Depuis 1997, cette rencontre annuelle réunit la communauté de chercheurs et étudiants francophones établis au Japon, toutes disciplines et toutes nationalités confondues. L’objectif de la JFR est de permettre aux chercheurs, étudiants, doctorants, ingénieurs, institutionnels, représentants d’entreprise ou toutes personnes intéressées de se rencontrer et d’échanger sur leurs activités au Japon.
La participation est libre, gratuite, ouverte et accessible à tous, mais l’inscription est obligatoire via notre formulaire en ligne. – Les inscriptions pour les intervenants (propositions d’exposé/flash-talk/poster) sont ouvertes jusqu’au vendredi 20 septembre 2024. – Les inscriptions pour les auditeurs sont ouvertes jusqu’au mercredi 30 octobre 2024.
Cette année, la JFR fêtera les 50 ans de coopérations scientifiques franco-japonaises avec les présentations orales dans l’auditorium et des posters dans la galerie de la Maison franco-japonaise. Nous vous attendons donc nombreux pour célébrer cet anniversaire.
Nous avons le plaisir de vous communiquer l’appel à communications en vue du huitième Atelier Doctoral des Études Japonaises de la SFEJ. Il est ouvert aux doctorants et doctorantes en études japonaises et aura lieu à l’Inalco le 13 décembre 2024.
Durée de chaque communication : 20 minutes Discussion : 10 minutes Langues de travail : français Conditions de participation : préparer un doctorat en français dans le domaine des études japonaises et être membre de la SFEJ le jour de l’ADEJ (l’adhésion est possible sur place). Merci de préciser les modalités souhaitées de votre participation, sur place ou en ligne.
Les doctorants en études japonaises sont vivement invités à présenter une communication à l’occasion de cet événement ayant lieu tous les deux ans. L’atelier constitue un espace d’échanges permettant aux participants de présenter leur travail à des chercheurs confirmés tout en favorisant la mise en place de réseaux de recherche. Si votre laboratoire de rattachement ou l’école doctorale ne peuvent prendre en charge vos frais de déplacement, vous pouvez effectuer une demande auprès de la SFEJ. En cas d’impossibilité de vous rendre sur place ou de séjour à l’étranger, les interventions en ligne sont également acceptées.
Les personnes intéressées sont invitées à envoyer les pièces demandées avant le 10 octobre 2024 à l’adresse suivante : organisation.adej2024@gmail.com
un court résumé de la présentation (1000 signes espaces compris)
un CV universitaire précisant l’appartenance institutionnelle, le nom de votre directeur ou directrice de thèse, votre domaine de recherche, le titre de votre thèse, votre année de doctorat, ainsi que votre formation et votre champ disciplinaire.
Nous avons le plaisir de vous informer que nous travaillons actuellement sur le numéro du mois de septembre de Japon infos qui aura pour thème la chasse à la baleine au Japon ainsi que la récente affaire Paul Watson.
Nous sommes donc à la recherche de spécialistes de la question, qui pourraient être interrogés par nos journalistes et ainsi être cités dans le journal.
Pour celles et ceux qui ne connaîtraient pas Japon infos, c’est un slow média un média spécialisé sur le Japon qui existe depuis 2010 ans et qui aborde des sujets variés, comme le handicap dans notre dernier numéro paru en juillet.
En format hybride, l’évènement sera simultanément retransmis sur Zoom.
Depuis 1997, cette rencontre annuelle réunit la communauté de chercheurs et étudiants francophones établis au Japon, toutes disciplines et toutes nationalités confondues. L’objectif de la JFR est de permettre aux chercheurs, étudiants, doctorants, ingénieurs, institutionnels, représentants d’entreprise ou toutes personnes intéressées de se rencontrer et d’échanger sur leurs activités au Japon.
La participation est libre, gratuite, ouverte et accessible à tous, mais l’inscription est obligatoire via notre formulaire en ligne. – Les inscriptions pour les intervenants (propositions d’exposé/flash-talk/poster) sont ouvertes jusqu’au vendredi 20 septembre 2024. – Les inscriptions pour les auditeurs sont ouvertes jusqu’au mercredi 30 octobre 2024.
Cette année, la JFR fêtera les 50 ans de coopérations scientifiques franco-japonaises avec les présentations orales dans l’auditorium et des posters dans la galerie de la Maison franco-japonaise. Nous vous attendons donc nombreux pour célébrer cet anniversaire.
