Poste / Recrutement d’un ATER au département d’études japonaises de l’Inalco (date limite : 9 mai 2021)

Le département d’études japonaises de l’INALCO ouvre un appel à candidature pour un poste d’ATER à temps plein. 

La fiche de poste est disponible ici (http://www.inalco.fr/concours-recrutement/recrutement-ater-langue-civilisation-japonaises-0), ainsi que sur la plateforme Galaxie (Altaïr). 

La date limite pour postuler est fixée au 9 mai. 

Contact :
jean-michel.butel (arobase)inalco.fr 
yayoi.nakamura(arobase)inalco.fr

Appel à communications / colloque « Fuir les nazis : les exils bénis de l’Asie ? », 21-23 octobre 2021

Appel à communications dans le cadre du colloque « Fuir les nazis : les exils bénis de l’Asie? », organisé du 21 au 23 octobre 2021 par l’Université Montpellier III.

Résumé

Cette rencontre s’inscrit dans la continuité du colloque de l’université franco-allemande (UFA) Montpellier-Weimar organisé en 2014 à Berlin « Construction des mythes de héros de guerre (Allemagne, France, Japon) » publié en 2017 au Leipziger Universitätsverlag. Après avoir étudié les ambivalences dans la construction des « héros guerriers », ce nouveau colloque s’intéresse cette fois à deux autres ambivalences associées à la deuxième guerre mondiale : celles du positionnement de certains États d’accueil vis-à-vis des exilés fuyant le nazisme et de « l’éthique de survie » des exilés eux-mêmes.

Plus d’informations disponibles sur Calenda =>ici.

Modalités pratiques d’envoi de propositions

Remise des propositions pour le 30 juin 2021

(résumé d’intention de 300 mots maximum accompagné d’une succincte présentation biobibliographique indiquant le rattachement institutionnel)

à adresser aux organisateurs de l’IRIEC (UPV Montpellier) et Lille :

Réponse fin juillet 2021

Langues des contributions : français, allemand, anglais, japonais

Envoi des résumés élargis de communication avec titre définitif pour le 15 septembre 2021 SVP

N.b. La publication du colloque est prévue en 2022 et donnera lieu à d’autres manifestations.

Lieux

Université Paul Valéry Montpellier III – Route de Mende  
Montpellier, France (34) 

Contacts

  • Philippe Wellnitz
    courriel : philippe [dot] wellnitz [at] univ-montp3 [dot] fr
  • Toshio Takemoto
    courriel : toshio [dot] takemoto [at] gmail [dot] com

Poste / Recrutement d’un ATER à la section d’études japonaises de l’Université de Paris pour l’année 2021-2022 (date limite : 4 mai 2021)

La section d’études japonaises de l’Université de Paris (ex-Paris-Diderot) ouvre un appel à candidature pour un poste d’ATER à plein (poste susceptible d’être vacant). 

La fiche de poste est disponible ici.

Le poste est référencé sur Galaxie sous le nom PH-LCAO-1. Les candidats doivent s’inscrire sur Galaxie, puis envoyer leurs pièces justificatives par mail (procédure détaillée sur Galaxie).

La date limite pour postuler est fixée au 4 mai à 16h. 

Contact : Anne-Lise.Mithout@univ-paris-diderot.fr

Poste / Recrutement d’un ATER à la section de japonais de l’Université de Lille pour l’année 2021-2022 (date limite : 30 avril 2021)

Recrutement d’un ATER à la section de japonais de l’Université de Lille pour l’année 2021-2022

La section de japonais de l’université de Lille recrute un ATER susceptible d’enseigner en cours de langue et en cours de civilisation L1.
Le n° de poste Galaxie est  AT_15LLCE3
La candidature doit se faire dans un premier temps sur Galaxie (date limite : 30 avril), puis les candidats devront déposer les pièces du dossier sur l’application de l’université  « ESUP DEMAT« .  
Vous trouverez la fiche de poste ici et de plus amples informations sur le site de l’université.

