma explore ces politiques eugénistes et la législation singulière qui en découla, marquée par des périodes de restriction des naissances et d’incitation à la procréation. Il décrit en détails cet eugénisme protéiforme, modelé par des problématiques vernaculaires, et apporte un éclairage indispensable sur cette histoire peu connue.

  • Introduction
  • Partie I : Les fondements de l’eugénisme (1868-années 1920)
  •  Chapitre 1 : Réglementer l’avortement par le corps professionnel et le droit pénal
  • Chapitre 2 : L’eugénisme face à la restriction des naissances
  • Partie II : La mise en place législative d’un eugénisme scientifique et restreint (1930-1948)
  • Chapitre 3 : Régime nataliste et eugénisme
  • Chapitre 4 : La loi eugénique nationale (1940)
  • Partie III : Un eugénisme large aux côtés du planning familial (1948-années 1970)
  • Chapitre 5 : La loi de protection eugénique (1948)
  • Chapitre 6 : Le nouveau Japon : rationaliser la reproduction
  • Chapitre 7 : Le planning familial est-il un modèle eugéniste ?
  • Partie IV : Le temps des débats et des contestations (années 1970-1996)
  • Chapitre 8 : Les échecs des tentatives de réforme de la loi de 1948
  • Chapitre 9 : Le choc du 1,57 et la suppression de l’eugénisme législatif 
  • Conclusion : L’eugénisme a-t-il disparu au japon
  • Bibliographie

[Appel à communications] Groupe d’étude de philosophie japonaise, propositions à envoyer avant fin décembre 2024

Groupe d’étude de philosophie japonaise

Institut Français de Recherche sur l’Asie de l’Est, Inalco, Université Paris Cité, CNRS 

Appel à communication 

Si vous êtes doctorant, étudiant en M2 ou chercheur attaché à un laboratoire de recherche et si vous vous intéressez à un philosophe ou un penseur japonais, ou si le thème de votre travail a des rapports, d’une manière ou d’une autre,  à la philosophie japonaise, votre communication sera la bienvenue.  Elle peut également être le compte-rendu d’un travail en cours. 

Les séances seront constituées de deux exposés d’environ 40 minutes suivis d’une discussion.  

Si vous le souhaitez, envoyez le titre et le résumé de l’exposé, 1 page A4, avant la fin décembre 2024 à : 

Takako SAITO : takako.saito@inalco.fr

Akinobu KURODA : akinobukuroda@gmail.com

Arthur MITTEAU: arthur.mitteau@univ-amu.fr

Simon EBERSOLT : simon.ebersolt@gmail.com

Yukiko KUWAYAMA : yukiko.kuwayama@inalco.fr

[Parution] « Kawase Hasui, le poète du paysage », par Brigitte Koyama-Richard

Parution de Kawase Hasui, le poète du paysage, aux éditions Nouvelles éditions Scala, par Brigitte Koyama-Richard. Informations sur ce lien.

Brigitte Koyama-Richard a publié de nombreux ouvrages sur le Japon et notamment aux Nouvelles éditions Scala : Les Estampes japonaises (2014), Jeux d’estampes (2015), Beautés japonaises (2016), Yôkai, fantastique art japonais (2017), Le Japon à Paris (2018), Histoire d’une souris qui a réussi dans la vie (2018), Animaux dans la peinture japonaise (2020), Shin hanga. Les  estampes japonaises du XXe siècle (2021) et Tôkyô, nouvelle capitale (2022).

[Appel à communications] Association interdisciplinaire des ethnographies japonaises, limite d’envoi 5 janvier 2025

Quatrièmes rencontres de l’Association interdisciplinaire des ethnographies japonaises
Dates : Vendredi 7 mars 2025
Lieux : Inalco (Salle de Silvestre de Sacy/ Auditorium Dumézil) + distanciel

Comité d’organisation :
Aurélien Allard (UDL/ULB)
Jean-Michel Butel (INALCO)
Manon Grenet (INALCO)
Jean-Christophe Helary (CRESCO)
Aline Henninger (UO)

Présentation :
Fondée en 2021, par des chercheurs appartenant à différentes institutions, en France et hors de France, et spécialistes de différentes disciplines (anthropologie, sociologie, géographie, sciences politiques, histoire…), l’Association interdisciplinaire des ethnographies japonaises souhaite jouer le rôle d’espace d’échange pour les chercheurs utilisant une pratique de terrain dans le cadre de leur recherche. Le terrain est compris dans une acceptation large, à la croisée de plusieurs disciplines.

