[Enquête] Observatoire des Violences Sexistes et Sexuelles dans l’Enseignement Supérieur

L’Observatoire des Violences Sexistes et Sexuelles dans l’Enseignement Supérieur a lancé début juin une nouvelle enquête intégralement dédiée aux enjeux du doctorat, à laquelle plus de 800 personnes ont déjà répondu ! Nous vous sollicitons pour vous inviter à alimenter cette enquête, et à partager notre questionnaire aux doctorant·es et jeunes chercheur·ses autour de vous.

Vous pouvez répondre à l’enquête si vous êtes actuellement doctorant·e d’un établissement français, ou si votre doctorat s’est terminé après janvier 2020 (plus de détails ci-dessous). Il n’est, bien heureusement, absolument pas nécessaire d’avoir été concerné·e par des faits de violences de genre pour que vos réponses nous soient utiles !

Le questionnaire se trouve ici : https://www.surveyhero.com/c/qgmr9i7s. L’enquête est ouverte jusqu’au 30 juin ! Nous estimons la durée moyenne du questionnaire à 30 minutes. Conscient·es que ce temps de passation est long, nous vous proposons dorénavant de pouvoir enregistrer automatiquement vos réponses au fur et à mesure, ainsi vos réponses pourront être étudiées même si vous n’allez pas au bout du questionnaire.

 PLUS D’INFORMATIONS ↓ –

L’enquête est destinée aux personnes actuellement inscrites en doctorat, ainsi qu’aux personnes ayant terminé leur doctorat (via la soutenance ou par abandon) après janvier 2020, dans un établissement français. L’enquête ne concerne pas les thèses d’exercice dans le cadre des diplômes d’état en médecine, pharmacie, chirurgie dentaire ou médecine vétérinaire. 

Elle a pour objectif d’évaluer et d’analyser les conditions de travail des doctorant·es au regard de leurs sentiments de sécurité et de bien-être, et en particulier au regard des discriminations et violences dont iels pourraient être victimes ou témoins en raison de leur genre ou de leur orientation sexuelle. Cela nous permettra également d’estimer l’impact de ces facteurs sur la bonne poursuite des études doctorales et des carrières de recherche. 

Nous nous intéressons pour cela à trois pans majeurs du doctorat : 

  • la vie au laboratoire ;
  • les colloques et autres congrès
  • le terrain de recherche

Cette structuration en trois volets a vocation tant à mettre en lumière les violences vécues par les doctorant·es qu’à aider les établissements à mieux comprendre ces problématiques et à trouver des solutions adéquates pour mieux les accompagner. Elle se veut donc utile pour l’ensemble de la communauté de l’Enseignement Supérieur qui cherche à lutter contre les violences sexistes et sexuelles : c’est pourquoi nous vous encourageons à diffuser largement ce questionnaire. 

Association totalement indépendante, l’Observatoire des VSS dans l’Enseignement Supérieur œuvre depuis 2019 auprès de la population étudiante dans toute la France. Nos enquêtes ont déjà mené à la publication de deux rapports, en 2020 et 2023, présentant un état des lieux des VSS subies par les étudiant·es à l’échelle nationale et appuyant nos propositions auprès des institutions de l’Enseignement Supérieur pour les accompagner dans le développement de leur politique de lutte contre les VSS. 

Notre association souscrit aux normes du Règlement général sur la protection des données (RGPD).
Le formulaire permettant de répondre au questionnaire ne nécessite l’inscription d’aucune adresse IP ou élément permettant de reconnaître l’identité des répondants : l’enquête est parfaitement anonyme. Les données recueillies seront traitées de manière à garantir l’impossibilité pour quiconque de recouper les identités des répondant·es à travers les rapports ou jeux de données que nous publierons. Enfin, l’Observatoire des Violences Sexistes et Sexuelles dans l’Enseignement Supérieur ne publiera aucune réponse texte brute : nous les agrégeons et les reformulons pour assurer l’anonymat absolu des répondant·es.
Enfin, il n’est aucunement demandé aux répondant·es d’identifier  leur école doctorale ou leur laboratoire. Les données recueillies seront traitées de manière à garantir l’impossibilité pour quiconque de recouper les identités des répondant·es à travers les rapports ou jeux de données que nous publierons

Nous sommes disponibles pour répondre à vos interrogations et vous remercions pour le partage de notre questionnaire. Nous publierons ensuite un rapport détaillé présentant les réponses et des pistes de recommandations et nous le diffuserons par les mêmes canaux que ce questionnaire.

