Conférence / “L’espace muséographique au Japon : concepts et spécificités” (dans le cadre des Rencontres Asie-Sorbonne avec de jeunes docteurs, 14 janvier 2021 17h30-19h, en ligne)

Conférence de Giada Ricci 

“L’espace muséographique au Japon : concepts et spécificités”

Vendredi 14 janvier 2021

17h30-19h en ligne

Résumé :

Considérant l’espace muséographique comme une expression culturelle, cette recherche aborde les pratiques japonaises dans les musées d’art, l’architecture et les espaces d’exposition, ainsi que les modes de présentation des œuvres d’art et des objets, jusqu’à nos jours. En reprenant les pratiques spatiales de l’architecture prémoderne, les musées au Japon ont développé des modalités propres de conception de l’espace. Construire en revisitant la tradition est la manière spécifiquement japonaise de faire revivre le patrimoine dans les musées, attitude qui s’exprime notamment par l’attention à la nature, l’emplacement dans le site et le choix des matériaux, l’intimité du rapport intérieur- extérieur, le parcours et l’articulation des espaces.

Alliant esthétique et fonctionnalité, qualité architecturale et environnementale, qualité muséographique et conservation des œuvres, les musées et les aménagements muséographiques contemporains au Japon, souvent l’œuvre d’architectes japonais reconnus internationalement, se révèlent ainsi des réalisations exemplaires et cohérentes, qui expérimentent avec succès une architecture d’interrelations complexes dans une vision du musée ouvert aux visiteurs, aux sensations et au monde.

Poster de l’événement ici.

Conférence / “Exploration of the eternal absolute truth” (Inalco, Mardi 14 décembre 2021 – 14h00-15h30)

Yoji Sato

“Exploration of the eternal absolute truth”

Mardi 14 décembre 2021 – 14:00 – 15:30

Pour assister à la conférence en présentiel :

Maison de la Recherche – Auditorium Georges Dumézil
Inalco, 2 rue de Lille, 75007
Entrée sur présentation du pass sanitaire. 

Pour suivre la conférence à distance, merci de contacter frederic.wang[at]inalco.fr

Exploration of the eternal absolute truth

Conférence donnée par Yoji SATO, président de la Fondation Eurasia (from Asia) en japonais traduite par Anne Ségot, interprète de conférence (AIIC).

Résumé
La recherche d’une vérité éternelle et absolue est le but ultime de toutes les disciplines et de toutes les religions. Il y a des limites de la connaissance, mais il n’y en a pas en imagination. Pour se rapprocher le plus possible de cette vérité éternelle et absolue, l’imagination est indispensable. Cela inclut une force mentale et le pouvoir de croire. En particulier, nous pensons que la religion et la mécanique quantique touchent au plus près de cette vérité éternelle et absolue.

Diplômé d’une licence de commerce à l’Université Waseda et ancien président de l’entreprise Dyman Japan Holdings, Monsieur Yoji Satô est fondateur et président de l’Eurasia Foundation (from Asia) qui soutient dans le monde entier 500 universités dans le domaine de l’éducation et de la recherche.

Conférence / “L’Empereur des ombres : Vies et légendes japonaises de Napoléon (1800-1900)” (MFJ – 6 décembre 2021, 18h-20h, HdT)

François Lachaud (EFEO)

“L’Empereur des ombres : Vies et légendes japonaises de Napoléon (1800-1900)”

lundi 06 décembre 2021 / 18 h – 20 h

Cette conférence se tiendra sur la plateforme Zoom. Merci de bien vouloir les entrer dans l’application Zoom afin de participer à l’événement.

CLIQUER ICI POUR VOUS INSCRIRE 

Après votre inscription, vous recevrez un e-mail de confirmation contenant les instructions pour rejoindre le webinaire.

