[Appel à contributions] « Il n’y a pas de quoi rire ! Rire et sérieux dans la littérature japonaise », contributions attendues pour le 15 janvier 2026

Appel à contributions

« Il n’y a pas de quoi rire !
Rire et sérieux dans la littérature japonaise »

Dans le cadre du programme de recherche du CRCAO Le rire dans la tradition littéraire japonaise, une nouvelle journée d’études sera organisée à l’Université Paris Cité le vendredi 12 juin 2026*, sur le thème :
« Il n’y a pas de quoi rire ! Rire et sérieux dans la littérature japonaise ».

À cette occasion, nous avons le plaisir de lancer un appel à contributions pour des communications en français, en anglais ou en japonais, d’une durée de 30 minutes. (Appel à télécharger sur ce lien)


Il s’agira de réfléchir à la place qu’occupe le rire dans la tradition littéraire japonaise, y compris au sein des œuvres canoniques les plus sérieuses, d’en analyser la nature, les mécanismes et les différentes facettes, et plus particulièrement son articulation avec le sérieux. Quels usages une œuvre de fiction qui se veut sérieuse fait-elle du rire ? S’agit-il de faire cohabiter deux registres, de traiter des sujets graves sur un mode léger, ou au contraire d’aborder des sujets légers avec gravité ? Du point de vue de la recherche, comment parler sérieusement du rire ? Enfin, comment la question du rire peut-elle renouveler notre approche de certaines œuvres de la littérature japonaise ?

Le point de départ de la réflexion est la littérature classique, mais des contributions portant sur la littérature moderne et contemporaine sont également les bienvenues.

Les propositions (300 à 400 mots, en français, anglais ou japonais) sont à adresser par courrier électronique aux adresses suivantes :
daniel.struve@u-paris.fr et marianne.simon-oikawa@u-paris.fr

Date limite d’envoi des propositions : jeudi 15 janvier 2026

*Cette date définitive annule le calendrier annoncé au départ.

[Concours CNRS] Soutien de l’UMR Chine-Corée-Japon (CNRS-EHESS-UP Cité) aux candidatures

Le CCJ (Laboratoire Chine Corée Japon), unité de recherches du CNRS (UMR 8173) sous co-tutelle de l’EHESS et de l’université Paris-cité, propose son soutien aux candidates et candidats qui souhaiteraient le rejoindre, en cas de réussite au concours de chargés de recherche du CNRS, lors de la prochaine campagne de recrutement. Les personnes intéressées sont invitées à envoyer avant le 17 novembre 2025 leur projet de recherche (même une version provisoire), leur CV, leur rapport de soutenance ainsi qu’une lettre qui expose les raisons de leur souhait de rejoindre le CCJ.

 
Le dossier doit être adressé aux trois adresses suivantes  :

guillaume.carre@ehess.fr

alain.arrault@efeo.net

isabelle.sancho@ehess.fr
 
La réponse du laboratoire sera notifiée dans le courant du mois de décembre 2025.
 
Le laboratoire Chine Corée Japon abrite des chercheurs travaillant en histoire, anthropologie, géographie ou économie de l’Asie orientale depuis les périodes médiévales et prémodernes, jusqu’à l’époque moderne et contemporaine. Il est abrité par l’EHESS, et compte aussi parmi ses membres titulaires, des chercheurs de l’Ecole Française d’Extrême-Orient (EFEO).

Le CCJ peut accueillir des chercheurs rattachés aux sections suivantes :

  • Section 35 : Mondes modernes et contemporains
  • Section 37 : Philosophie, épistémologie, histoire des sciences
  • Section 39 : Sociologie et sciences du droit
  • Section 40 : Economie et gestion
  • Section 41 : Anthropologie et étude comparative des sociétés contemporaines
  • Section 42 : Espaces, territoires, sociétés
  • Section 43 : Politique, pouvoir, organisation

[Appel à communication] « Spectres de l’architecture, les voix négatives du projet », communications attendues pour le 15/12/2025

Nous avons le plaisir de vous transmettre l’appel à communication pour les journées d’étude internationales « Spectres de l’architecture, les voix négatives du projet », organisées par le LIAT et l’EVCAU auront lieu les 20 et 21 mai 2026, à l’ENSA Paris-Val de Seine et à l’ENSA Paris-Malaquais – PSL.

