[Parution] « Immediacy in Contemporary Japanese Literature and Popular Culture », Filippo Cervelli

Filippo Cervelli a le plaisir de vous informer que son ouvrage en anglais Immediacy in Contemporary Japanese Literature and Popular Culture vient de paraître aujourd’hui chez Routledge.

Fruit de plusieurs années de recherche, ce livre analyse les représentations d’un présent exagérément étendu et d’un passé et d’un avenir en voie de disparition dans la littérature, les mangas, les animes et les théories culturelles depuis les années 1990.

Si vous envisagez d’en acheter un exemplaire pour votre bibliothèque universitaire (et peut-être de l’ajouter à vos cours), ou pour vous-même, peut-être dans la version ebook, qui est beaucoup moins chère, vous pouvez bénéficier d’une réduction de 20 % sur le prix de vente en utilisant ce code : 25ESA1.


Si vous souhaitez organiser un lancement de livre, n’hésitez pas à contacter Filippo Cervelli par courriel.

Dr Filippo Cervelli, FHEA
Lecturer in Modern Japanese Literature and Popular Culture
School of Languages, Cultures and Linguistics
SOAS University of London
Thornhaugh Street, Russell Square
London WC1H 0XG – Grande-Bretagne


[Parution] Revue ALTER – European Journal of Disability Research consacré au Japon

Anne-Lise Mithout a le plaisir de vous partager la parution d’un numéro spécial de la revue ALTER – European Journal of Disability Research, consacré au Japon. 

Ce numéro spécial qu’elle a co-dirigé avec Isabelle Ville (EHESS) s’intitule « Politiques du handicap et vie autonome au Japon –  Histoire et mobilisations collectives ». Il fait suite au colloque « Perspectives franco-japonaises sur le handicap » organisé en 2021 par Isabelle Ville, Ivanka Guillaume et Anne-Lise Mithout. 

Vous pouvez consulter les articles en ligne : https://journals.openedition.org/alterjdr/8901

[Parution] Revue Sencha, dédiée aux multiples facettes du Japon contemporain et patrimonial

Adrien Leuci a le plaisir de vous annoncer la parution du premier numéro de Sencha, une revue imprimée dédiée aux multiples facettes du Japon contemporain et patrimonial, avec une approche attentive au temps long et aux récits mettant l’humain au cœur de cet objet imprimé.

Sencha n’est pas simplement un magazine sur le Japon : c’est le slow media de l’Archipel, un espace de lecture conçu pour offrir un regard nuancé et approfondi, loin de l’instantanéité et des algorithmes. Inspiré par le rituel du thé japonais – symbole de simplicité et de sérénité –, ce magazine invite à ralentir, à savourer chaque page et à redécouvrir le Japon avec justesse.

Si Sencha s’appuie sur une démarche rigoureuse et exigeante, il cherche aussi à rendre ses analyses accessibles à un lectorat varié, sans compromis sur la précision des sources et la richesse des regards croisés. Nous avons à cœur d’ouvrir nos pages à un public intergénérationnel et curieux, afin que chacun puisse y trouver des clés de compréhension sur le Japon, sans se perdre dans un discours trop théorique ou exclusif.

Ce premier numéro, consacré au renouveau, explore notamment les rites du passage à la nouvelle année au Japon, la réhabilitation de lieux chargés d’histoire, ainsi que les nouvelles parentalités, parmi d’autres thématiques. Il comprend également des entretiens avec Nousha Saint-Martin, présidente du Festival du Film Kinotayo, et Pierre Jacerme, philosophe, qui apportent leurs regards éclairés sur le Japon contemporain.

Nous espérons que cette approche pourra également nourrir les réflexions et les recherches de celles et ceux qui travaillent sur le Japon sous différentes disciplines. Façonné avec exigence et indépendance, Sencha se veut un objet précieux et durable, conçu pour être conservé et relu au fil du temps.

Nous nous tenons à votre disposition pour toute suggestion ou proposition qui pourrait enrichir les prochains numéros. D’ailleurs, cette réflexion se poursuit dans notre édition d’avril/mai, qui explorera la question de l’ouverture du Japon, à travers l’Exposition universelle d’Osaka 2025, mais aussi sous l’angle des dynamiques humaines et économiques qui redéfinissent les liens entre le Japon et le monde.