Accepted participants will receive a full travel grant to visit CEEJA in Colmar.
This year’s Alsace workshop invites papers to discuss “transnational Japanese spaces” widely from social science and humanities. We aim to understand the historical and contemporary development of transnational Japanese spaces and how such spaces are imagined and depicted in Japanese culture. While the nation-state remains a vital container in our world today, there is a significant development of transnational spaces evolving in Japan in various forms and settings, either public or private, urban or rural, virtual or physical spaces, as a result of drastic increasing migrants, international students, and tourists. At the same time, Japan generated spaces with substantial transnational characteristics in the past, such as port cities where foreign merchants enter, the neighborhoods where American military bases are concentrated, and cities and towns where ethnic minorities reside. Also, we should not forget about the “Japanese transnational spaces” where Japanese diasporas become actors in creating transnational social spaces in foreign lands, most notably known as “Japanese towns.” Furthermore, the workshop would also like to pay attention to the culture of transnational space. On the one hand, culture is crucial in creating transnational spaces that mediate and hybridize Japanese and foreigners. On the other hand, the representation of transnational spaces in Japanese culture also requires in-depth exploration. For example, how ethnic towns are portrayed in Japanese films, literature, and anime. We invite papers that touch upon but are not limited to these points. We aim to develop ideas on the characteristics of transnational Japanese space while comparing it with those in Europe and other parts of the world.
Nous avons le plaisir de vous communiquer l’appel à contributions pour le numéro 63 de la revue Ebisu. Études japonaises, intitulé « Produire et vendre les livres et les auteurs au Japon » et coordonné par César Castellvi et Thomas Garcin.
Les propositions d’articles sont à envoyer à l’adresse ebisu@mfj.gr.jpavant le 15 janvier 2025, et les articles complets sont attendus pour le 15 septembre 2025 (instructions détaillées sur le document joint).
« Produire et vendre les livres et les auteurs au Japon »
Alors que l’étude de texte et l’analyse littéraire ont longtemps joué un rôle majeur dans les études japonaises, la production matérielle du livre, l’industrie de l’édition, les circuits symboliques et marchands qui structurent la carrière des auteurs et décident du destin de leurs ouvrages ont été relativement peu étudiés dans le champ académique, en particulier pour la période contemporaine. Comme partout ailleurs, ce secteur traverse pourtant des bouleversements sans précédent en raison de l’évolution du lectorat et du développement de nouveaux formats ou de nouvelles pratiques de lecture.
Le principal objectif de ce dossier spécial de la revue Ebisu. Études japonaises est de combler ce manque en présentant des travaux qui peuvent s’inscrire dans des domaines de recherche divers : économie, études littéraires, histoire, sciences juridiques, sociologie, etc. Il sera ici question de penser les livres et les auteurs, leurs productions, leurs images et leurs diffusions en partant de quelques grandes questions structurantes : qui produit les livres au Japon ? Qui les promeut ? Quel rôle est donné aux auteurs – qu’ils soient romanciers, universitaires, essayistes, journalistes, sportifs, artistes, etc. – dans ce processus ? Dans quelle mesure deviennent-ils eux-mêmes, et de façon croissante, un produit, voire une marque ? Quelles sont les étapes qui mènent à la vente en librairie d’un ouvrage (édition, fabrication, diffusion, etc.) ou à son référencement en bibliothèque ? Comment ces procédés ont-ils évolué ou changent-ils aujourd’hui avec le tournant numérique, la transformation des espaces dédiés au livre ou la place croissante de l’intermédialité (soit la porosité croissante entre le livre et d’autres médias : presse, films, séries télévisées, jeux vidéos, etc.) ?
Des contributions appartenant à des champs de recherches divers sont attendues, dès lors qu’elles reposent sur des analyses originales. Elles peuvent se rattacher à l’un des trois axes exploratoires suivants, sans que ces derniers soient exhaustifs :
–Les livres, leur matérialité et l’évolution de leurs contenus : il peut s’agir de contributions qui analysent l’évolution des formats au cours du XXᵉ siècle et du premier quart du XXIᵉ siècle, ou se consacrent aux changements de chartes graphiques et de techniques typographiques, aux lieux de vente et au maillage territorial de la diffusion du livre au Japon, à l’adaptation de nouveaux modes de lecture (livres numériques, livres audio, etc.) sur de nouveaux supports (liseuses, écrans connectés), à la naissance de nouveaux modes de création (écriture collaborative en ligne, auto-édition) et de nouveaux genres (émergence des essais de développement personnel, de la Feel-good Literature, etc.)