Victoria Leroy, pour l’Observatoire des Violences Sexistes et Sexuelles dans l’Enseignement Supérieur – Victoria Leroy, Doctorante en Géographie (Université Lyon 2・UMR 5600 EVS)

[Rencontre] En mémoire de Francine Hérail

Les élèves et ami(e)s de feue Francine Hérail organisent une rencontre pour évoquer sa mémoire le vendredi 21 juin 2024, de 16h à 18h. Elle aura lieu dans la salle de Sacy, au 2ème étage du 2 rue de Lille (INALCO).

Les personnes qui souhaiteraient se joindre à cette rencontre sont les très bienvenues. Pour des raisons logistiques, elles sont invitées à se signaler auprès de Matthias Hayek.

[Disparition] Décès de Francine Hérail

C’est avec tristesse que nous vous annonçons le décès de Francine Hérail, qui fut, entre bien d’autres distinctions, la première membre d’honneur (2015) de la SFEJ.

Elle s’est éteinte avant-hier dans la nuit.

Nathalie Kouamé a eu la gentillesse de rédiger un texte évoquant sa mémoire, que nous joignons à ce message.

Pionnière en France de l’histoire du Japon classique, elle nous a donné une oeuvre imposante et fondamentale, servant de référence à de nombreux travaux jusqu’à aujourd’hui encore. Citons notamment :

  • Histoire du Japon des origines à Meiji, Paris, Publications orientalistes de France, 1986, 462 p. 
  • Histoire du Japon, des origines à nos jours, Hermann, 2013, 1413 p. (rééd.)
  • La Cour et l’Administration du Japon à l’époque de Heian, Droz, 2006, 793 p. (rééd.)
  • Recueil de décrets de trois ères méthodiquement classés, traduction et commentaire du Ruiju sandai kyaku, livres 8 à 20, École Pratique des Hautes Études, Sciences historiques et philologiques, Hautes Études Orientales, et livres 1 à 7, Hautes Études Orientales, Genève, Droz, 2008 (811 p.) et 2011 (779 p.)
  • Notes journalières de Fujiwara no Michinaga (995-1018), traduction du Midô kanpakuki, Genève et Paris, Droz, 1987, 1988 et 1991, (tome 1 : 640 p. ; tome 2 : 782 p. ; tome 3 : 772 p.).

Les obsèques auront lieu le mercredi 10 avril prochain à 14h30, à l’église de Jougne (Doubs).