Conditions de soumission du résumé

Les réponses à l’appel à communication pourront émaner de diverses disciplines et se positionner de manière privilégiée dans l’une des quatre pistes proposées ci-dessous. Les réponses mentionneront les cas d’étude envisagés ainsi que les enjeux de l’intervention proposée. Elles pourront être en français ou en anglais. Sont attendus :

– le titre (100 caractères max) ;

– le sous-titre (150 caractères max) ;

– les informations sur l’auteur.ice (Prénom Nom, Structure d’affiliation, adresse email)

– une courte biographie (150 mots max) 

– un résumé (1 000 mots max)

– des mots clefs (3 max)

– des références bibliographiques (3 max)

Les propositions sont à envoyer à : spectres.architecture@gmail.com avant le 15 décembre 2025

APPEL À COMMUNICATION

L’architecture et l’infrastructure sont habitées par des spectres qui sont autant de traces de ce qu’elles ont été, mais aussi de ce qu’elles auraient pu être, ou de ce qu’elles seront peut-être un jour. Nous proposons de considérer l’architecture et l’infrastructure sous l’angle de leurs spectres, en portant l’attention sur les absences autant que sur les présences. Selon cette approche symptomale de l’architecture, il s’agirait de nous intéresser aux manifestations spectrales qui débordent de la place qu’on a donnée aux projets, imaginaires, bâtiments, infrastructures qui ont été mal oubliés.

Notre époque nous demande de penser à réparer avant de construire. Notre attention se porte sur ce qui est vulnérable pour prendre soin des blessures, celles des vivants, comme celles des édifices eux-mêmes. Nous acceptons la négativité des destructions et des abandons avant d’envisager l’acte positif du projet. Le principe d’obsolescence est désormais intégré ; notre sensibilité vis-à-vis des traces est plus que jamais aiguisée. Le risque de ce regard réparateur est de soigner les blessures sans les interroger, de recouvrir les traces sans les comprendre. Car au-delà des traces et des blessures visibles, il existe des infrastructures et des architectures négatives, invisibles et spectrales : un édifice disparu sans laisser de traces, mais dont persiste l’image fantôme ; un bâtiment qui contient les spectres d’autres édifices et vies disparus ; une architecture dont l’édification n’a jamais eu lieu, sinon dans l’imaginaire des architectes et de leur discipline.

Comment faire pour désigner ces architectures et infrastructures négatives quand elles ne sont pas visibles ou exprimées de manière aussi manifeste qu’un ouvrage détruit ? Comment soigner, réparer là où les symptômes n’ont pas été diagnostiqués, là où ils ont été étouffés ou oubliés ? Comment faire quand l’attention que nous portons à la vulnérabilité des édifices et à leurs habitants ne nous fournit pas de signes clairs, mais s’exprime avec des contenus ambigus, parfois contradictoires ?

On peut dire d’une architecture qu’elle est spectrale dans certaines conditions. Ces conditions impliquent différentes définitions de la notion de spectre en lien avec l’architecture. Nous choisissons d’en distinguer quatre, que nous proposons comme pistes de recherche pour ces journées d’étude : 

1. Hantologie : le registre esthétique et les médiums de la hantise

Là où l’architecture est le support d’un imaginaire collectif hanté par des spectres, fantômes et autres revenants, qu’elle constitue à cet égard un registre esthétique à l’égal d’autres arts comme la littérature, le cinéma ou la musique, et qu’elle sert de dispositif technique et culturel spectral, au même titre que la photographie spirite ou les liminal spaces sur internet, pour faire apparaître ou enregistrer les formes de revenances. Il s’agira ici de constituer un corpus de projets, d’architectures, d’infrastructures ou plus largement de lieux répondant aux dimensions esthétique et technique de l’hantologie, en lien avec d’autres champs de la production artistique.