Vous trouverez plus d’informations sur cette parution ici : https://www.japoninfos.com/magazine-no1-renouveaux-japonais.html

Adrien Leuci – Sencha / Japon infos – 06 20 44 85 78

[Appel à contributions] Carnet Hypothèse de la SFEJ

Récemment, plusieurs contributions ont été rajoutées sur le Carnet Hypothèse de la SFEJ : 

– une captation vidéo de la conférence d’Isabelle Konuma « Existe-t-il un eugénisme japonais ? Autour des lois eugéniques de 1940 et 1948. » donnée à l’Université Toulouse Jean Jaurès le 20 février 2025. 

– un compte-rendu établi par Faustine Chadaillac sur la journée d’étude consacrée au phénomène de « kūdōka » (phénomène d’évidement) qui s’est tenue à l’Inalco le 10 juin 2024. 

– un compte-rendu de lecture réalisé par Naoko Tokumitsu sur l’ouvrage de Mita Munesuke, L’Enfer du regard (CNRS éd. 2023). 

– un compte-rendu établi par Guillaume Muller de la conférence de Sandra Schaal « Voix de femmes : Les ouvrières des filatures de soie japonaises modernes se confient » donnée à Bordeaux le 3 décembre 2024 dans le cadre du séminaire itinérant de la SFEJ.

En vous souhaitant une bonne découverte, nous vous rappelons que les comptes-rendus de lecture et d’événements (journée d’étude, exposition, etc.) sont toujours les bienvenus et nous sommes à la recherche de contributeurs ou de contributrices. N’hésitez à nous écrire si vous êtes intéressé.e 

En vous remerciant par avance pour l’attention que vous accorderez à ce courrier, nous vous adressons nos cordiales salutations, 

Alice Doublier, Elsa Gonay, Édouard L’Hérisson, Cyrian Pitteloud pour l’équipe Carnet de la SFEJ

[Parution] « La découverte des chrétiens cachés du Kansai : sur les traces de la foi et des objets de piété des habitants des montagnes d’Ibaraki », Martin Nogueira Ramos

Martin Nogueira Ramos a le plaisir de vous annoncer la parution de 関西の隠れキリシタン発見―茨木山間部の信仰と遺物を追って [La découverte des chrétiens cachés du Kansai : sur les traces de la foi et des objets de piété des habitants des montagnes d’Ibaraki] (Kyoto, Jinbun shoin), un ouvrage qu’il a coédité avec Hiraoka Ryūji (université de Kyoto).

Le livre porte sur Sendaiji et Shimo-Otowa, deux villages situés aujourd’hui dans la municipalité d’Ibaraki (département d’Osaka), dans les anciennes terres du daimyō Takayama Ukon Justo. Il s’agit de l’unique région en dehors de l’île de Kyushu où l’on a retrouvé des chrétiens cachés. C’est aussi là que l’on a mis au jour les principaux artéfacts du « siècle chrétien », en particulier le fameux kakémono représentant François Xavier conservé aujourd’hui au musée municipal de Kobe. Cette communauté a la particularité d’avoir été découverte une première fois en 1879 par les Missions étrangères de Paris (MEP) puis oubliée, jusqu’à sa redécouverte en 1920 par des savants locaux.

Les quatre essais couvrent l’histoire chrétienne de ces deux villages et des trésors artistiques qu’ils abritent, des origines jusqu’au XXe siècle ; les annexes comportent la traduction japonaise de plusieurs lettres de Marin Plessis, le missionnaire français qui a découvert ces chrétiens cachés. Le sommaire est consultable sur la page de l’éditeur :

https://www.jimbunshoin.co.jp/book/b10105551.html

[Parution] La grande famille de Koreeda Hirokazu, ENS Éditions, Raphaëlle Yokota

Raphaëlle Yokota a le plaisir de vous annoncer la parution de l’ouvrage tiré de sa thèse de doctorat, intitulé La Grande famille de Koreeda Hirokazuchez ENS Éditions, le 20 mars 2025 (avec le soutien de l’IFRAE). 

Pour celles et ceux qui sont à Lyon, une soirée de lancement est organisée à l’ENS, mardi 18 mars 2025, en partenariat avec l’IAO. Raphaëlle sera également au Salon Magnifique Livre dimanche 16 mars 2025, au stand d’ENS Editions, à partir de 15h.

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[Mise en ligne] Fonds Castillon sur Salamandre, Collège de France

Nous avons le plaisir de vous annoncer la mise en linge de la plus grande partie de ouvrages reliés (87 titres, 251 volumes) du fonds Castillon sur Salamandre, archives et bibliothèques numériques du Collège de France. Sur cette page vous aurez plus d’informations sur le fonds et le collectionneur, Comte Hippolyte de Castillon de Saint-Victor (1830-1898).