Résumé de la présentation

L’année 2021 coïncide avec celle de la mort de Napoléon, le plus célèbre des Français. Depuis son sépulcre des Invalides, sa présence réelle se fait partout sentir : héros de guerre, génie de l’administration, créateur d’une nouvelle Europe. Si le terme grands hommes a perdu de son prestige dans une France soucieuse de relire les héritages de son passé à la lumières des modes du présent, malgré toutes les légendes noires, le nom de Napoléon a franchi les frontières jusqu’à l’Archipel japonais ou son nom fut connu au Japon dès 1812. Il devint le conquérant universel dans un poème de Rai Sanyō (1780-1832), le héros d’une génération désenchantée à la fin du bakufu, un des symboles universels de la grandeur française enfin. Seul Pierre le Grand (1672-1825) qui, le premier prit, voici 300 ans, le titre d’Empereur de toutes les Russies en 1721 voici trois cents ans – lui disputa cet honneur. À travers un choix de textes et d’images méconnues ou ignorées, F. Lachaud étudie le passage de la biographie à la légende de Napoléon au Japon à travers le souverain des sources officielles et des recherches hollandistes (rangakusha 蘭学者), le conquérant imaginaire des poètes et des lettrés, les « Napoléon du peuple ». L’Empereur aura été un modèle pour le Japon moderne qui naissait alors. Faute d’avoir connu ce pays vivant, Son ombre y conquit les imaginaires et dicta d’outre-tombe une page singulière de sa légende. 


Modérateur : Bernard THOMANN (IFRJ-MFJ)

Organisation : IFRJ-MFJ

Conférence / « Chine, Corée, Japon : les féministes en lutte contre le modèle familial » (Inalco, cycle “L’Asie en conférences”, mercredi 15 décembre 2021 – 18h30-20h30)

Dans le cadre du cycle de débats consacré aux questions d’actualité en Asie, l’Inalco et Asialyst proposent la conférence Chine, Corée, Japon : les féministes en lutte contre le modèle familial pour mieux comprendre les mouvements féministes en Chine, au Japon et en Corée du Sud. Le débat sera aussi diffusé en direct sur YouTube Live.

Inscription et pass sanitaire obligatoires pour assister à l’événement en présentiel.

Mercredi 15 décembre 2021 – 18.30-20.30 – PLC (Paris 13e) – Auditorium

Plus d’information sur le site de l’Inalco ici.

Conférence / “Craft and Magic. Translating Japanese Literature in the Italian Context” (Meiji jingû Lecture in Paris 2021, vendredi 26 novembre 2021, 18h00-19h30)

Professor Giorgio AMITRANO (Università di Napoli L’Orientale)

Craft and Magic. Translating Japanese Literature in the Italian Context

November 26th 2021 (Friday), 18h-19h30

ZOOM LINK: will be available on UFR LCAO’website and on Moodle, Nov. 16th 2021.

(Recording Room 481 C, Université de Paris, Grands Moulins, aile C, 4th Floor)

Abstract

The lecture will present an overview of the context in which translation of Japanese literature started and developed in Italy, and of how it gradually evolved as the reception of Japanese authors changed. Examples and comments on the persistence of indirect translation, disapproved by specialists of Japanese studies but still valued by publishers, will be provided. The presentation will also touch on the experience of the translator, divided between a down-to-earth exercise of practical skills and a subtler approach, aimed to intercept the hidden, elusive dynamics of a Japanese literary text.

Giorgio Amitrano is Professor of Japanese Language and Literature at Università di Napoli L’Orientale, and Director of the Centre of East Asian Studies and Coordinator of the PhD Program of the Department of Asian, African and Mediterranean Studies. He is the President of the Italian Association of Japanese Studies (AISTUGIA). From 2013 to 2016 he was Director of the Italian Cultural Institute in Tokyo and Director of the Italian School of East Asian Studies, Kyoto. He has translated into Italian several works by Japanese writers such as Kawabata Yasunari, Mishima Yukio, Miyazawa Kenji, Inoue Yasushi, Nakajima Atsushi, Kajii Motojirō, Murakami Haruki and Yoshimoto Banana. In 2011 he received the 12th Noma Award for the Translation of Japanese Literature and in 2020 he was awarded the Order of the Rising Sun, Gold Rays with Neck Ribbon, from the Japanese Government.