Texte de Nathalie Kouamé

Une page de l’histoire de la japonologie française vient de se tourner aujourd’hui avec la disparition de Francine Hérail.
Les plus anciens de notre communauté ont tous eu l’occasion de lire ou de rencontrer cette grande historienne et savent l’importance de son travail et l’étendue de ses connaissances; les plus jeunes doivent savoir en ce jour ce qu’ils lui doivent quand bien même ils n’auraient pas eu l’occasion de la croiser ou de se plonger dans les milliers de pages qu’elle a produites sur l’histoire générale du Japon et l’époque de Heian.
Née en 1929, normalienne, agrégée d’histoire, professeur à l’INALCO (1974) puis directrice d’études à l’EPHE (1981), Francine Hérail a donné à l’historiographie française japonisante la dimension scientifique que celle-ci possède de nos jours. Francine Hérail fondait en effet son immense savoir historique sur une connaissance des plus approfondie et des plus fine des textes d’époque, que ces matériaux soient rédigés en japonais ou en chinois classique. Ce « goût de l’archive » japonaise, largement partagé aujourd’hui par les chercheurs japonisants, n’allait pas de soi à l’époque où Francine Hérail se lança dans la voie, qu’elle disait « sans fin », des études sur l’histoire de l’archipel.
C’est en ce sens que nombre d’entre nous lui devons beaucoup, que l’on ait été, comme moi, son élève, ou que nous ayons baigné, directement ou par nos maîtres, dans l’atmosphère qu’elle et quelques autres pionniers de sa trempe imprimèrent aux études japonaises hexagonales durant la seconde moitié du vingtième siècle.
Un maître mot résume cet apport: rigueur, une qualité dont témoignent en particulier ses traductions minutieuses de sources primaires essentielles de l’histoire du Japon classique, depuis les codes de l’administration aux journaux privés et autres mémoires des aristocrates fonctionnaires qui se trouvaient au coeur de la vie politique.
Ceux qui ont rencontré Francine Hérail vous parleront à coup sûr de la douceur de son ton, de sa discrétion, et de sa modestie non feinte. Ceux qui l’ont connue évoqueront son humour, sa juste appréciation de la nature humaine, son amour pour la littérature française, et son penchant pour les questions économiques. Mais, pour nous tous, son nom, son œuvre et son image resteront à jamais attachés au monde unique de l’aristocratie de cour du Japon ancien, un monde que nul ami du Japon ne saurait ignorer sans prendre le risque de méconnaître ce pays.
Nul doute : il nous faut encore, et toujours, lire Francine Hérail.

Nathalie Kouamé, le 4/4/2024


Celles et ceux qui souhaiteraient connaître un peu plus précisément le parcours de l’historienne Francine Hérail pourront consulter l’ouvrage issu d’entretiens entre Nathalie Kouamé et Francine Hérail, Conversations sous les toits – De l’histoire du Japon, de la manière de la vivre et de l’écrire, éditions Philippe Picquier, 2008.

[Présentation d’ouvrage] »Histoire d’Edo-Tokyo vue par la santé », Susan L. Burns, 4 avril 2024, Université Paris Cité

Susan L. Burns présentera son nouveau livre, histoire d’Edo-Tokyo vue par la santé, à Université Paris Cité le jeudi 4 avril. 

La séance prendra sous forme d’un atelier et le manuscrit du 6e chapitre « Waste, Water, and Poverty in Tokyo: Cholera and Urban Infrastructure » sera préalablement transmis aux participants, sur demande (contact : ken.daimaru@u-paris.fr). 

Elle se déroulera en salle 405B du bâtiment de la Halle aux Farines d’Université Paris Cité, de 10h à 12h.

[Décès] M. Yamaguchi Kōichi, le 23 février 2024

Le département d’études japonaises de l’Université Jean Moulin Lyon 3 a la tristesse d’annoncer le décès de M.Yamaguchi Kōichi, survenu le vendredi 23 février 2024 à l’Hôpital St Joseph de Lyon.

Né le 17 février 1949, Yamaguchi sensei avait grandi sur l’île septentrionale de Hokkaidō. Recruté à Lyon 3 par le Professeur Jean Cholley en 1989, il était diplômé d’un doctorat en sciences agricoles de l’Université Tōkyō nōgyō daigaku, et a assuré pendant une trentaine d’années de nombreux cours dans notre département en tant que vacataire, à la fois dans les filières LLCER et LEA et lors de cours du soir dans le cadre du DU de langue japonaise. Très intéressé par la poésie japonaise, il a coorganisé avec Monsieur Ishida, président de l’association Tanka no tsubasa, deux journées d’étude internationales intitulées Tanka in Lyon à l’Université Lyon 3 les 5 et 6 septembre 2013. 

Tous ceux qui ont côtoyé Yamaguchi sensei garderont le souvenir de sa gentillesse, de sa gaité et de son extraordinaire dévouement. Il était une personnalité très ouverte, aimable, aimant rendre service, portant toujours de si nombreux bagages qu’il pouvait donner l’impression d’être le Père Noël. 

