[Demi-journée d’études] »Le document de Nara sur l’authenticité, 30 ans après – Le patrimoine japonais en question(s) », 22 novembre 2024, en ligne

À l’occasion de l’anniversaire des 30 ans de la conférence et de la rédaction du Document de Nara sur l’authenticité, le groupe Japon(s)&Patrimoine(s) propose une demi-journée d’études, ouverte à toutes et tous, pour réexaminer l’événement et sa portée sur la gestion et la compréhension du patrimoine.

En s’intéressant spécifiquement au cas japonais, il s’agit de repenser ensemble aussi bien l’origine, les enjeux, conceptuels autant que politiques, que les effets multiples d’une conférence qui a représenté un tournant historique aujourd’hui parfois oublié.


Le document de Nara sur l’authenticité, 30 ans après
— le patrimoine japonais en question(s) —

Date : 22 novembre 2024, 8h45-12h30 (heure française) / 16h45-20h30 (heure japonaise)

L’affiche et le programme complet de cette demi-journée d’étude sont disponibles en cliquant sur ce lien,

et les versions téléchargeables aux liens suivants :

– Programme complet avec résumés: https://bunkazai.hypotheses.org/files/2024/10/JE-Nara_Resumes.pdf

– Affiche: https://bunkazai.hypotheses.org/files/2024/10/JE-Nara.pdf

L’événement aura lieu intégralement en ligne (Zoom).

Pour y assister, veuillez vous inscrire au préalable avec le lien suivant : Lien d’inscription – JE Le document de Nara sur l’authenticité, 30 ans après

[Appel à communications] Journée d’études « 1995, un point focal pour repenser le Japon contemporain « , date limite d’envoi 13 décembre 2024

Journée d’études organisée le 16 mai 2025 à Lyon (date à confirmer), couplée avec celle qui précède à Paris le 20 mars 2025 intitulée « L’héritage de l’affaire Aum à la société japonaise : 30 ans après les attentats au gaz sarin du métro de Tokyo ». Les deux manifestations réinterrogent des phénomènes et des changements marquant l’année (ou les années) 1995 dans une perspective transdisciplinaire commune.

Cycle « L’affaire Aum et l’année 1995 : un tournant pour le Japon contemporain »

Deux journées d’étude entre l’Inalco/IFRAE, l’U. Jean Moulin Lyon 3/IETT, l’U. Paris Cité/CRCAO et la Maison franco-japonaise

L’année 1995 est souvent traitée comme un tournant dans l’histoire du Japon contemporain. L’archipel, en crise depuis l’éclatement de la bulle économique, est en pleine remise en cause de son système social et économique. Dans ce contexte de tension, le pays est particulièrement secoué par le grand séisme de Kōbe. Le plus frappant événement de cette année reste néanmoins l’attentat au gaz sarin perpétré par la secte Aum shinrikyō dans le métro de Tokyo, qui représente le point d’orgue de l’ « affaire Aum ». Quel héritage laisse à la société japonaise cette « affaire Aum », comment s’inscrit-elle plus largement dans l’année 1995 et comment appréhender ces objets depuis la diversité des disciplines académiques constituant les études japonaises ? Un triple questionnement que se proposent de traiter deux journées complémentaires centrées respectivement sur l’affaire Aum en particulier (Inalco/IFRAE, UPC/CRCAO, MFJ ; Paris, 20 mars 2025) et sur une mise en perspective historique et culturelle plus générale de l’année 1995 (U. Jean Moulin Lyon 3/IETT, MFJ ; Lyon, le 16 mai 2004, date à confirmer) à l’occasion de son trentenaire.