Lecture in English. Organization : Cécile Sakai, UFR LCAO, CRCAO. Informations and registrations (mandatory) for room 481 C (18 seats): cecile.sakai[at]u-paris.fr

[Rappel] Conférence / “The Fate of New Parties in Japan: Resource Imbalance & Strategic Trade-offs” (vendredi 26 novembre 2021, 9h30-11h30)

La prochaine séance du séminaire du Groupe d’Étude sur le Politique au Japon aura lieu le Vendredi 26 novembre 2021, de 9h30 à 11h30, autour de la présentation suivante :

“The Fate of New Parties in Japan: Resource Imbalance & Strategic Trade-offs”

par Elena Korshenko (Doctorante, Université libre de Berlin)

L’affiche de la séance est disponible ici.

Le séminaire est ouvert à toutes et à tous.

Il se tiendra en hybride :

  • À l’Université de Paris, 5 rue Thomas Mann 75013, en Salle 481C (Grands Moulins)
  • Et via ZOOM : veuillez contacter arnaud.grivaud@u-paris.fr pour le lien d’accès

Plus d’information sur le Carnet Hypothèses du groupe : https://seiji.hypotheses.org

Conférences / “Les sujets (shinmin 臣民) dans la constitution de Meiji” et “L’évolution du concept de peuple (min) en Chine (Séminaire MIN, mercredi 24 novembre 2021, 9h30-12h30)

Le séminaire MIN accueille le mercredi 24 novembre les interventions de Nathan Beridot
(9h30-11h) et Céline Wang (11h-12H30)

Nathan Béridot (Inalco/IFRAE)
« Les sujets (shinmin 臣民) dans la
constitution de Meiji »

Céline Wang (Université de Paris)
“L’évolution du concept de peuple
(min) en Chine : de la primauté du peuple (“minben”民本)à la démocratie
(“minzhu” 民主)” à la charnière du XXe siècle”.

Contact pour accéder au lien de la conférence en ligne : Eddy.Dufourmont[at]u-bordeaux-montaigne.fr

Conférence / “Droits des femmes, discriminations sexuelles et droit du travail au Japon et en France” (jeudi 25 novembre 2021, 18h-20h HdT)

L’Institut Français de Recherche sur le Japon à la Maison franco-japonaise est heureux de vous inviter à la sixième conférence en ligne du cycle «Judiciarisation »  des enjeux sociaux et environnementaux au Japon et en France ».


« Droits des femmes, discriminations sexuelles et droit du travail au Japon et en France »
Jeudi 25 novembre 2021 – 18h-20h (JST) / 10h-12h (France)
En ligne avec traduction simultanée (Français/ Japonais)

Pour plus d’information: https://www.mfj.gr.jp/agenda/2021/11/25/judiciarisation/

Diane Roman (univ. paris 1) 
« Droit et féminisme : les hésitations du Parlement français » 

Résumé : Comment la cause de l’égalité femme-homme est-elle invoquée au Parlement français ? Dans la lignée d’un récent article (« Droit et féminisme : les hésitations du Parlement français », Pouvoirs no 173, juin 2020, Les nouveaux féminismes, pp. 27-38), la communication tentera de faire un bilan de vingt-cinq ans de législation française. Sous la pression sociale et la mobilisation féministe, le Parlement français a adopté de nombreuses lois, depuis le milieu des années 1990, en vue de lutter contre la violence à l’égard des femmes, améliorer l’égalité professionnelle et combattre les discriminations. Peut-on pour autant considérer que le droit français a intégré les acquis du féminisme ? Entre affirmation de l’égalité femmes-hommes, adoption de dispositifs de parité et reconnaissance des enjeux de genre, les mesures adoptées posent question, tant au regard de leur effectivité que de leur ambition.

Profil : Diane Roman est professeure de droit à l’École de droit de la Sorbonne, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et chercheuse à l’Institut des sciences juridique et philosophique de la Sorbonne (UMR CNRS-Paris 1), où elle co-dirige l’axe « Genre et Normativités ». Ses travaux portent sur les droits fondamentaux, qu’elle aborde dans une perspective intersectionnelle d’égalité et de justice sociale. Elle a notamment publié Droits de l’Homme et libertés fondamentales (avec S. Hennette-Vauchez, Dalloz, 5e éd. à paraitre en 2022), La loi & le genre, études critiques de droit français (avec S. Hennette-Vauchez et M.Pichard, Éditions du CNRS, 2014) et La cause des droits. Écologie, progrès social et droits humains, Dalloz, à paraitre en 2022). 