Guide touristique auprès de l’Office du tourisme de Lyon, il a également fait visiter la ville de Lyon et la région à bon nombre de touristes japonais, aimant par exemple les emmener sur les traces d’Antoine de Saint-Exupéry. 

Nous présentons à sa famille nos plus sincères condoléances en nous associant pleinement à sa peine.

Ses obsèques auront lieu vendredi 1er mars à 10h45 au Crématorium de Lyon – 17 rue Pierre Delore, 69008 Lyon

[Certification japonais JLPT] Nantes université 7 juillet 2024

Organisé à travers le monde par la Japan Foundation (JF), représenté en France par la Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP), et en coopération avec l’association Japan Educational Exchanges and Services (JEES) qui propose le test sur le territoire national japonais, le Japanese-Language Proficiency Test (JLPT) est un test d’aptitude qui évalue depuis 1984 les compétences linguistiques des apprenants non-natifs de la langue japonaise sur 5 niveaux.

Nantes Université accueille au sein de son Établissement une première session le dimanche 7 juillet 2024, ouverte à tous les publics. Les inscriptions sont ouvertes à partir du 23 février selon les modalités suivantes :

  • en ligne, pré-inscriptions jusqu’au 23 mars 2024 et réception du dossier jusqu’au 29 mars 2024 à 12h00.
     
  • en présentiel, avec le dossier complet jusqu’au 29 mars 2024 à 12h00.
     
  • Pour les demandes d’aménagements : 22 mars 2024 à 12h00.

Nantes Université, Campus Tertre, Chemin de la Censive du Tertre, 44 312 Nantes cedex 3

=> Toutes les informations complémentaires sont disponibles sur ce lien.

[Exposition photographique] »Sur les traces de Fukushima 福島の跡 », MCJP, 13 février au 9 mars 2024

Cécile Asanuma-Brice a le grand honneur et l’immense plaisir de pouvoir vous annoncer l’ouverture de son exposition photographique 「Sur les traces de Fukushima 福島の跡 」à la Maison de la Culture du Japon à Paris à partir du 13 février jusqu’au 9 mars 2024. Entrée gratuite.

« Sur les traces de Fukushima » présente les traces des lieux d’existence dans la zone à Fukushima avant qu’elles ne disparaissent à jamais, pour être remplacées par les villes-objets produits par l’industrie urbaine. Cette exposition des photographies de Cécile Asanuma-Brice est une co-production du Centre de Recherches sur le Japon (CRJ), en partenariat avec MITATE lab. et l’Humathèque (Campus Condorcet).

https://www.mcjp.fr/fr/la-mcjp/actualites/sur-les-traces-de-fukushima

Cécile Asanuma-Brice 

Chercheure CNRS basée au Japon, elle y co-dirige avec Olivier Evrard (CEA) le programme international de recherche pluridisciplinaire CNRS Mitate Lab. sur les conséquences de l’accident nucléaire de Fukushima. En 2000, elle rejoint l’école d’ingénieur de l’université de Chiba au Japon, où ses recherches sont financées par une première bourse JSPS/CNRS, puis par le Ministère japonais de la recherche et de l’enseignement (MEXT).

Avec une double formation en urbanisme (DESS) et une thèse en géographie humaine de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales dirigée par Augustin Berque (prix de la Fondation du Japon, Ordre du Soleil Levant et Prix international Cosmos), elle est auteure de nombreux articles sur les conséquences de l’accident nucléaire de Fukushima, ainsi que sur les transformations de la ville japonaise et les logiques sous-jacentes à la production de l’urbain. Elle fut rédactrice de la page Japosphère du journal Libération jusqu’en 2020. 

Conseillère scientifique de plusieurs films documentaires dont « irradiés », réalisé par Rithy Pahn (primé par un Ourson d’or à Berlin en 2020), elle développe également un travail photographique qui se traduit par des photos directement liées aux conséquences de la catastrophe nucléaire, mais également par des productions plus artistiques (compositions). Ses œuvres photographiques furent exposées à Yokohama, Tôkyô, Fukushima et Paris.