Journée 2 (U. Jean Moulin Lyon 3/IETT, MFJ ; Lyon) : « 1995 », un point focal pour repenser le Japon contemporain 1995年」 現代日本を再考するための参照点

Argumentaire

L’année 1995 est souvent traitée comme un tournant dans l’histoire du Japon contemporain. Le pays a d’abord été frappé par plusieurs événements marquants comme le séisme de Kōbe (Hanshin Awaji daishinsai) en janvier et les attentats perpétrés par la secte Aum dans le métro à Tokyo en mars. Il est aussi touché par une crise depuis l’éclatement de la bulle économique au début de la décennie qui a pour conséquence une remise en cause du modèle social et économique en vigueur jusqu’alors. Beaucoup de discours ont été produits sur le changement de paradigme initié autour de 1995 sur la post-modernité et/ou la société post-industrielle, dans les domaines historique, économique, sociologique, philosophique et culturel. Nous faisons l’hypothèse que 1995 constitue une matrice qui a conditionné les transformations ultérieures de la société japonaise, tout en constituant une « boîte noire », c’est-à-dire objet d’un refoulement plus ou moins conscient. Y a-t-il un « avant » et un « après » cristallisés autour de cette année ? Si oui, pour quels changements ? Ne reste-t-il pas, malgré tout, des continuités derrière cette façade de « drames » médiatisés caractérisant cette période ? Quelles leçons peut-on tirer de discours et d’études produites sur cette période pour éclairer et repenser le Japon contemporain, voire le monde d’aujourd’hui ?

Le but de cette journée d’étude, organisée 30 ans après 1995, est d’établir une synthèse sur cette année et d’en extraire l’héritage laissé dans le Japon contemporain. La journée est couplée avec celle qui précède à Paris le 20 mars : “L’héritage de l’affaire Aum à la société japonaise : 30 ans après les attentats au gaz sarin du métro de Tokyo”. Les deux manifestations réinterrogent des phénomènes et des changements marquant l’année (ou les années) 1995 dans une perspective transdisciplinaire commune. Les panels de la journée lyonnaise rassembleront également des spécialistes dans des champs variés (littérature, histoire, sociologie, science politique, études culturelles, études cinématographiques, etc.)

Si la journée parisienne se consacre à la façon dont l’affaire Aum continue de laisser des traces sur divers pans de la société contemporaine, cette seconde journée proposera d’abord un tableau de synthèse pluridisciplinaire regroupant une série d’interventions préparées par chacun-e des membres de l’équipe organisatrice (littérature, culture populaire, sociologie, genre / études culturelles, religion, politique et médias), afin de proposer une base de discussions à suivre. La suite de la journée sera consacrée aux communications des intervenant-es, qui apporteront de nouveaux éclairages sur cette thématique « 1995 ». Il est possible, pour les chercheurs basés à l’étranger d’intervenir en distanciel. Les propositions de (post-)doctorant-es sont bienvenues !

Date limite pour l’envoi des propositions de communication : le 13 décembre 2024

Les propositions sont à envoyer avec proposition de titre / nom et affiliation de l’auteur / résumé (en français, anglais ou japonais) d’une dizaine de lignes, à l’adresse suivante :

appel.com.jp@gmail.com

Organisation

  • Antonin Bechler (Université de Strasbourg/GEO)
  • Julien Bouvard (Université Jean Moulin Lyon 3/IETT)
  • César Castellvi (Université Paris Cité – CRCAO)
  • Édouard L’Hérisson (Inalco – IFRAE)
  • Chiharu Chūjō (Université Jean Moulin Lyon 3/IETT)Kenjirō Muramatsu (Université Jean Moulin Lyon 3/IETT)

[Mise en ligne] 2 nouvelles bibliographies thématiques sur le Carnet de la SFEJ

Deux nouvelles bibliographies thématiques sont disponibles sur le Carnet de la SFEJ

L’une sur les théâtres classiques (Nô, Kyôgen, Kabuki, Jôruri/Bunraku), établie par  Magali Bugne (Université Teikyō). 

L’autre sur le jeu vidéo japonais, établie par  Julien Bouvard (Université Jean Moulin Lyon 3), Benoit Bottos (Université Keiō), David Javet (Université de Lausanne) et Grégoire Sastre (CY Cergy Paris Université).