Elle anime pour ce faire une journée d’étude annuelle consacrée à la présentation des terrains en cours. Celle-ci est ouverte à toutes et tous, jeunes chercheurs comme vétérans, dès lors que l’ethnographie joue un rôle central dans leur recherche. Pour cette quatrième édition, nous souhaitons tout particulièrement donner une opportunité aux chercheuses et chercheurs qui ont pu retourner au Japon au cours des années 2023 et 2024 de venir présenter leurs terrains récents.

Les objectifs de ces rencontres sont multiples : effectuer un état des lieux des enquêtes récentes et des projets à venir ; poursuivre les collaborations nouées au cours de ces journées ; ouvrir une fenêtre aux étudiants de Master intéressés par l’ethnographie appliquée au Japon ; et mettre en avant la diversité des études de terrain menées au Japon, au croisement de plusieurs disciplines. Par ailleurs, la journée sera ponctuée par la projection d’un film documentaire, fruit d’un travail de terrain.

Chaque intervenant disposera de 15 minutes pour présenter ses travaux, suivies de 15 minutes de discussion avec les autres participants. Une table ronde réunira tous les participants en fin de journée avant la projection du film.
Une solution hybride sera mise en place pour accueillir les chercheurs ne pouvant se rendre à Paris à la date choisie.
Planning :

  • Novembre 2024 : diffusion de l’appel à contribution
  • 5 janvier 2025 : fin de la réception des propositions d’intervention
  • 10 janvier 2025 : réponse aux propositions
  • 7 mars 2025 : Rencontres
    Les propositions d’intervention devront présenter un titre, un résumé de l’intervention d’une dizaine de lignes, des mots-clés, ainsi que les informations administratives de la personne candidate.
    Les propositions sont à envoyer à : aline.henninger@univ-orleans.fr ; aurelien.allard@univ-lille.fr.
    Plus d’informations sur l’Association et ses activités : https://terrainjapon.hypotheses.org

Appel à télécharger sur ce lien.

[Soutenance de HDR] Laurent Nespoulos, 2 décembre 2024 à partir de 14h30, Inalco, Paris

Laurent Nespoulos a le plaisir de vous annoncer (enfin !), la soutenance de son dossier en vue de l’obtention du diplôme d’habilitation à diriger des recherches, le lundi 2 décembre 2024 à partir de 14h30, en salle 4.24 du PLC (pôles des langues et civilisations) de l’Inalco au 65 rue des Grands Moulins à Paris.

Son dossier se compose de deux éléments principaux. L’un intitulé « L’Histoire par en dessous Le Japon dans tous ses États », qui constitue la synthèse critique de son parcours depuis la soutenance de sa thèse en décembre 2007. L’autre, intitulé « Avant les paysans », essai revenant sur la place et le sens à accorder aux sociétés « non agraires », notamment celles de l’archipel.

Le jury réuni pour ce travail est le suivant :

Garant :

M Emmanuel LOZERAND, Professeur des Universités, INALCO

MEMBRES DU JURY :

Mme Estelle BAUER, Professeurs des Universités, INALCO

Mme Françoise BOSTYN, Professeurs des Universités, Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne

M Jean-Paul DEMOULE, Professeur émérite, Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne

M François MACÉ, Professeur honoraire, INALCO

M Christophe MARQUET, Directeur d’études, École Française d’Extrême-Orient

M Nathan SCHLANGER, Directeur d’Études, École nationale des Chartes

[Appel à contributions] Numéro 63 de la revue Ebisu « Produire et vendre les livres et les auteurs au Japon », date limite 15 janvier 2025

Nous avons le plaisir de vous communiquer l’appel à contributions pour le numéro 63 de la revue Ebisu. Études japonaises, intitulé « Produire et vendre les livres et les auteurs au Japon » et coordonné par César Castellvi et Thomas Garcin.

Les propositions d’articles sont à envoyer à l’adresse ebisu@mfj.gr.jp avant le 15 janvier 2025, et les articles complets sont attendus pour le 15 septembre 2025 (instructions détaillées sur ce lien).

« Produire et vendre les livres et les auteurs au Japon »


Alors que l’étude de texte et l’analyse littéraire ont longtemps joué un rôle majeur dans les études japonaises, la production matérielle du livre, l’industrie de l’édition, les circuits symboliques et marchands qui structurent la carrière des auteurs et décident du destin de leurs ouvrages ont été relativement peu étudiés dans le champ académique, en particulier pour la période contemporaine. Comme partout ailleurs, ce secteur traverse pourtant des bouleversements sans précédent en raison de l’évolution du lectorat et du développement de nouveaux formats ou de nouvelles pratiques de lecture.