Elle est auteure de deux ouvrages :

  • Un siècle de banlieues japonaises, au paroxysme de la société de consommation, aux éditions Métispresses, 2019. 
  • Fukushima, 10 ans après. Sociologie d’un désastre nucléaire, Ed° Maison des Sciences de l’homme, 2021.

[Présentation d’ouvrage] Science for Governing Japan’s Population, Homei Aya, 15 février 2024

Homei Aya, maîtresse de conférences en études japonaises à l’université de Manchester, présentera son livre Science for Governing Japan’s Population (Cambridge University Press, 2022) à l’université Paris Cité jeudi 15 février 2024.

La présentation se déroulera en mode hybride en salle Léon Vandermeersch (481C, 4e étage, aile C, 5 rue Thomas Mann, 75013, Paris) de 14h à 16h, et sur Zoom.

Rejoindre Zoom Réunion : https://u-paris.zoom.us/j/82854079281?pwd=K3BQT0NTdFNya1FMd0t1eVdFQUlNZz09; ID de réunion: 828 5407 9281, Code secret: 838483

Cette présentation sera précédée d’une autre conférence intitulée « Administrative materials related to forced sterilization in Japan », qui aura lieu le mercredi 14 février de 15h30 à 18h30 dans la même salle.

https://www.crcao.fr/2023/09/26/histoire-de-lasie-orientale-contemporaine-sources-methodes-objets-2/

Twenty-first-century Japan is known for the world’s most aged population. Faced with this challenge, Japan has been a pioneer in using science to find ways of managing a declining birth rate. Science for Governing Japan’s Population considers the question of why these population phenomena have been seen as problematic. What roles have population experts played in turning this demographic trend into a government concern? Aya Homei examines the medico-scientific fields around the notion of population that developed in Japan from the 1860s to the 1960s, analyzing the role of the population experts in the government’s effort to manage its population. She argues that the formation of population sciences in modern Japan had a symbiotic relationship with the development of the neologism, “population” (jinkō), and with the transformation of Japan into a modern sovereign power. Through this history, Homei unpacks assumptions about links between population, sovereignty, and science. This title is also available as Open Access. 

Livre disponible en accès libre sur ce lien.

[Célébration] 30 ans de l’Institut d’Asie Orientale (IAO), mercredi 13 & jeudi 14 décembre 2023, Lyon

L’Institut d’Asie Orientale (IAO) est heureux de vous convier à la célébration de ses 30 ans. Deux journées de conférences et de tables rondes se tiendront les mercredi 13 et jeudi 14 décembre 2023 à « La Parenthèse » au sein de la Bibliothèque Diderot de Lyon (BDL). 

Vous trouverez le programme complet sur le site de l’IAO : https://iao.cnrs.fr/wp-content/uploads/2023/11/PROGRAMME-1.pdf

Les inscriptions sont ouvertes : https://iao.cnrs.fr/actualite/30-ans-de-liao/

Nous serons ravis de vous y retrouver et d’échanger avec toutes et tous lors de ces journées de recherches conviviales.

Béatrice Jaluzot (directrice) & Claude Chevaleyre (directeur adjoint)

[Podcast]Le Japon en perspective, Les sociétés villageoises du Japon d’Edo à travers leurs temples et leurs sanctuaires avec Yannick Bardy

Pour cet épisode, Grégoire Sastre reçoit Yannick Bardy, maître de conférences à l’université de Lille, membre du laboratoire CECILLE et chercheur associé au CRJ de l’Ehess. Il est historien, spécialiste des sociétés locales japonaises durant la période d’Edo (1600-1868).
À travers ses recherches sur les sanctuaires shintō de la province d’Izumi, il nous présente le fonctionnement des sociétés villageoises du Japon de la période d’Edo.

Informations complémentaires et podcast sur ce lien.