Agrégation externe de langue et culture japonaises (session 2020)

Le Ministère de l’Education Nationale a décidé l’ouverture du concours de l’agrégation externe de langue et culture japonaises (session 2020).

Cette Agrégation représente un débouché qui devrait intéresser tous les bons étudiants de master.

Le descriptif des épreuves peut être consulté en ligne ici.

Le programme de la session 2020 du concours a été publié le 12 avril 2019 et peut être consulté en ligne ici.

ATTENTION :

Les inscriptions au concours se font par Internet et seront closes le jeudi 10 octobre 2019 à 17 heures, heure de Paris.

L’écrit aura lieu du lundi 2 mars au vendredi 20 mars 2020 ; les candidats admissibles passeront les épreuves orales mi-juin.

Le niveau de diplôme requis pour l’agrégation est le M2 ; toutefois, les candidats admis auront, dans les faits, jusqu’au 30 juin pour présenter au Ministère la justification de l’obtention du M2. Autrement dit, les étudiants qui seront inscrits en M2 en 2019-2020 peuvent se présenter au concours, étant entendu qu’ils devront suivre le cursus de master et valider leur diplôme en même temps qu’ils prépareront l’agrégation.

Préparation à l’agrégation 2019-2020

L’Inalco et l’Université Paris-Diderot proposent conjointement des cours de préparation à l’agrégation.

Ces cours auront lieu les samedis, à l’Inalco, à partir du début novembre. Le programme précis des séances sera diffusé dès qu’il aura été finalisé.

Ces cours peuvent être suivis dans deux cadres :

a) Soit dans le cadre du master de japonais parcours enseignement (master co-habilité Inalco-Paris Diderot) : l’assistance aux cours de préparation à l’agrégation est obligatoire.

b) Soit dans le cadre du cursus « Préparation à l’agrégation » pour lequel une inscription doit être prise soit à l’Inalco, soit à l’Université Paris Diderot.

Sont prévues :

  • deux séances de deux heures sur chacun des deux auteurs au programme en littérature (total : huit heures) ;
  • deux séances de deux heures sur la question d’histoire ;
  • deux séances de deux heures sur la question de civilisation du Japon contemporain ;
  • deux séances de deux heures de préparation à la version ;
  • deux séances de deux heures de préparation au thème ;
  • deux séances de deux heures de préparation à l’exercice de grammaire.

Entre l’écrit et l’oral auront lieu :

  • deux séances de deux heures sur chacun des deux textes classiques au programme (total : huit heures) ;
  • deux séances de deux heures d’entraînement aux oraux.

Pour tout renseignement, s’adresser à Anne Bayard-Sakai, présidente du jury de l’agrégation (anne.bayard-sakai@inalco.fr).

Université de Lille

Master Langues et Sociétés parcours Études Japonaises

Lien vers le site de la section ici.

Le Master Langues et Sociétés parcours Études Japonaises vous forme aux techniques de recherche et aux problématiques, concepts, théories et méthodologies de votre champ disciplinaire en vue de vous préparer aux métiers de l’enseignement supérieur, de la recherche et de la formation.

Trois options professionnalisantes sont proposées :  

  • L’Option Métiers de l’enseignement et de la recherche – Asie de l’Est est, en priorité, axée sur les métiers qui exigent des connaissances approfondies sur la langue et la civilisation chinoises ou japonaises. Elle s’adresse aux étudiants désireux de devenir des spécialistes du Japon dont les expertises sont fortement demandées dans divers secteurs (enseignement, recherche, administrations internationales, universités étrangères, entreprises japonaises, traduction/ interprétariat, bureaux des représentants japonais…). Il s’agit de former les experts capables de faire valoir leurs compétences en langue et civilisation de l’Asie de l’Est sur la scène internationale et ce, en faisant participer les étudiants à des étapes différentes de l’organisation de manifestations scientifiques. Le cours d’anglais scientifique vise à atteindre l’aisance nécessaire pour une présentation de travaux à l’échelle internationale.
  • L’Option Interculturalité s’adresse aux étudiants désireux d’évoluer dans un environnement multiculturel. Elle a pour but de cerner et de structurer une réalité complexe concernant nos sociétés multiples, ici et ailleurs. Il s’agit de rendre cette réalité pensable et d’examiner les moyens d’intervenir sur elle en proposant une autre manière de réfléchir sur le vivre ensemble.
  • L’Option Traduction et médiation linguistique poursuit un double objectif : d’une part, vous préparer à une insertion professionnelle directe dans le domaine de la traduction et de l’édition en sciences humaines ; et d’autre part, donner des outils praxéologiques aux étudiants s’orientant vers la recherche dans le domaine de la traductologie et de la médiation linguistique.

Selon votre activité, vous pouvez être amené à :

  • Enseigner le japonais
  • Animer des stages de langue
  • Concevoir des supports de cours et de formation
  • Effectuer des recherches documentaires approfondies sur un sujet
  • Exposer oralement un point de vue documenté et argumenté
  • Élaborer des documents écrits correspondant aux normes de publications scientifiques, en langue japonaise

Spécificités de la formation

  • Chaque séminaire est axé sur un champ disciplinaire spécifique : 1) histoire et société, 2) linguistique, 3) littérature.   
  • L’aménagement est possible pour se spécialiser dans l’une de ces disciplines pour laquelle est requise une méthodologie différente.   
  • Au-delà du souci pour la spécialisation, la formation insiste sur l’importance de l’analyse de textes / documents en japonais, compétence indispensable pour l’expertise dans la matière.  
  • Il est possible que les étudiants en M2 présentent leur travaux dans le cadre de la journée doctorale Lille-Bruxelles sur l’Asie de l’Est qui se tient annuellement en collaboration avec l’université libre de Bruxelles.  
  • Enfin, certains séminaires sont menés uniquement en japonais.