Le principal objectif de ce dossier spécial de la revue Ebisu. Études japonaises est de combler ce manque en présentant des travaux qui peuvent s’inscrire dans des domaines de recherche divers : économie, études littéraires, histoire, sciences juridiques, sociologie, etc. Il sera ici question de penser les livres et les auteurs, leurs productions, leurs images et leurs diffusions en partant de quelques grandes questions structurantes : qui produit les livres au Japon ? Qui les promeut ? Quel rôle est donné aux auteurs – qu’ils soient romanciers, universitaires, essayistes, journalistes, sportifs, artistes, etc. – dans ce processus ? Dans quelle mesure deviennent-ils eux-mêmes, et de façon croissante, un produit, voire une marque ? Quelles sont les étapes qui mènent à la vente en librairie d’un ouvrage (édition, fabrication, diffusion, etc.) ou à son référencement en bibliothèque ? Comment ces procédés ont-ils évolué ou changent-ils aujourd’hui avec le tournant numérique, la transformation des espaces dédiés au livre ou la place croissante de l’intermédialité (soit la porosité croissante entre le livre et d’autres médias : presse, films, séries télévisées, jeux vidéos, etc.) ? 

Des contributions appartenant à des champs de recherches divers sont attendues, dès lors qu’elles reposent sur des analyses originales. Elles peuvent se rattacher à l’un des trois axes exploratoires suivants, sans que ces derniers soient exhaustifs : 

Les livres, leur matérialité et l’évolution de leurs contenus : il peut s’agir de contributions qui analysent l’évolution des formats au cours du XXᵉ siècle et du premier quart du XXIᵉ siècle, ou se consacrent aux changements de chartes graphiques et de techniques typographiques, aux lieux de vente et au maillage territorial de la diffusion du livre au Japon, à l’adaptation de nouveaux modes de lecture (livres numériques, livres audio, etc.) sur de nouveaux supports (liseuses, écrans connectés), à la naissance de nouveaux modes de création (écriture collaborative en ligne, auto-édition) et de nouveaux genres (émergence des essais de développement personnel, de la Feel-good Literature, etc.)

Les auteurs, leurs statuts et leurs stratégies promotionnelles : seront accueillies avec intérêt les contributions s’intéressant aux relations entre mondes médiatique et littéraire, aux tactiques mises en place par les écrivains pour gagner en visibilité et construire leur réputation, au rôle des traductions dans les processus de légitimation (individuels ou collectifs), ou également aux transformations ou postures de l’auteur en tant qu’intellectuel dans l’espace public (réel ou virtuel). Les contributions concernant la question du statut juridique des auteurs et de leurs productions seront aussi les bienvenues. 

Le personnel de renfort de la chaîne de production du livre : sont attendues ici des contributions touchant aux différents groupes professionnels qui, en dehors des auteurs, permettent au monde de l’édition de fonctionner : éditeurs, imprimeurs, agents littéraires, diffuseurs, distributeurs, libraires (physiques et en ligne), bibliothécaires ; et, du côté de la prescription : critiques professionnels et universitaires, jurés des prix, journalistes (presse ou revues spécialisées), autres prescripteurs amateurs (influenceurs littéraires, blogueurs), etc.

Les propositions de traduction ou de recension d’ouvrage en langues anglaise et japonaise se rattachant à la thématique du dossier sont bienvenues. 

[Journée d’étude] »Comment intégrer de façon différenciée la traduction automatique neuronale (TAN/NMT) aux pratiques pédagogiques de l’enseignement de la traduction technique, audiovisuelle, littéraire…? »

12 décembre 09:00 17:00 CET

Mayumi Shimosakai a le plaisir à vous annoncer la tenue de la journée d’étude « Comment intégrer de façon différenciée la traduction automatique neuronale (TAN/ NMT) aux pratiques pédagogiques de l’enseignement de la traduction technique, audio-visuelle, littéraire… ? » à l’université d’Orléans le 12 décembre 2024. Vous trouverez les informations en cliquant sur ce lien :

Si vous souhaitez y assister en ligne, merci de me contacter pour que je puisse vous communiquer le lien ; mayumi.shimosakai@univ-orleans.fr

[Projection débat] Film 1923 Kantō Massacre

29 novembre 17:30 21:30 CET

En lien avec l’équipe de recherche Populations japonaisesFenêtres sur le Japon organise une projection-débat autour du film 1923 Kantō Massacre [1923 간토대학살, Le Massacre du Kantō de 1923], de KIM Tae-yeong et CHOI Gyu-seog.