Colloque / 17e colloque sur l’enseignement du japonais de l’Association des enseignants de japonais en France 第17回フランス日本語教育シンポジウム (10-11 juin 2021)

Colloque / 17e colloque sur l’enseignement du japonais de l’Association des enseignants de japonais en France 第17回フランス日本語教育シンポジウム (10-11 juin 2021)

L’Association des enseignants de japonais en France (AEJF) organise en ligne son 17e colloque sur la thématique « Penser une « conception universelle de l’apprentissage (Universal Design for Learning) » : comment rendre les enseignements plus inclusifs » (学びのユニバーサルデザインを考える― インクルーシブ教育のためにできること ―).

Le colloque au lieu les 11 et 12 juin 2021.

Vous pouvez consulter les informations relatives à celui-ci sur le site web du colloque.
Le programme détaillé sera affiché au mois de mai.

Il est nécessaire de s’inscrire au préalable sur cette page à partir du 15 avril.

Contact : aejf2020@gmail.com

Poste / Recrutement de deux ATER au département de japonais de l’Université de Strasbourg pour l’année 2021-2022 (date limite 23 avril 2021).

Recrutement de deux ATER au département de japonais de l’Université de Strasbourg pour l’année 2021-2022

Le département de japonais de l’Université de Strasbourg lance une campagne d’appels à candidature pour l’exercice des fonctions d’Attachés temporaires d’enseignement et de recherche (ATER) au titre de l’année universitaire 2021-2022, en vue d’une prise de fonctions au 1er septembre 2021, 1er octobre 2021 ou 1er novembre 2021, selon les besoins de l’établissement. Les appels à candidature sont publiés sur l’application ministérielle ALTAIR.

Les deux postes sont publiés sur Galaxie, sous les n° 4978 et 4979
https://www.galaxie.enseignementsup-recherche.gouv.fr/ensup/ATERListesOffresPubliees/ATEROffres_publiees_TriParSection.html

Dates limites pour les candidatures : 23 avril 2021


Page dédiée aux candidatures d’ATER sur le site de l’université de Strasbourg :
https://www.unistra.fr/recrutement/personnels-enseignants/attaches-temporaires-denseignement-et-de-recherche-ater

Conférence / « Studying Women and Networks in the Late Tokugawa Period. The Case of the Rai Family », Bettina Gramlich-Oka, EFEO (23 avril 2021, 11h heure de Paris / 18h heure de Tokyo)

L’EFEO/ISEAS Kyoto organise régulièrement des événements académiques (conférences, journées d’étude).

Les activités du centre figurent sur l’agenda de l’EFEO qui est consultable en ligne (https://www.efeo.fr/), sur notre page Facebook (https://www.facebook.com/efeokyoto/) ou sur le site de la Scuola italiana di studi sull’asia orientale (ISEAS ; https://iseas-kyoto.org/).

Une conférence est au programme en avril. Elle se tiendra uniquement en ligne.

Ces événements sont ouverts à tous. N’hésitez pas à transmettre l’information à vos étudiants et collègues. 

Kyoto lectures : 

– Bettina Gramlich-Oka (université Sophia) présente la conférence : Studying Women and Networks in the Late Tokugawa Period. The Case of the Rai Family

Vendredi 23 avril à 18h (heure du Japon) sur la plateforme Zoom. Kyoto Lectures: Studying Women and Networks in the Late Tokugawa Period | Facebook

Le lien ainsi que le mot de passe permettant de se connecter seront affichés sur le blog du Centre de Kyōto et sur le site internet de l’ISEAS la veille de la conférence (le 22 donc).

Parution / « Une Merveille de l’histoire, le Japon vu par Elisée Reclus et Léon Metchnikoff »

Titre

Une Merveille de l’histoire, le Japon vu par Elisée Reclus et Léon Metchnikoff

Auteur

Philippe Pelletier

Editeur

Presses universitaires de la Sorbonne

Date de publication

29 avril 2021

Nombre de pages

214 pages

Présentation

Au milieu du XIXe siècle, le Japon connaît des bouleversements intenses. La féodalité est abolie, un État-nation moderne est construit avec le retour de l’empereur sur le devant de la scène. S’agit-il d’une restauration monarchique ou bien d’une révolution ?