Nakakubo Hiroya (univ. Hitotsubashi)
« Législation et contentieux contre les discriminations sexuelles au travail au Japon et aux États-Unis »

Résumé : Les racines des législations actuelles sur l’égalité femme-homme en matière d’emploi dans les pays de l’OCDE se trouvent dans le titre VII de la loi sur les droits civiques de 1964 (Civil Rights Act). L’interdiction des discriminations fondées sur le « sexe » fut ajoutée lors des dernières étapes des débats législatifs visant à interdire les discriminations raciales, et s’applique à tous les aspects de l’emploi, du recrutement au licenciement. Toutefois, la discrimination sexuelle n’y est pas clairement définie, et la loi a évolué par le biais de la jurisprudence et des contentieux (voir Because of Sex: One Law, Ten cases and Fifty Years That Changed American Women’s Lives at Work [Les femmes états-uniennes contre les discriminations au travail : dix histoires qui ont fait bouger la Cour Suprême, St. Martin’s Press 2016] par Gillian Thomas, que j’ai traduit en 2020.). Dans cette conférence, je comparerai la situation aux États-Unis avec celle au Japon, où la loi sur l’égalité des chances en matière d’emploi a été promulguée en 1985 et réformée plusieurs fois par la suite. J’examinerai ensuite les différences dans le processus législatif ainsi que l’importance des contentieux aux États-Unis et au Japon.

Profil : Nakakubo Hiroya a obtenu son doctorat à l’université de Tokyo, faculté de droit en 1980. Après avoir été assistant professeur à l’université de Tokyo, il a enseigné à l’université de Fukuoka, à l’université de Chiba et à l’université de Kyūshū avant de rejoindre l’université Hitotsubashi en avril 2007 où il est professeur rattaché à la faculté de droit. Il est également diplômé en droit de l’université Harvard où il a obtenu un Master of Law. Ses recherches portent sur le droit du travail japonais en comparaison avec le droit américain. Il a publié plusieurs ouvrages dont Le Droit du travail aux États-Unis (2e édition), chez Kobundo, 2010, Le monde du Droit du travail (13e édition), co-auteur, chez Yuhikaku, 2019, et il a traduit notamment l’ouvrage de Lily Ledbetter, Grace and Grit: My fight for Equal Pay and Fairness at Goodyear and Beyond, publié chez Iwanami shoten, 2014, ainsi que l’ouvrage de Gillian Thomas, Because of Sex: One Law, Ten cases and Fifty Years That Changed American Women’s Lives at Work, publié chez Nihon Hyoronsha, 2020.

Nakano Mami (avocate)
« Luttes contre les discriminations sexuelles sur le lieu de travail »

Résumé : Dans cette présentation, nous nous concentrerons sur les cas de discrimination salariale que nous avons traités en tant qu’avocate, mais également présidente du Réseau des travailleurs temporaires.

Profil : Nakano Mami est avocate, diplômée de la faculté de droit de l’université de Hokkaidō en 1975, enregistrée au Barreau de Tokyo en 1979, elle est spécialiste du Droit du travail. Elle est notamment présidente de l’association à but non lucratif, Réseau des travailleurs temporaires (Haken rōdō network), et membre de l’Association japonaise des juristes du travail (Nihon rōdō bengodan). 

Discutante : Yukiko Itoh (Inalco, univ. mun. d’Osaka) 
Profil : Yukiko Itoh est doctorante en sociologie et en études japonaises à l’IFRAE (UMR 8043) à l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco) depuis 2020 et chercheuse au Urban-Culture Research Center d’Osaka City University depuis 2021. Dans sa thèse, elle explore la façon dont la question des violences sexuelles devient visible dans la société japonaise à travers les médias dits « traditionnels » et les mouvements contre ces problèmes, en lien avec les nouvelles plateformes socio-numériques. Elle est également chargée des partenariats et relations internationales de la Fondation France-Japon de l’EHESS depuis 2018.