Ce documentaire coréen (2024, VOST anglais) consacré au massacre de Coréens après le séisme du Kantō (1er septembre 2023) sera projeté vendredi 29 novembre 2024 (17 h 30 – 21 h 30) dans l’auditorium de l’INALCO (65 rue des Grands Moulins, Paris 13e).

La projection sera introduite par l’historienne Jinhee Lee (université de l’Illinois de l’Est, États-Unis), qui est aussi la productrice créative du film. Elle sera suivie d’une discussion avec le réalisateur KIM Tae-yeong, le co-réalisateur CHOI Gyu-seog et Jinhee Lee.

L’entrée est libre et gratuite dans la limite des places disponibles.

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→ Contact

projections@fenetres-japon.fr

→ Synopsis

Ce documentaire reconstitue le déroulement du massacre des Coréens, principalement dans la région de Tokyo et Yokohama, après le Grand Tremblement de terre du Kantō, le 1er septembre 1923. Il se fait aussi l’écho des efforts déployés par des associations, des membres des familles endeuillées et des personnalités politiques pour que soit accordé à cet épisode sombre du vingtième siècle la place qui lui revient dans l’histoire et la mémoire nationale.

→ Données techniques

Titre en coréen : 1923 간토대학살
Titre en japonais : 1923 Kantō dai gyakusatsu [1923関東大虐殺]
Réalisateur : KIM Tae-yeong [김태영]
Co-réalisateur : CHOI Gyu-seog [최규석]
Année : 2024
Durée : 116 min.
Pays : Corée/Japon
Langue : japonais, coréen, anglais
Narration et sous-titres : anglais

→ Le réalisateur

Né en 1958 à Séoul, KIM Tae-yeong est un scénariste, réalisateur et producteur coréen. Diplômé de l’Institut des arts de Séoul, il se fait remarquer en tournant des courts-métrages indépendants. En 1987, il réalise le premier film traitant du soulèvement de Gwangju, Une annonce de Monsieur Kant [Kanteu-ssi ui balpyohoe 칸트씨의 발표회], sélectionné dans la section Forum de la 38ᵉ Berlinale. L’année suivante il écrit, produit et réalise son premier long-métrage Terrain vague [Hwangmuji 황무지]. Ce récit d’un déserteur déployé lors des événements du 18 mai 1980 à Gwangju est bientôt saisi et interdit par le gouvernement, provoquant un vif émoi au sein de la société sud-coréenne. Dans les années 1990 il travaille dans l’industrie audiovisuelle. Après la diffusion de son documentaire La Guerre du Vietnam, 17 ans après [Beteunam jeonjaeng, geu hu sipchil nyeon 베트남 전쟁, 그 후 17 년] réalisé en 1992, il fonde sa société de production Indecom avec laquelle il produit des documentaires historiques, culturels et sociétaux pour l’audiovisuel public. Il produit également le blockbuster 2009 Lost Memories [2009 roseuteu memorizeu 로스트 메모리즈], film d’anticipation explorant l’altération de l’histoire. En 2003, alors qu’il travaille sur la production de la première comédie musicale coréenne, Mr. Lady [Miseuteo reidi 미스터 레이디], il est victime d’un AVC après l’annulation du projet et se retrouve en invalidité de 3ᵉ catégorie. Après des années d’interruption de travail, il revient à la réalisation en 2015 avec Kim’s Dilkusha – Life Goes On [O pal gaetti mongsanggi Dilkusha 58개띠 몽상기 딜쿠샤] inspiré de son propre parcours de vie. 1923 Kantō Massacre est son dernier long-métrage documentaire.

[Séminaire] »Les réformes éducatives menées depuis le gouvernement Koizumi. Autour de « Loyauté et patriotisme (le retour). Éducation et néo-conservatisme dans le Japon du XXIe siècle »

28 novembre 09:30 11:30 CET

La prochaine séance du séminaire du Groupe d’Étude sur le Politique au Japon (GEPJ) aura lieu jeudi 28 novembre, de 9h30 à 11h30 (heure française), autour de la présentation suivante :

“Les réformes éducatives menées depuis le gouvernement Koizumi. Autour de “Loyauté et patriotisme (le retour). Éducation et néo-conservatisme dans le Japon du XXIe siècle”” par Aline HENNINGER (Université d’Orléans)

L’affiche de la séance est disponible sur le carnet de recherche du groupe, à l’adresse : https://seiji.hypotheses.org/850

Cette séance se tiendra uniquement en ligne (via ZOOM). 

Le formulaire d’inscription : https://forms.gle/aZjPmZij1ugMccWs8