N’hésitez pas à en informer les personnes intéressées ainsi que vos étudiantes et étudiants.

[Workshop] »A Critical Analysis of ‘Energy Transitions’ Meaning, Governance, Litigation from a Comparative Perspective – France/Germany/Japan » (Waseda, Tokyo)

6 novembre 10:30 18:00 JST

Pour plus d’information, le programme est accessible via le lien suivant: https://www.waseda.jp/fire/sils/news/2024/10/22/21338/

Un lien zoom pourra être envoyé en contactant Adrienne Sala à l’adresse suivante: adriennesala@aoni.waseda.jp

Workshop Program 

10:30 – 10:35 am (2:30-2:35 am France): Opening Remarks
by Satoshi Inaba (Dean, School of International Liberal Studies, Waseda University)

10:35 – 11:00 am (2:25 – 3:00 am France): Presentation of the CONTE Project
by Magali Dreyfus (CNRS), Adrienne Sala (Waseda University), Isabelle Giraudou (University of Tokyo), Masako Ichihara (RIHN)

11:00 am – 1:00 pm (3:00-5:00 am France)

Panel 1 – Energy Transitions and Multi-level Governance of Energy: Establishing the Institutional Framework for Public Energy Policies (Part I)

  • “Energy Transition in Japan” – Yasuko Kameyama (University of Tokyo)
  • “Japan’s Green Transformation (GX): Its Prospect and Current Status” – Hiroshi Ohta (Waseda University)
  • “Mind the Gap? Looking for the Territorialization of the French Energy and Climate Strategy” – Romain Gosse (CERAPS)
  • “Analysis of the Energy Transition and its Governance in Fukushima Prefecture and its Consequences” – Cécile Asanuma-Brice (CNRS, MITATE Lab)
    Discussant: Adrienne Sala (Waseda University)

Lunch Break

2:00 – 4:00 pm (6:00 – 8:00 am France)

Panel 2 – Litigation in Energy Transitions: Using Lawsuits to Explore Local Tensions and the Motives Behind Opposition to New Energy Infrastructures

  • “New Energy Infrastructure as a Field of Strategic Litigation? How to Measure Strategic Elements of Energy Litigation” – Alix Weigel & Anna Wenz-Temming (FernUniversität in Hagen)
  • “What a Study of Litigation Can Tell Us About Opposition to Methanization: A Look at France” – Alix Vollet (CERAPS)
  • “Litigation Affecting Energy Transitions in Japan” – Eri Osaka (Toyo University)
    Discussant: Masako Ichihara (RIHN)

Coffee Break

4:15 – 6:15 pm (8:15-10:15 am France)

Panel 3 – Energy Transitions and Multi-level Governance of Energy: Establishing the Institutional Framework for Public Energy Policies (Part II)

  • “Energy Transition and Multi-level Governance of Energy in Japan” – Andrew DeWit (Rikkyo University)
  • “The Role of Economic Incentives and Citizen Participation for the German ‘Energiewende’” – Stefan Wurster (Technical University of Munich) [online]
  • “Market Design for a Successful Energy Transition – A German Perspective” – Michael Bucksteeg (FernUniversität in Hagen) [online]
  • “From Difficulties in Implementing the Energy Transition to Studies of Grumpy Local Residents: Reading French Social Science Literature on the Development of Renewable Energies in France” – Leny Patinaux (CERAPS) [online]
    Discussant: Annette Elisabeth Töller (FernUniversität in Hagen) [online]

Break

6:30 – 8:00 pm (10:30 – 12:00 am France)

Open Round Table with the Participants and Lawyer Shinobu Awaya – Challenges for Energy Transitions: France, Germany, Japan
Chairs: Magali Dreyfus (CNRS), Adrienne Sala (Waseda University)
Participants: Isabelle Giraudou (University of Tokyo), Masako Ichihara (RIHN)

