2 novembre – 09:00 – 3 novembre – 12:00 CET
Colloque international organisé en format hybride par le CEEJA à Colmar. Informations complémentaires sur ce lien .
Société française des études japonaises
French Society for Japanese Studies – フランス日本研究学会
Colloque international organisé en format hybride par le CEEJA à Colmar. Informations complémentaires sur ce lien .
Le Centre Européen d’Études Japonaises d’Alsace (CEEJA) organise un colloque international intitulé « La culture populaire japonaise et l’Occident : manga, animation et genre », qui se tiendra les 2 et 3 novembre 2024 (samedi et dimanche, chaque jour le matin uniquement) dans un format Hyflex. Il se tiendra au Musée Unterlinden, à Colmar, en France, et un lien vers le webinaire zoom à celles et ceux qui souhaiteront participer en ligne.
Pour une participation sur place ou en ligne, veuillez-vous inscrire à l’aide du QR code figurant sur l’affiche ci-dessous. Une interprétation simultanée japonais-français sera assurée pour toutes les sessions.
Le commentateur, Monsieur NATSUME Fusanosuke, chercheur en manga et petit-fils de NATSUME Sôseki, ainsi qu’un groupe d’éminents chercheurs de l’Université Gakushûin au Japon, repenseront la culture populaire à l’ère post-moderne dans une perspective plus large. Les origines du manga, considérées comme évidentes de nos jours, sont-elles vraiment vraies ? Il ne s’agit ni d’une célébration ni d’une banalisation de la culture japonaise, mais d’une reconsidération des influences culturelles entre le Japon et l’Occident dans une perspective internationale. Une séance de questions-réponses animée est attendue pendant le débat.
Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au vendredi 25 octobre, via le code QR figurant sur l’affiche ci-dessous.
(ou en la téléchargeant ici : https://we.tl/t-DqKp6aOiqM)
Demi-journée d’étude internationale organisée par le CRCAO (CNRS, Collège de France, EPHE-PSL, UPC). Programme :
Lieu : Grands Moulins, Salle Léon Vandermeersch (481C), Paris.
Renseignements : daniel.struve@u-paris.fr – marianne.simon-oikawa@u-paris.f
Le département d’études japonaises de l’Université Jean Moulin Lyon 3 recrute un.e PRAG ou PRCE pour une prise de fonction au 1er septembre 2025.
Vous trouverez le détail de la fiche de poste sur ce lien.
Les candidatures seront reçues de manière exclusivement dématérialisée, par le biais de l’application Galaxie (module VEGA) du 16 octobre au 8 novembre 2024.
https://galaxie.enseignementsup-recherche.gouv.fr/antares/can/index.jsp
Pour tout renseignement complémentaire, veuillez contacter :
Les éditeurs-éditrices du volume ayant décidé de prolonger l’appel pour le numéro de la revue Etudes asiatiques / Asiatische Studien portant sur les modèles et concepts théoriques japonais, vous trouverez à nouveau ci-dessous les éléments mis à jour.
Le Japon est sans aucun doute l’un des acteurs les plus éminents de la communauté scientifique mondiale. Cependant, au niveau théorique on peut encore déplorer une circulation à sens unique des méthodes en usage dans les sciences humaines et sociales. Si les approches et les concepts théoriques occidentaux sont largement acceptés et mobilisés au Japon, l’influence et la réception des modèles élaborés au Japon sont extrêmement limités dans le monde occidental.
Les éditeurs et éditrices du prochain numéro de la revue Asiatische Studien. Etudes asiatiques (De Gruyter) consacré au Japon (vol. 79, n° 3, 2025) souhaitent inviter des articles cherchant à présenter et à développer les innovations théoriques proposées par les sciences humaines et sociales japonaises, ainsi que leur contribution potentielle en Europe et en Amérique du Nord.
Les articles peuvent être rédigés en français, en anglais et en allemand, et seront soumis à un examen en double aveugle avant la publication.
La date limite pour la soumission des articles est désormais le 6 janvier 2025.
Les articles doivent être soumis à l’adresse suivante :
https://mc.manuscriptcentral.com/asia
La feuille de style est disponible ici :
https://www.degruyter.com/publication/journal_key/ASIA/downloadAsset/ASIA_Style Sheet–en.pdf
Site de la revue :
https://www.degruyter.com/journal/key/asia/html
La revue est éditée sous la direction scientifique de la Société Suisse-Asie :
https://www.sagw.ch/asiengesellschaft
N’hésitez pas à contacter l’équipe éditoriale pour toute information complémentaire :
Un appel à communications est lancé pour un colloque, organisé par Cléa Patin et Pierre-Yves Modicom, qui se tiendra à Lyon les 19 et 20 juin 2025 (Manufacture des Tabacs) autour du thé. La présentation précise des axes est indiquée dans le document à télécharger sur ce lien.
Les langues de travail sont le français et l’anglais; rendu des abstracts (une page) pour le 15 janvier 2025.