2. Lieux hantés : l’architecture et l’infrastructure comme symptôme

Là où, en tant qu’édifices matériels, l’architecture et l’infrastructure contiennent les spectres d’événements (souvent traumatiques) dont elles ont été le cadre, parfois l’instrument, et qu’elles pourront à ce titre redevenir les supports de témoignages. Le corpus serait ici constitué par des lieux où se sont déroulés des événements qui ont marqué nos mémoires individuelles et collectives : là où des monuments ne sont pas intervenus pour identifier l’histoire que l’on doit retenir et faire perdurer, là où les symptômes inquiétants n’ont pas été entièrement effacés, ni recouverts par des symboles rassurants.

3. Deuil : hériter sans le patrimoine

Là où l’architecture et l’infrastructure héritées ne sont plus uniquement patrimonialisées, mais appellent à un processus de deuil et d’acceptation des spectres, ouvrant ainsi la voie à un nouveau rapport à l’héritage entendu notamment comme commun négatif. Le corpus qu’on souhaite constituer ici serait fait de vestiges qui engagent des récits et des relations aux choses ordinaires (architectures, infrastructures, territoires) qui disparaissent ou qui persistent malgré notre refus d’en hériter. Les récits convoqués permettront de partager des pratiques (rituelles, funéraires) qui cherchent à accompagner le devenir-spectre des choses.

4. Nostalgies réflexives : le spectre comme projet

Là où, en tant que métier et discipline à l’histoire chargée, l’architecture est hantée par son propre passé, dont celle de la modernité et ses multiples retours nostalgiques, et qu’elle persiste pourtant à vouloir faire projet à partir de ses spectres. Entre analyse historique, lecture esthétique et décryptage psychologique du processus créateur, le corpus de ce volet doit permettre de questionner la possibilité pour l’architecte de faire projet avec ses spectres, que ceux-ci proviennent de l’histoire de l’architecture, de l’histoire culturelle au sens large, ou de biographie de l’auteur.ices.

Pour une lecture plus complète de l’appel, téléchargez le document suivant (également en PJ) : Appel_Spectres_FR.pdf

Le Comité d’organisation

  • Gilles Delalex, professeur (ENSAPM – LIAT) ; 
  • Bérénice Gaussuin, maîtresse de Conférences (ENSAPM – LIAT) ; 
  • Can Onaner, professeur (ENSAPVS – EVCAU)

[Appel à contributions] Colloque « Tourisme, tours du monde et globe-trotteurs au Japon/du Japon depuis Meiji », contributions attendues pour le 14/12/2025

International conference co-organized by Sophia University Institute of Comparative Culture,
The University of Osaka, University of Geneva Geography Department, University of Turin
Department of Humanities

Call for Papers => Link
Japan, tourist world tours and globetrotters – from the Meiji
period (1868-1912) to 1970
Sophia University, Tokyo, 27 June 2026

Motion de la SFEJ – Contre la suppression des concours de japonais

Motion de la Société française des études japonaises (SFEJ)
Contre la suppression des concours de japonais

Supprimer les concours, c’est empêcher le renouvellement du corps enseignant et aggraver une situation déjà marquée par une pénurie de postes. C’est aussi condamner à la précarité les enseignants contractuels qui assurent, souvent seuls, la continuité des cours dans les collèges et lycées. Comment soutenir les vocations quand les étudiants les plus engagés se heurtent à une filière sans débouchés ni concours pour devenir enseignants et sans aucune visibilité sur l’ouverture de ces derniers? Comment attirer de nouveaux étudiants vers une discipline à laquelle l’État retire toute perspective de carrière ?

Cette décision est d’autant plus incompréhensible que la filière subit depuis des années une ouverture minimale des concours, souvent limitée à un unique poste au niveau national, sans aucune perspective d’amélioration. Poursuivre cette non-politique de recrutement revient à nier les efforts accomplis par les universités, les enseignants et les étudiants, et à rompre l’égalité entre les langues vivantes enseignées en France.