–Les auteurs, leurs statuts et leurs stratégies promotionnelles : seront accueillies avec intérêt les contributions s’intéressant aux relations entre mondes médiatique et littéraire, aux tactiques mises en place par les écrivains pour gagner en visibilité et construire leur réputation, au rôle des traductions dans les processus de légitimation (individuels ou collectifs), ou également aux transformations ou postures de l’auteur en tant qu’intellectuel dans l’espace public (réel ou virtuel). Les contributions concernant la question du statut juridique des auteurs et de leurs productions seront aussi les bienvenues.
–Le personnel de renfort de la chaîne de production du livre : sont attendues ici des contributions touchant aux différents groupes professionnels qui, en dehors des auteurs, permettent au monde de l’édition de fonctionner : éditeurs, imprimeurs, agents littéraires, diffuseurs, distributeurs, libraires (physiques et en ligne), bibliothécaires ; et, du côté de la prescription : critiques professionnels et universitaires, jurés des prix, journalistes (presse ou revues spécialisées), autres prescripteurs amateurs (influenceurs littéraires, blogueurs), etc.
Les propositions de traduction ou de recension d’ouvrage en langues anglaise et japonaise se rattachant à la thématique du dossier sont bienvenues.
Nous nous permettons de vous informer que la date limite de dépôt des candidatures au programme de subventions de la MCJP est à la fin de ce mois, le 31 juillet 2024.
Si vous êtes intéressé·e·s par notre programme de subventions dédié à la promotion des études japonaises en France, vous pouvez contacter l’équipe en charge du projet à l’adresse suivante : subvention_ej@mcjp.fr
Certains documents, dont les formulaires de candidature, seront envoyés sur demande par mail aux candidat·e·s.
Chères et chers membres de la SFEJ, Permettez-moi de vous informer de la circulation dans la communauté des historiens de l’Hexagone de l’appel à signer la tribune du fichier ci-joint. Si vous le souhaitez, vous pouvez la signer avant la fin du week-end. Cette tribune sera publiée dans Le Monde en début de semaine prochaine. Pour signer, il suffit d’envoyer un mail à l’adresse suivante : devantlhistoire@gmail.com, en précisant vos NOM, prénom, et fonction (telle que vous souhaitez la voire figurer). N’hésitez pas à faire circuler cette tribune et l’adresse à laquelle signer. Bien cordialement, Nathalie Kouamé
Cet appel à communications est lancé en vue d’un colloque qui sera organisé jeudi 20 mars 2025 à Paris à l’occasion du trentenaire de l’affaire Aum :
« L’héritage de l’affaire Aum à la société japonaise : 30 ans après les attentats au gaz sarin du métro de Tokyo »
Argumentaire
L’affaire Aum (オウム事件) constitue un des événements majeurs qui frappent la société japonaise des années 1990. Son retentissement est perceptible dans de nombreux domaines : le religieux bien sûr, mais aussi le droit, la culture, les médias, la littérature, la politique ou encore les questions de sécurité.
Trente ans après les attentats au gaz sarin du 20 mars 1995, point culminant de la “décennie Aum”, que reste-t-il de l’héritage que le nouveau mouvement religieux laisse au Japon ? C’est à ce thème volontairement général que nous souhaitons consacrer une journée d’étude dont l’objectif sera de réfléchir à la façon dont les différents épisodes qui ont marqué les années Aum continuent d’influencer divers aspects de la société.
Cette journée d’étude se veut transdisciplinaire, les communications attendues pourront de fait s’inscrire dans des domaines variés (littérature, droit, anthropologie, études cinématographiques, sociologie, sciences religieuses). Chaque communication, d’une durée de 20 minutes, sera suivie d’un temps de discussion.
Calendrier prévisionnel
30 septembre 2024 : envoi des propositions de communication (aux adresses mail des organisateurs); proposition de titre / nom et affiliation de l’auteur / résumé (en français, anglais ou japonais) d’une dizaine de lignes
15 octobre 2024 : réponse du comité d’organisation
L’Observatoire des Violences Sexistes et Sexuelles dans l’Enseignement Supérieur a lancé début juin une nouvelle enquête intégralement dédiée aux enjeux du doctorat, à laquelle plus de 800 personnes ont déjà répondu ! Nous vous sollicitons pour vous inviter à alimenter cette enquête, et à partager notre questionnaire aux doctorant·es et jeunes chercheur·ses autour de vous.