Deux géographes anarchistes, compagnons de Bakounine, apportent à cette question une réponse originale, surtout si on la compare à la vision des autres visiteurs du Japon qui, à cette époque, sont essentiellement des diplomates, des militaires, des négociants, des missionnaires ou des voyageurs souvent conservateurs.

L’un, Léon Metchnikoff (1838-1888), a été invité à Tōkyō par les dirigeants du nouveau régime en vertu de ses talents polyglottes et de son passé garibaldien. L’autre, Élisée Reclus (1830-1905), bénéficie des connaissances de son ami, parmi de nombreuses autres ressources, pour rédiger le volume consacré au Japon et à l’Asie orientale au sein de sa monumentale Nouvelle géographie universelle, puis certains passages de L’Homme et la Terre, sans jamais se rendre lui-même dans le pays.

Élisée Reclus, dans son analyse du Japon de Meiji, traite de sujets sensibles comme les « races », les « civilisations » ou le « péril jaune », et propose une analyse souvent ponctuée de remarques visionnaires. Libre de toute approche dogmatique et sans préjugés de classe ou de race, il replace le Japon, et plus largement l’Extrême-Orient, dans un cadre géopolitique et métagéographique mondial qui transcende la classique dichotomie Orient-Occident.

Lien vers la couverture du livre ici.

Lien vers la page du livre sur le site de l’éditeur ici.

Parution / « Les yeux de la ville – Vigilance et lien social France-Japon, analyses croisées »

Titre

Les yeux de la ville – Vigilance et lien social France-Japon, analyses croisées

Auteure

Naoko Tokumitsu-Partiot

Editeur

Hémisphères Éditions – Maisonneuve & Larose

Date de publication

Avril 2021

Nombre de pages

568 p.

Présentation

En réponse à un sentiment croissant d’insécurité, les actions de prévention initiées par des particuliers se multiplient. Ce livre étudie leur récent développement à l’échelle du quartier, en France et au Japon, et en propose une analyse croisée entre les deux pays.

Car, tout en accordant de l’importance au lien social, la France et le Japon adoptent des approches contrastées. Ainsi, en France, ce type d’action est surtout le fait d’agents formés ou rémunérés, alors qu’au Japon, le nombre de bénévoles chargé du maintien de l’ordre a été en augmentation. Dans le cadre de pratiques telles que les « médiateurs de rue » et les « voisins vigilants » en France, et les groupes d’habitants au Japon, le fait que la prévention tende à trier les citoyens au nom de valeurs considérées comme autant de « biens » du quartier transparaît notamment, au Japon, dans les actions des habitants pour la « fabrique de la ville» (machi-zukuri); tandis qu’en France, les liens sociaux représentent surtout un outil à disposition d’agents spécialisés.

Revêtant une portée d’éducation morale, le quartier japonais peut alors apparaître, en contraste avec le cas français, comme une forme de famille visant à se substituer à la famille contemporaine jugée défaillante, sur fond de réappropriation de la notion de tradition, considérée comme une charnière dans un contexte de délitement des liens sociaux au sein de la famille.

Plaquette de présentation ici.

Lien vers le site de l’éditeur ici.

Colloque / « Crises, fractures, nouvelles dynamiques. Dix ans après les catastrophes du 11 mars 2011 », Maison franco-japonaise (9-10 avril 2021)

Crises, fractures, nouvelles dynamiques. 
Dix ans après les catastrophes du 11 mars 2011

En ligne
Traduction simultanée en français et en japonais
Une inscription distincte est nécessaire pour chacun des deux jours.