Au-delà du recrutement, ce choix fragilise tout l’écosystème académique : les départements de japonais à l’université vont voir leur attractivité chuter, les vocations s’éloigner, les inscriptions diminuer. À terme, c’est la recherche en études japonaises et la transmission des savoirs qui seront frappées.

Enfin, cette suppression contredit les engagements pris par la France dans ses coopérations culturelles et éducatives avec le Japon. Comment promouvoir une relation stratégique si l’on retire les moyens d’enseigner la langue et de former des spécialistes ?


Renoncer à ces concours, ce n’est pas seulement affaiblir une langue étrangère.
C’est affaiblir l’École de la République, en renonçant à la diversité linguistique et culturelle dans un monde où le Japon est un partenaire majeur, et le japonais est une langue de savoir, de culture et d’accès à une civilisation influente. C’est également affaiblir, avec l’absence de spécialistes confirmés dans l’enseignement du japonais, la place de la France dans un monde de plus en plus complexe.

[Appel à projets] Projets de recherche en résidence au BnF DataLab, candidatures à envoyer pour le 15/10/2025

La Bibliothèque nationale de France en partenariat avec l’IR* Huma-Num lance, pour la 5ème année consécutive, un appel à projets pour accueillir des équipes de recherche, afin d’accroître la connaissance mais aussi les possibilités d’analyse et de traitement de ses collections numériques. Les projets proposés devront faire appel à des méthodes et outils de traitement numérique.Découvrez l’article qui résume cet appel à projet :https://humanum.hypotheses.org/14710

L’appel à projet complet et détaillé est disponible sur le carnet de recherche de la BnF.
Les dossiers doivent être reçus par voie électronique au plus tard le 15 octobre 2025.

N’hésitez pas à diffuser dans vos réseaux.

[Appel à candidatures] Contrats postdoctoraux GPR PSL FAn (Les fabriques de l’antique), candidatures jusqu’au 16/10/2025

Le Grand Programme de Recherche PSL « Les fabriques de l’antique (FAn) » met au concours cinq contrats postdoctoraux :

  • 3 contrats postdoctoraux de douze mois

Lien vers la présentation du contrat / Lien vers la fiche de renseignements

  • 2 contrats postdoctoraux « musées » de six mois

Lien vers la présentation du contrat / Lien vers la fiche de renseignements

Les candidat(e)s ont jusqu’au 16 octobre 2025, 23h59 (heure de Paris) pour envoyer leurs dossiers sous format électronique (au format PDF) à l’adresse suivante : contact@fab-antique.fr

Pour tout question, merci de contacter Madame Clara Deshayes à la même adresse email.

[Appel à candidatures] Bourses de terrain EFEO 2026, date limite de candidature 10 octobre 2025

L’École française d’Extrême-Orient (EFEO) a le plaisir de vous informer de l’ouverture de son appel à candidatures pour les allocations de terrain EFEO du premier semestre 2026.

Ces allocations permettent aux étudiants inscrits en Master 2 ou en doctorat, dans un cursus en sciences humaines et sociales portant sur les civilisations d’Asie du Sud, du Sud-Est ou de l’Est, d’effectuer un séjour de recherche de 1 à 6 mois dans l’un des Centres de l’EFEO en Asie.

📅 Date limite de candidature : 10 octobre 2025, 23h59 (heure de Paris)

📌 Séjours prévus entre le 1er janvier et le 30 juin 2026.

Toutes les informations sont disponibles sur la page suivante : EFEO – Aide à la recherche – Conditions et procédures.

Nous vous serions reconnaissants de bien vouloir diffuser cet appel auprès des personnes susceptibles d’être intéressées.

[Programmes de subventions] Fondation du Japon, année fiscale 2026

La Maison de la culture du Japon à Paris a le plaisir de vous informer que la campagne de sélection des candidatures pour les programmes de subvention de la Fondation du Japon pour l’année fiscale 2026 est officiellement ouverte. 