Vous pouvez répondre à l’enquête si vous êtes actuellement doctorant·e d’un établissement français, ou si votre doctorat s’est terminé après janvier 2020(plus de détails ci-dessous). Il n’est, bien heureusement, absolument pas nécessaire d’avoir été concerné·e par des faits de violences de genre pour que vos réponses nous soient utiles !
Le questionnaire se trouve ici : https://www.surveyhero.com/c/qgmr9i7s. L’enquête est ouverte jusqu’au 30 juin ! Nous estimons la durée moyenne du questionnaire à 30 minutes. Conscient·es que ce temps de passation est long, nous vous proposons dorénavant de pouvoir enregistrer automatiquement vos réponses au fur et à mesure, ainsi vos réponses pourront être étudiées même si vous n’allez pas au bout du questionnaire.
– ↓ PLUS D’INFORMATIONS ↓ –
L’enquête est destinée aux personnes actuellement inscrites en doctorat, ainsi qu’aux personnes ayant terminé leur doctorat (via la soutenance ou par abandon) après janvier 2020, dans un établissement français. L’enquête ne concerne pas les thèses d’exercice dans le cadre des diplômes d’état en médecine, pharmacie, chirurgie dentaire ou médecine vétérinaire.
Elle a pour objectif d’évaluer et d’analyser les conditions de travail des doctorant·es au regard de leurs sentiments de sécurité et de bien-être, et en particulier au regard des discriminations et violences dont iels pourraient être victimes ou témoins en raison de leur genre ou de leur orientation sexuelle. Cela nous permettra également d’estimer l’impact de ces facteurs sur la bonne poursuite des études doctorales et des carrières de recherche.
Nous nous intéressons pour cela à trois pans majeurs du doctorat :
la vie au laboratoire ;
les colloques et autres congrès ;
le terrain de recherche.
Cette structuration en trois volets a vocation tant à mettre en lumière les violences vécues par les doctorant·es qu’à aider les établissements à mieux comprendre ces problématiques et à trouver des solutions adéquates pour mieux les accompagner. Elle se veut donc utile pour l’ensemble de la communauté de l’Enseignement Supérieur qui cherche à lutter contre les violences sexistes et sexuelles : c’est pourquoi nous vous encourageons à diffuser largement ce questionnaire.
Association totalement indépendante, l’Observatoire des VSS dans l’Enseignement Supérieur œuvre depuis 2019 auprès de la population étudiante dans toute la France. Nos enquêtes ont déjà mené à la publication de deux rapports, en 2020 et 2023, présentant un état des lieux des VSS subies par les étudiant·es à l’échelle nationale et appuyant nos propositions auprès des institutions de l’Enseignement Supérieur pour les accompagner dans le développement de leur politique de lutte contre les VSS.
Notre association souscrit aux normes du Règlement général sur la protection des données (RGPD). Le formulaire permettant de répondre au questionnaire ne nécessite l’inscription d’aucune adresse IP ou élément permettant de reconnaître l’identité des répondants : l’enquête est parfaitement anonyme. Les données recueillies seront traitées de manière à garantir l’impossibilité pour quiconque de recouper les identités des répondant·es à travers les rapports ou jeux de données que nous publierons. Enfin, l’Observatoire des Violences Sexistes et Sexuelles dans l’Enseignement Supérieur ne publiera aucune réponse texte brute : nous les agrégeons et les reformulons pour assurer l’anonymat absolu des répondant·es. Enfin, il n’est aucunement demandé aux répondant·es d’identifier leur école doctorale ou leur laboratoire. Les données recueillies seront traitées de manière à garantir l’impossibilité pour quiconque de recouper les identités des répondant·es à travers les rapports ou jeux de données que nous publierons
Nous sommes disponibles pour répondre à vos interrogations et vous remercions pour le partage de notre questionnaire. Nous publierons ensuite un rapport détaillé présentant les réponses et des pistes de recommandations et nous le diffuserons par les mêmes canaux que ce questionnaire.
Victoria Leroy, pour l’Observatoire des Violences Sexistes et Sexuelles dans l’Enseignement Supérieur – Victoria Leroy, Doctorante en Géographie (Université Lyon 2・UMR 5600 EVS)