Vendredi 9 avril 2021, 9 h – 13 h (heure française), 16 h – 20 h (heure japonaise) :  www.mfj.gr.jp/agenda/2021/04/09/dix_ans_apres/

Samedi 10 avril 2021, 9 h – 12 h (heure française), 16 h – 19 h (heure japonaise) :  www.mfj.gr.jp/agenda/2021/04/10/dix_ans_apres/

Intervenants : Nicolas BAUMERT (univ. Nagoya), Tino BRUNO (univ Kyoto Sangyō), CHŪJŌ Chiharu (univ. Lyon 3), Christine FASSERT (CETCOPRA Paris 1 Sorbonne), IMAMURA Fumihiko (univ. de Tōhoku-IRIDES), Paul JOBIN (Academia Sinica), KANEBISHI Kiyoshi (univ. Tōhoku gakuin), KAMATA Satoshi (journaliste), KATAOKA Terumi (Aizu Radiation Information Center), Magali REGHEZZA-ZITT (ENS-Paris), Léo MARTIAL (univ. nationale de Yokohama), MIYAKE Satoshi (univ. d’Iwate), Philippe PELLETIER (univ. Lumière Lyon 2), Rémi SCOCCIMARRO (univ. Toulouse-Jean Jaurès)

Modérateurs : Anne GONON (univ. Dōshisha), MIURA Nobutaka (Conseiller d’honneur de la Fondation MFJ), Rémi SCOCCIMARRO (univ. Toulouse-Jean Jaurès)

Organisation : IFRJ MFJ
Parrainage : Toshiba International
Soutien : univ. Dōshisha
Collaboration : Fondation MFJ 

Dix ans auront passé au printemps 2021, depuis les catastrophes qui ont frappé le Nord-Est du Japon, le 11 mars 2011. Cet évènement, inédit (survenue simultanée d’un séisme, d’un tsunami et d’un accident nucléaire), a eu une portée nationale et internationale. Chacune de ces catastrophes a agi comme un révélateur d’aspects fondamentaux de la société japonaise, de ses forces et de ses points de faille, dans les domaines de la gestion de crise, de la prise en charge des populations, de l’aménagement du territoire. Fort de son expérience dans le traitement des séismes et des tsunamis, voire même du nucléaire puisqu’il cherche à concilier nucléaire civil et renoncement absolu au nucléaire militaire, le Japon pouvait se poser en modèle et en prescripteur au reste du monde. 
   Nous considérons pour ce colloque qu’il y a unicité de la catastrophe : on ne peut véritablement séparer « Fukushima » du tsunami et inversement, traiter l’un en ignorant l’autre. Un des objectifs sera d’apporter une meilleure compréhension de ces catastrophes et de leur portée, avec le recul désormais acquis. Nous nous ancrons délibérément dans les sciences humaines et sociales, qui ont été bien peu présentes dans les analyses de cet évènement. Or, entre les faibles ou les fortes doses radioactives, entre la tectonique des plaques et le taux de résistance du béton, il y a la société japonaise, avec ses composantes diverses, dynamiques dans le temps et l’espace, qui a co-produit la catastrophe et l’a subie en retour.
   Organisé en trois temps, « Compréhension de la catastrophe », « Reconstruction des territoires et des communautés » et « politique énergétique et questions nucléaires », ce colloque accueille des chercheurs, français et japonais, impliqués dans des travaux de long terme sur les différentes dimensions de la catastrophe du 11 mars. 
   Lors de ces dix années les régions les plus durement frappées ont bénéficié de vastes plans de reconstruction qui sont en passe de s’achever. Comment et pourquoi a-t-on reconstruit ? Qu’en est-il des territoires et des populations qui vivent désormais avec la contamination radioactive ? Peut-on parler, sur le plan des sciences sociales, d’un « après Fukushima » et pourquoi ce toponyme est-il désormais revêtu d’une aura particulière et d’un pouvoir médiatique si puissant ?
   Autant de questions auxquelles les interventions tenteront de répondre, avec pour objectif de proposer un panorama large et pertinent, que ce soit du point de vue de la connaissance du Japon, des enjeux que doivent affronter les sociétés contemporaines, et leurs populations, qui se découvrent vulnérables aux évènements extrêmes qui touchent le monde.