[Journée d’étude] »Mettre en mémoire les catastrophes : mises en récit, techniques, pratiques », 14 novembre 2024, Université Gustave Eiffel (Marne-la-Vallée)

Programme

9h00 : Accueil café
9h30 : Ouverture de la journée d’études, Elsa Vivant, urbaniste et sociologue, professeure à l’Université Gustave Eiffel et directrice du LATTS
Modération : Christine Fassert, socio-anthropologue et chercheuse au LATTS & Rina Kojima, sociologue et ingénieure de recherche au LATTS

Guido Nicolosi, sociologue, Professore Associato à l’Université de Catane (Italie) La mémoire des catastrophes dans un contexte migratoire : le cas de Lampedusa

Alexandre Taalba, docteur en esthétique, post-doctorant à l’Université de Tokyo (Japon) Guérilla ésotérique, écologique et ritualiste à l’ère des catastrophes technologiques au Japon

Sylvie Dallet, philosophe et historienne, directrice de recherches au Centre d’Histoire Culturelle des Sociétés Contemporaines de l’Université Paris-Saclay. Penser la catastrophe pour panser les vivants

Pause déjeuner (12h30-14h00)

Gianfranco Pecchinenda, sociologue, professeur à l’Université de Naples Federico II (Italie) Carlos Liscano : l’écriture et la mémoire du trauma

Masatoshi Inoue, doctorant en histoire des sciences à l’EHESS (CAK et CEMS) Rapporter une catastrophe vécue par autrui : les récits de premiers visiteurs français à Hiroshima sur les conséquences du bombardement atomique

Gérôme Truc, sociologue, chargé de recherche au CNRS et directeur adjoint de l’Institut des Sciences sociales du Politique « Mettre en mémoire » les attentats : des catastrophes comme les autres ?

Rina Kojima, docteure en sociologie, ingénieure de recherche au LATTS Vivre avec les morts pour survivre dans l’après-catastrophe : le cas du tsunami du Tôhoku (Japon)

17h00 : Clôture de la journée d’études, Elsa Vivant, urbaniste et sociologue, professeure à l’Université Gustave Eiffel et directrice du LATTS.

Programme complet à télécharger sur ce lien.

[Parution d’ouvrage] »Making Jazz in Contemporary Japan. A passionate Search for Self-Expression », Marie Buscatto

Marie Buscatto a le plaisir d’annoncer la prochaine sortie de son ouvrage intitulé Making Jazz in Contemporary Japan. A passionate Search for Self-Expression :

https://www.routledge.com/Making-Jazz-in-Contemporary-Japan-A-Passionate-Search-for-Self-Expression/Buscatto/p/book/9781032603889?srsltid=AfmBOopRGvOHpUbYiQqdEd5l1zxG0JtBoQxrTHB6QL8rK9p7K-vgJx_x

Marie Buscatto, Professeure de Sociologie, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, Chercheure à l’IDHE.S (Paris 1 – Cnrs).

[Call for participation] Research Workshop at the University of Amsterdam, March 19-21, 2025 (before November 30, 2024)

And Suddenly There Was “City Pop”: The Global Dimensions of the Retrograde Formation of a Japanese Popular Music Genre

And suddenly there was “City Pop”. The music sounded familiar, and its name also rang a bell. But even if those in the know about the history of popular music in Japan might associate the term with the late 1970s and early 1980s, the music that today goes by the name “City Pop” usually wasn’t called that back then. This is also the reason why there is much debate about exactly what Japanese popular music is meant by the term “City Pop”. “City Pop” only recently became a genre designation, and the coinage and filling of the term with musical content from the past appears to be a process that involves actors not only from Japan. Even if the production and reception of the music that today goes under the name of “City Pop” was completely analogue at the time it was created and was limited to Japan, the formation of the genre of “City Pop” seems to be a global process that retroactively takes place in the digital environment of the Internet and challenges existing academic genre theories which assume that the formation of music genres can be clearly dated historically and traced geographically.