La composition des ouvrages du fonds reflète tout d’abord le principal centre d’intérêt du collectionneur, à savoir, la botanique et l’horticulture japonaises. Par ailleurs chaque exemplaire témoigne le contexte historique de la relation franco-japonaise vers la fin du 19 siècle, notamment avec la partie correspondance du fonds (80 lettres, dont 4 sont avec deux japonais) dont la mise en ligne suivra prochainement. Nous ne vous signalons ici que la présence d’un exemplaire du dictionnaire de rimes chinois 聚分韻略 (Shūbun inryaku), probablement de l’édition de 1606, mais reliée à l’occidentale avec quelques ajouts manuscrits et sceaux, tels que l’ex-libris de Lucien de Rosny et le sceau de son fils, Léon de Rosny.

La numérisation de l’ensemble du fonds a été réalisée avec la participation financière de l’Université Paris Cité et du Centre de recherche sur les civilisations de l’Asie orientale (CRCAO) du CNRS.

[Parution] « Shôtarô Ishinomori, il était une fois le roi du manga », Claude Leblanc, Éditions IMHO

Claude Leblanc a le plaisir de vous annoncer la sortie de son ouvrage Shôtarô Ishinomori, il était une fois le roi du manga (Paris, Editions IMHO, 2025, 352 p.) qu’il présentera lors d’une conférence le 31 janvier 2025 au Festival international de la bande dessinée d’Angoulême.
Après l’histoire du magazine Garo (« La Révolution Garo 1945-2002 ») parue en novembre 2023 chez le même éditeur, ce nouveau livre a pour vocation de présenter la vie et l’œuvre de l’une des figures majeures de la culture populaire japonaise tout en donnant un éclairage sur le Japon des époques au cours desquelles il a exercé son art. Il s’inscrit dans le désir de contribuer à une meilleure connaissance de l’histoire du manga dans notre pays qui figure parmi les plus gros consommateur de cette forme d’expression dans le monde.

En voici la présentation :

Si les amateurs de mangas savent qui est le « Dieu du manga », ils sont moins nombreux à connaître le « Roi du manga ». Pourtant, Ishinomori Shôtarô n’a rien à envier à Tezuka Osamu avec qui il a entretenu des relations complexes. Recordman du monde du nombre de planches dessinées, auteur de 770 titres, ce mangaka, originaire du nord-est du Japon, est pourtant le premier à avoir été traduit en français sous forme de livre en… 1979. Bien que plusieurs de ses séries aient été publiées en France, il n’a pas bénéficié de la reconnaissance due à son talent. Par conséquent, il fallait lui rendre hommage à la fois pour marquer le 70e anniversaire de ses débuts et pour célébrer sa remarquable contribution à l’histoire du manga.
Disparu prématurément à l’âge de 60 ans, en 1998, le créateur entre autres de Cyborg 009 et de Kamen Rider a développé une œuvre riche et diversifiée qui reste aujourd’hui encore appréciée par des millions de lecteurs. Une popularité qu’il doit à son insatiable désir d’explorer de nouveaux horizons et à sa capacité de répondre aux attentes du public. À travers l’histoire de sa vie et l’analyse de ses multiples réalisations, cet ouvrage brosse le portrait d’un auteur hors normes que tout amateur sérieux de manga se doit de connaître.

Lien vers le site de l’éditeur : https://www.imho.fr/livres/ishinomori-shotaro-il-etait-une-fois-le-roi-du-manga/

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[Parution] « La Bande dessinée en Asie orientale : un art en mouvement », Julien Bouvard, Norbert Danysz et Marie Laureillard

Julien Bouvard a le plaisir de vous annoncer la récente parution d’un ouvrage qu’il a co-dirigé avec Norbert Danysz et Marie Laureillard intitulé La Bande dessinée en Asie orientale un art en mouvement, il fait suite à deux colloques organisés entre Paris et Lyon en 2021 et 2022. Il va sans dire qu’un part conséquente du livre concerne le Japon.

En voici le texte de présentation : 

Manga japonais, manhua chinois, manhwa coréen: cet ouvrage porte sur un espace géographique que caractérisent une certaine homogénéité culturelle et linguistique ainsi qu’une cohésion narrative. Mais si le Japon est mieux connu aujourd’hui que d’autres pays pour sa production foisonnante, d’autres traditions de littérature dessinée ont existé, et existent toujours, dans les mondes chinois et coréen ; et l’objectif de cet ouvrage n’est pas d’étudier la bande dessinée asiatique à l’aune du manga, mais de proposer, selon un axe à la fois historique et formel, une analyse des différentes formes de bande dessinée qui ont émergé et évolué en Asie orientale de la fin du XIXe siècle à nos jours.