Nous attirons votre attention sur les subventions destinées au soutien des études japonaises et des projets de traduction et publication qui pourraient potentiellement vous intéresser :

Support Program for Translation and Publication

date limite de candidature : le 2 décembre, 13h00 (heure japonaise), 5h00 (heure française)

Cette subvention permet de financer une partie des coûts liés à la traduction et à la publication de livres japonais en dehors du Japon.

EN https://www.jpf.go.jp/e/program/culture.html#cul_7

JP https://www.jpf.go.jp/j/program/culture.html#cul_7

Grant Program for Japanese Studies Projects

date limite de candidature : le 2 décembre, 13h00 (heure japonaise), 5h00 (heure française)

Cette subvention promeut les études japonaises par des institutions à l’extérieur du Japon.

EN https://www.jpf.go.jp/e/program/intel.html#intel_7

JP https://www.jpf.go.jp/j/program/intel.html#intel_7

Japan Foundation Japanese Studies Fellowship Program

date limite de candidature : le 2 décembre, 13h00 (heure japonaise), 5h00 (heure française)

Cette subvention permet aux doctorants et aux chercheurs en études japonaises d’effectuer des séjours au Japon dans le cadre de leur projet de recherche.

EN https://www.jpf.go.jp/e/program/intel.html#intel_5

JP https://www.jpf.go.jp/j/program/intel.html#intel_5

Il est obligatoire de candidater directement en ligne. Les candidatures sous format papier ne seront pas acceptées.

Vous pouvez déposer votre candidature via les liens suivants :

公募申請サイト https://www.apply.jpf.go.jp/ja/Identity/Account/Login

Online Application Portal https://www.apply.jpf.go.jp/en/Identity/Account/Login

Nous proposons également des subventions en collaboration avec d’autres institutions, comme ci-dessous.

JF-CIJS-EAJS Fellowship program(Collaboration avec Tohoku University’s Center for Integrated Japanese Studies (CIJS))

date limite de candidature : le 21 novembre, minuit (heure japonaise), le 21 novembre à 16h00 (heure française)

Cette subvention permet aux doctorants en sciences humaines et sociales effectuant des recherches en Europe sur le Japon de mener des recherches à l’Université du Tohoku.

EN https://cijs.oii.tohoku.ac.jp/en/news/detail—id-69.html

JP https://cijs.oii.tohoku.ac.jp/news/detail—id-68.html

※ Il est possible de candidater à la fois à la subvention « Japan Foundation Japanese Studies Fellowship Program » et à celle-ci.

JF-GJS Fellowship Program (Collaboration avec Institute for Advanced Studies on Asia, The University of Tokyo)

date limite de candidature : le 1er décembre, minuit (heure japonaise), le 1er décembre à 16h00 (heure française)

Cette subvention permet de soutenir les postdoctorants en leur offrant la possibilité de séjourner au Japon et de mener leurs recherches au sein de l’Institut des Etudes Avancées sur l’Asie de l’Université de Tokyo. 

EN/ JP https://gas.ioc.u-tokyo.ac.jp/networking/2026-jf-gjs-fellowship/

※ Il est possible de candidater à la fois à la subvention « Japan Foundation Japanese Studies Fellowship Program » et à celle-ci. (Cependant, il est impossible de cumuler cette candidature avec celle pour le “JF-Nichibunken Fellowship Program”)

JF-Nichibunken Fellowship Program (Collaboration avec International Research Center for Japanese Studies (Nichibunken))

date limite de candidature : le 1er décembre, minuit (heure japonaise), le 1er décembre à 16h00 (heure française)

Ce programme permet de soutenir les postdoctorants en leur offrant la possibilité de séjourner au Japon et de mener leurs recherches au sein de le Centre International de Recherche pour les Etudes Japonaises Nichibunken. 

EN https://www.nichibun.ac.jp/en/research/employment/acceptance/#jf-nichibun

JP https://www.nichibun.ac.jp/ja/research/employment/acceptance/#jf-nichibun

※ Il est possible de candidater à la fois à la subvention « Japan Foundation Japanese Studies Fellowship Program » et à celle-ci. (Cependant, il est impossible de cumuler cette candidature avec celle pour le “JF-GJS Fellowship Program”)