Modératrice et responsable du cycle de conférences : Adrienne Sala (IFRJ-MFJ)
Organisation : IFRJ-MFJ
Co-organisation : Fondation France-Japon de l’EHESS

Conférence / “Identification et comparaison des prédicteurs du bien-être subjectif au travail chez les employés français et japonais” (1er décembre 2021, 9h-11h)

La première manifestation du cycle de conférences 2021-2022 organisé par l’Axe travail du groupe de recherche Populations Japonaises (CRCAO-IFRAE) aura lieu le mercredi 1er décembre 2021 de 9 h à 11 h (heure de Paris).

Rémy Magnier-Watanabe
maître de conférences dans le programme MBA international de l’Université de Tsukuba.

Identification et comparaison des prédicteurs du bien-être subjectif au travail chez les employés français et japonais

Date et horaire :

mercredi 1er décembre 2021 de 9 h à 11 h (heure de Paris)

La conférence se tiendra en ligne.

Pour y participer, merci de contacter les organisateurs.

Contact :

César Castellvi : cesar.castellvi@u-paris.fr
Julien Martine : julien.martine@u-paris.fr

Résumé de la présentation :

Le bonheur, ou bien-être, est un sujet important qui retient l’attention des chercheurs en gestion en tant que facteur favorisant la motivation et la performance au travail dans un environnement de plus en plus agité, changeant et stressant. Sur le lieu professionnel, il est considéré comme une source de productivité, de performance et de rétention des employés.

En France d’une part, les acteurs sociaux français se sont réunis en 2013 pour esquisser une définition de la qualité de vie au travail « comme un sentiment de bien-être au travail perçu collectivement et individuellement qui englobe l’ambiance, la culture de l’entreprise, l’intérêt du travail, les conditions de travail, le sentiment d’implication, le degré d’autonomie et de responsabilisation, l’égalité, un droit à l’erreur accordé à chacun, une reconnaissance et une valorisation du travail effectué ». Au Japon d’autre part, l’administration Abe avait entamé en 2016 une « réforme du style de travail », visant spécifiquement la baisse de productivité induite par le vieillissement et le déclin de la population. Un aspect majeur du projet de loi adopté en 2018 était la limitation des heures supplémentaires et la possibilité d’arrangements de travail plus flexibles.

Cette étude explore empiriquement les antécédents du bien-être subjectif au travail pour les employés japonais et français au-delà de ceux déjà identifiés dans la recherche centrée sur les États-Unis. Nous avons procédé en deux étapes, consistant en des entretiens et des enquêtes par questionnaire. Nous avons identifié 8 et 13 facteurs originaux pour les Japonais et les Français, respectivement, avec des différences notables entre les deux groupes. Ces résultats aideront les employeurs nationaux et internationaux à créer un environnement de travail adapté, capable de maximiser le bien-être au travail, les performances professionnelles et la rétention de leurs employés.

À propos du conférencier :

Rémy Magnier-Watanabe est maître de conférences dans le programme MBA international de l’Université de Tsukuba, à Tokyo. Il est diplômé de l’École de Management de Grenoble en France, est titulaire d’un MBA de l’Institut de Technologie de Géorgie aux États-Unis et a obtenu un doctorat en ingénierie industrielle et économie à l’Institut de Technologie de Tokyo au Japon. Il a également passé une année à l’université Harvard à Cambridge aux États-Unis, où il a mené des recherches sur les investissements directs étrangers japonais dans le pays. Ses recherches portent sur la gestion des connaissances, le management interculturel, les investissements directs étrangers et le bien-être subjectif au travail. Avant sa carrière universitaire, il a travaillé plusieurs années aux États-Unis comme responsable de la formation pour un grand fabricant français d’équipements et de lignes de conditionnement pour les boissons emballées en PET.

Poster de la conférence disponible ici.

Résumé de la présentation disponible ici.