Intervention de Yoko DEMELIUS et Kamila SZCZEPANSKA (Université de Turku, Finlande), uniquement en ligne (Zoom); formulaire d’inscription : : https://forms.gle/znHJMWRMmvBowe86A
La première rencontre annuelle autour du projet HikarIA, aura lieu le 30 octobre 2024 au musée Guimet (Hôtel d’Heidelbach) de 14h30 à 18h. https://www.guimet.fr/fr/activites-visites/rencontre-autour-du-projet-hikaria
Nous aurons trois panels sur la collection Joseph Dubois de photos anciennes du Japon (Claude Estèbe, Annabelle Simon), la première année du projet HikarIA (moi-même et Christopher Kermorvant) et d’autres projets patrimoniaux en cours qui mobilisent l’intelligence artificielle (Danae di Salvo BNF, Marion Charpier MAD).
Webinaire intitulé « Paysages culturels et médiatiques en Asie », uniquement en visioconférence.
La culture populaire asiatique contemporaine suscite un engouement croissant au sein de la communauté académique, captivant les chercheurs par la richesse de ses produits et de ses pratiques culturelles. Si la K-pop a déjà été scrutée sous toutes ses coutures dans le cadre de nombreuses recherches, d’autres formes culturelles contemporaines asiatiques se révèlent être des terrains fertiles encore largement inexplorés.
Face à cette diversité foisonnante et à ce champ d’études en perpétuelle expansion, il apparaît indispensable de promouvoir les échanges interdisciplinaires et internationaux. Afin de stimuler la recherche sur la culture populaire asiatique contemporaine en France et d’ouvrir de nouvelles voies de collaboration, il convient d’intensifier le dialogue transnational. Dans cette perspective novatrice, ce cycle de conférences en ligne sera dédié à l’étude approfondie de la culture populaire contemporaine en Asie. Chaque séance, articulée autour d’une thématique spécifique, aura pour dessein de mettre en lumière les travaux de deux chercheurs issus de milieux académiques différents, tout en offrant un espace de discussion interactif avec le public.
Notre ambition est de contextualiser les interventions dans les enjeux sociaux contemporains en Asie, et de sonder, à travers l’exploration des productions et pratiques culturelles populaires, les dynamiques sociétales à l’œuvre dans ces régions. Il est impératif de reconnaître que la création culturelle d’une communauté reflète et influence son environnement social, tout en incarnant un vecteur d’expression de spécificités culturelles propres. En analysant les processus de création et de réception des objets culturels, en scrutant les mécanismes de cohésion sociale à travers la consommation culturelle, et en déconstruisant les représentations genrées, générationnelles et sociales, nous pourrons appréhender de manière plus approfondie les dynamiques sociétales qui caractérisent l’Asie contemporaine.
https://univ-tlse2.zoom.us/j/94899794714?pwd=Dk2iCLwaqd5kdoS8je6cOOZr30hLoq.1
ID de réunion: 948 9979 4714
Code secret: 299616
L’année 1995 est souvent traitée comme un tournant dans l’histoire du Japon contemporain. L’archipel, en crise depuis l’éclatement de la bulle économique, est en pleine remise en cause de son système social et économique. Dans ce contexte de tension, le pays est particulièrement secoué par le grand séisme de Kōbe. Le plus frappant événement de cette année reste néanmoins l’attentat au gaz sarin perpétré par la secte Aum shinrikyō dans le métro de Tokyo, qui représente le point d’orgue de l’ « affaire Aum ». Quel héritage laisse à la société japonaise cette « affaire Aum », comment s’inscrit-elle plus largement dans l’année 1995 et comment appréhender ces objets depuis la diversité des disciplines académiques constituant les études japonaises ? Un triple questionnement que se proposent de traiter deux journées complémentaires centrées respectivement sur l’affaire Aum en particulier (Inalco/IFRAE, UPC/CRCAO, MFJ ; Paris, 20 mars 2025) et sur une mise en perspective historique et culturelle plus générale de l’année 1995 (U. Jean Moulin Lyon 3/IETT, MFJ ; Lyon, date à venir) à l’occasion de son trentenaire.
Journée 1 (Inalco/IFRAE, UPC/CRCAO) : « L’héritage de l’affaire Aum à la société japonaise : 30 ans après les attentats au gaz sarin du métro de Tokyo »
Argumentaire
L’« affaire Aum » (オウム事件) constitue un des événements majeurs qui frappent la société japonaise des années 1990. Son retentissement est perceptible dans de nombreux domaines : le religieux bien sûr, mais aussi le droit, la culture, les médias, la littérature, la politique ou encore les questions de sécurité.
Trente ans après les attentats au gaz sarin du 20 mars 1995, point culminant de la « décennie Aum », que reste-t-il de l’héritage que le nouveau mouvement religieux laisse au Japon ? C’est à ce thème volontairement général que nous souhaitons consacrer une journée d’étude dont l’objectif sera de réfléchir à la façon dont les différents épisodes qui ont marqué les années Aum continuent d’influencer divers aspects de la société.
Cette journée d’étude se veut transdisciplinaire, les communications attendues pourront de fait s’inscrire dans des domaines variés (littérature, droit, anthropologie, études cinématographiques, sociologie, sciences religieuses). Chaque communication, d’une durée de 20 minutes, sera suivie d’un temps de discussion. Elle s’inscrit dans le cadre d’un double événement en partenariat avec
Calendrier prévisionnel
Organisation
Les propositions concernant l’événement « L’héritage de l’affaire Aum » sont à envoyer à César Castellvi (cesar.castellvi@u-paris.fr) et Edouard L’Hérisson (edouard.lherisson@inalco.fr).