Histoire de la bande dessinée au Japon, en Corée, en Chine, à Taïwan et à Hong Kong, points de rencontre entre les traditions nationales et hybridations nées de ces rencontres, classifications génériques – pour enfant, d’humour, de propagande, érotique, fantastique… – et leur intrication ; étude de leurs acteurs – vaste champ qui englobe les auteurs, dessinateurs, scénaristes, maisons d’édition, etc. – et de son lectorat ; caractéristiques formelles de la bande dessinée, supports de publication – presse, album, numérique… –, enfin processus de patrimonialisation à l’œuvre et analyse de la place et du rôle de la BD dans les différents champs médiatiques nationaux : voici une étude très complète de la bande dessinée est-asiatique et une exploration originale de ses hybridations et métissages entre différents pays et, plus largement, à l’échelle de l’Asie orientale tout entière.

Lien éditeur : https://www.hemisphereseditions.com/la-bande-dessinee-en-asie-orientale

Sommaire à télécharger sur ce lien.

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[Bulletin 2024 SFEJ] Modifications à envoyer avant le 1er mars 2025

Le secrétariat de la SFEJ est en train de préparer le Bulletin 2024 de la SFEJ qui sera diffusé, sauf contretemps, au cours du printemps 2025.

Le Bulletin contiendra comme chaque année l’annuaire de notre association.

Pour que ce Bulletin joue pleinement son rôle informatif, il est important que chacun de vous nous signale les modifications intervenues dans vos coordonnées (adresse professionnelle ou personnelle, courriel, téléphone, etc.).

Vous trouverez en bas de ce message les informations demandées (à éventuellement corriger).

Nous vous serions reconnaissants de nous faire parvenir vos modifications d’ici le 1er mars 2025, après vérification de votre notice dans le Bulletin 2023 qui vous a été envoyé par courriel.

Passée cette date, il nous sera très difficile de reporter les modifications que vous nous auriez indiquées.

Merci d’envoyer ces informations à l’adresse suivante : annuaire.sfej@gmail.com

Nous vous rappelons d’autre part que vous pouvez à tout moment vous mettre à jour de votre cotisation en utilisant le paiement en ligne sécurisé (http://sfej.asso.fr/?p=64). Si vous n’apparaissez pas dans le Bulletin 2023, cela signifie que, sauf erreur de notre part, vous n’avez pas réglé votre cotisation depuis plusieurs années.

Pour rappel : les notices de l’annuaire se décomposent comme suit.

NOM, Prénom
1. Statut, profession
[2. Adresse postale de contact (obligatoire mais ne sera pas publiée)]
2. Adresse électronique
3. Adresse postale professionnelle (le cas échéant)
4. Domaines d’intérêt ou de recherche
5. Lien vers une page personnelle
6. Laboratoire de rattachement (le cas échéant)

Nous vous serions très reconnaissants de nous faire parvenir pour la même date que les mises à jour des notices (le 01 mars 2024 au plus tard) la liste de vos publications datées de 2024 (les publications « à paraître » sont donc à exclure). Le dernier Japon Pluriel (14) étant paru en 2024, les articles qui y ont été publiés sont concernés.

Elles seront indiquées dans le Bulletin 2024 dans la rubrique « Publication des membres de la SFEJ ». 

Nous nous proposons également, comme l’an passé, de faire figurer le cas échéant les prix reçus par les membres de l’association durant l’année.  

L’adresse d’envoi pour ces informations est la suivante :  bulletin.sfej@gmail.com

Quelques indications concernant le format de présentation (dans un fichier Word ou assimilé) que nous vous demandons de respecter scrupuleusement pour faciliter le travail d’édition :

– Police : Arial 11 :

– Pour une monographie : NOM Prénom, Titre, Lieu, Maison d’édition, année, nombre de p.

– Pour un ouvrage collectif : NOM Prénom et NOM Prénom (dir.), Titre, Lieu, Maison d’édition, année, nombre de p.

– Pour un article : NOM Prénom, « Titre de l’article », Titre de la revue, numéro, année, p. x-x

NB : Pour les publications en japonais, donner la version originale suivie de sa traduction entre parenthèses, et les noms propres suivis directement de leur transcription. Par exemple : BERLINGUEZ-KONO Noriko, 「コロナ禍の情報リテラシーから見える国家と社会」 (L’État et la société vus au travers de la littéracie médiatique au temps du covid) in 長谷川信次編 HASEGAWA Shinji (dir.), 『コロナ下の世界における経済・社会を描く』(Économie et société dans le monde du covid), 同文舘出版 (Dōbunkan shuppan), 2021, p. 195-213.