19 décembre – 14:30 – 16:30 CET
Intervention de Hugo Trevissan (EHESS), « Enquêter au croisement de la religion et de la politique au Japon : ethnographie d’une communauté évangélique nationaliste ». Campus Condorcet, EHESS, salle C385-C387.
Société française des études japonaises
French Society for Japanese Studies – フランス日本研究学会
Intervention de Hugo Trevissan (EHESS), « Enquêter au croisement de la religion et de la politique au Japon : ethnographie d’une communauté évangélique nationaliste ». Campus Condorcet, EHESS, salle C385-C387.
Journée d’étude « Le Japon au prisme de la dénatalité et du vieillissement de la population », Université Paris Cité / Inalco.
Séance spéciale avec Emiko Ohnuki-Tierney (University of Wisconsin). Campus Condorcet, EHESS, salle C385-C387.
Intervention d’Alice Doublier (CNRS). Campus Condorcet, EHESS, salle C385-C387.
Intervention d’Émilie Letouzey (Revue Terrestre). Campus Condorcet, EHESS, salle C385-C387.
Introduction générale du séminaire par Alice Doublier et César Castellvi. Campus Condorcet, EHESS, salle C385-C387.
Vous trouverez, ci-dessous, le programme du séminaire « Enquêter en terrains japonais » que César Castellvi et Alice Doublier-Akakpo organisent, à partir de cette année, à l’EHESS.
Ce séminaire pour objectif d’amorcer une réflexion collective sur la pratique de l’enquête en sciences humaines et sociales dans le Japon contemporain.
Il s’agira de discuter des enjeux concrets de la pratique de l’ethnographie au Japon dans des contextes variés – institutions publiques, entreprises, infrastructures, milieux ruraux ou urbains, familles, réseaux professionnels etc. – , en prenant appui sur les expériences de terrain des intervenant·es invité·es ou sur des études de cas issues de la littérature. Le but de ce séminaire est donc d’ouvrir un espace de dialogue sur les méthodes de l’enquête, de la construction d’un terrain de recherche aux formes de collaboration et de restitution, en passant bien sûr par les différentes modalités de la relation ethnographique.
Il se tiendra les 1ers, 3èmes et 5èmes jeudis du mois, de 14h30 à 16h30, sur le Campus Condorcet, bâtiment EHESS, salle 385-387 (3eme étage), 2 cours des Humanités, 93300 Aubervilliers (metro Front Populaire). La première séance aura lieu le jeudi 17 octobre.
Le séminaire est ouvert à tous et toutes: il suffit de se préinscrire à cette adresse: https://participations.ehess.fr/demandes/__nouvelle__?seminaire=219.
Vous trouverez toutes les informations et actualités au bout du lien suivant : https://terrainjapon.hypotheses.org/785
La SFEJ a le plaisir de vous annoncer la tenue du huitième Atelier Doctoral des Études Japonaises qui se tiendra le vendredi 13 décembre 2024 dans les locaux de l’Inalco.
Les doctorants en études japonaises sont vivement invités à présenter une communication à l’occasion de cet événement ayant lieu tous les deux ans. L’atelier constitue un espace d’échange permettant aux participants de présenter leur travail à des chercheurs confirmés tout en favorisant la mise en place de réseaux de recherche. Si votre laboratoire de rattachement ou l’école doctorale ne peuvent prendre en charge vos frais de déplacement, vous pouvez effectuer une demande auprès de la SFEJ. En cas d’impossibilité de se rendre sur place ou de séjour à l’étranger, les interventions en ligne sont également acceptées.
DATE : vendredi 13 décembre 2024
LIEU : Inalco
DURÉE DE CHAQUE COMMUNICATION : 20 min
DISCUSSION : 10 min
LANGUE DE TRAVAIL : français
CONDITIONS DE PARTICIPATION : préparer un doctorat en français dans le domaine des études japonaises et être membre de la SFEJ le jour de l’ADEJ (l’adhésion est possible sur place). Merci de préciser les modalités souhaitées de votreparticipation (sur place ou en ligne).
DATE LIMITE D’ENVOI DES PROPOSITIONS DE COMMUNICATION : 10 octobre 2024
Informations complémentaires sur ce lien.
à l’adresse suivante : organisation.adej2024@gmail.com
Conveners: Matthias Hayek (EPHE-PSL, CRCAO) & Agnieszka Kedzierska Manzon (EPHE-PSL, IMAF)
The post-colonial worlds in the broadest sense – including former satellite countries of the Soviet Union and those in the so-called “global South”– are witnessing a religious revival reflected in the proliferation of various « back-to-the-roots » discourses and currents. From an anthropological perspective, the practices promoted in their frame share many formal characteristics of the global New Age and Modern Paganism. From a historical perspective, these new developments are reminiscent of the « indigenist » movements that flourished in post-romantic Europe, or in Japan, and which aimed to « rediscover » a (true or authentic or ancestral) culture, or even an « original » religion, predating Christianization /Westernization (or Buddhization/sinization in the Japanese case). This re-appropriation of the past implies in fact its re-imagining.
While trying at once to grasp the particularities of each given case under study and to highlight sometimes unsuspected convergences between discourses and practices in African and Asian postcolonial contexts, we intend to contribute both to a better understanding of the new forms of ritualization expanding globally and to that of the articulation between religion, collective identity constructions, (the return to) tradition and the rise of nationalism more generally.
INHA, 2 rue Vivienne, 75002 Paris, amphitheater