The workshop will not be held in the form of a conference, but is intended as a kind of expert meeting during which scholars researching “City Pop” and/or Japanese popular music of the 1970s and 1980s will together attempt to trace this decades-spanning, global process in as much detail as possible, as an example of cultural production transitioning cultures, temporalities and technologies.

The workshop will include 8 chronologically organized panels as well as a keynote by Ōwada Toshiyuki (Keio University). Each panel will consist of two to three speakers who will give 30- or 20-minute presentations, which will then be discussed in detail in the plenary session. In order to give us the opportunity to fill the panels evenly and at the same time to ensure that as many presenters as possible can take part, we would like to encourage applicants to submit several proposals of no more than 250 words for different panels.

Wednesday, 19.03.25The Pre-History of City PopThursday, 20.03.25From wamono to (Neo-) CityPopFriday, 21.03.25Global City Pop 
09:00-10:30 (CET)17:00-18:30 (JST)Nyū myūjikkuThe shibuya-keiEra/wamonoVaporwave/Future Funk 
10:45-12:15 (CET)18:45-20:15 (JST)Happii Endoand “CityMusic”Keynote Speechby Ōwada ToshiyukiThe “Plastic LovePhenomenon” 
13:00-14:30 (CET)21:00-22:30 (JST)“City Pops” avant la lettreNeo-City Popin JapanNon-JapaneseCity Pop 

The workshop will take place at the University of Amsterdam in hybrid form on three consecutive mornings (CET) so that colleagues from previous time zones can take part online. The working language will be English. Support with translations from Japanese will be provided.

Please send your proposal(s) to f.o.seibt@uva.nl andkenkato.musica@gmail.com by November 30, 2024. For passive participation (without presentation), online or on location (depending on capacity), please send an email to the same addresses no later than February 28, 2025.

[Appel à candidatures] Prix FFJ/Christian Polak 2025, meilleur mémoire de master sur le Japon (limite 31 octobre 2024)

La Fondation France-Japon de l’EHESS a le plaisir d’annoncer le lancement de l’appel à candidatures de la neuvième édition du Prix FFJ/Christian Polak du meilleur mémoire de master sur le Japon. Ce Prix récompense l’excellence et la valeur universitaires et scientifiques de trois mémoires de master sur le Japon. Grâce au soutien de M. Christian Polak, la Fondation verse le montant de 2 000 € au ou à la lauréat·e du Premier Prix, 1 000 € à celui ou celle du Deuxième Prix et 500 € à celui ou celle du Troisième Prix.

Critères d’éligibilité du mémoire

  • Concerner le Japon dans une perspective aréale ou comparée
  • Avoir été rédigé en français
  • Avoir été soutenu au terme d’un cursus de master et au terme de l’année universitaire 2023-2024
  • Entrer dans le champ des sciences humaines et sociales

Pièces du dossier à fournir

  • Intégralité du mémoire
  • Résumé d’une page du mémoire
  • Document mentionnant la composition du jury de soutenance
  • Avis motivé de la directrice ou du directeur de mémoire à l’attention du Comité de sélection du Prix FFJ / Christian Polak
  • Curriculum Vitae
  • Une photo, qui pourra être utilisée pour la communication sur le site de la FFJ en cas d’obtention d’un des trois prix, ainsi qu’une courte biographie de 5 lignes (Lien).

Le dossier de candidature est à envoyer à prixpolak_ffj@ehess.fr avant le 31 octobre 2024, minuit. Chacune des pièces de ce dossier doit être au format PDF et nommée « nom du candidat – type de document ».

Les résultats seront annoncés aux candidats puis rendus publics en février 2025 après la réunion du Comité de sélection, et une cérémonie de remise du Prix sera organisée.

Sont accessibles sur le site de la Fondation France-Japon de l’EHESS le règlement intégral du Prix ainsi que la liste des anciens lauréats.

Voir l’appel; voir le règlement.