Adossement à la recherche

Les parcours du Master mention Langues et sociétés sont adossés au projet scientifique de 2 laboratoires :

Compétences visées

  • Maîtriser la langue japonaise et connaître ses structures
  • Connaître la civilisation, la culture et la société nippones
  • Élaborer une problématique, construire un objet de recherche, défendre une position personnelle
  • Mener des recherches documentaires (notamment au moyen des Technologies de l’Information et de la Communication)
  • Traiter l’information en situation complexe
  • Communiquer des informations, présenter et argumenter un sujet (à l’oral et à l’écrit, en français et en japonais)
  • Élaborer les dispositifs d’apprentissage et transmettre des savoirs et des méthodes de travail
  • Acquérir les méthodologies de la recherche
  • Utiliser les outils numériques pour la production et le transfert des connaissances
  • Développer et intégrer des savoirs spécialisés
  • Construire son projet professionnel

Bibliographie indicative sur l’Histoire des arts à l’époque Meiji (suite)

Complément : Etudes en langue japonaise

INAGA Shigemi 稲賀繫美 (éd.), Dentô kôgei saikô, miyako no uchisoto : kako hakkutsu, genjô bunseki, shôrai tenbô, 伝統工藝再考・京のうちそと : 過去発掘・現状分析・将来展望 (« La renaissance des arts et artisanats traditionnels, dans et hors de Kyôto : redécouverte du passé, analyse du présent, perspectives d’avenir »), Kyôto, Shibunkaku shuppan 思文閣出版, 2007 ; 463 p.
KANBAYASHI Tsunemichi 神林恒道, Kindai Nihon « bigaku » no tanjô 近代日本『美学』の誕生 (« La naissance de l’ »esthétique » dans le Japon moderne »), Tokyo, Kodansha(collection gakujutsu bunko), 2006, 317 p.
KINOSHITA Naoyuki 木下直之, Bijutsu to iu mise mono 美術という見せ物 (« Cet objet de spectacle dénommé « art  » »), Tôkyô, Heibon-sha 平凡社, 1993, 401 p.
KITAZAWA Noriaki 北沢憲昭, Me no Shinden. « bijutsu » juyô-shi nôto. 目の神殿―「美術」受容史ノート, (« le Temple de l’OEil. Notes pour une histoire de la réception de l’ »art » au Japon »). Tôkyô, Bijutsu shuppansha 美術出版社, 1989, 338 p.
NAKAMURA Giichi 中村義一 Nihon kindai bijutsu ronsô-shi 日本近代美術論争史 (« Histoire des polémiques dans l’art moderne japonais »). Tôkyô, Kyûryûdô 求龍堂, 1982, 2 volumes.
TAKI Teizô 瀧悌三, Nihon kindai bijutsu jikenshi 日本近代美術事件史, (« Histoire événementielle de l’art moderne japonais »). Ôsaka, Tôhô shuppan 東方出版, 1993, 447 p.
SATÔ Dôshin 佐藤道信 ; Nihon Bijutsu Tanjô 『日本美術』誕生 (« La Naissance de l’ »art japonais » »), Tôkyô, Kôdansha 講談社, 1996, 244 p.

Sources en langue occidentale : ouvrages collectifs, histoires et monographies

CHARRIER Isabelle, La Peinture japonaise contemporaine de 1750 à nos jours, Besançon, La Manufacture, 1991, 197 p.
CONANT Ellen (dir.), Challenging Past and Present – the Metamorphosis of 19th Century Japanese Art, Honolulu, University of Hawaii Press, 2006, 292 p.
FOXWELL Chelsea, Making Modern Japanese-Style Painting : Kano Hōgai and the
Search for Images
, Chicago/Londres, University of Chicago Press, 2015, 281 p.
GUTH Christine, Art, Tea and Industry : Masuda Takashi and the Mitsui Circle, Princeton, Princeton U.P., 1993, 231 p.
LUCKEN Michael, L’Art du Japon au XXe siècle : pensée, forme, résistances. Paris, Hermann,2001, 270 p.
LUCKEN Michael. Les fleurs artificielles : création, imitation et logique de domination, Paris, Presses de l’Inalco, 2016, 278 p.
MARRA Michael F. (ou Michele) (dir.), A History of Modern Japanese Aesthetics, Honolulu, University of Hawaii Press, 2003, 398 p.
RIMER J. Thomas et MCCALLUM Toshiko M. (éd.) Since Meiji : Perspectives on the Japanese Visual Arts, 1868-2000, Honolulu, University of Hawaii Press, 2012.
TSENG Alice, The Imperials Museums of Meiji Japan : Architecture and the Art of the Nation. Seattle, University of Washington Press, 2008, 285 p.
WESTON Victoria, Japanese Painting and National Identity : Okakura Tenshin and his
circle
. Ann Arbor, Center for Japanese Studies, The University of Michigan, 2004, 322 p.

Thèses

HIROSE Midori, L’influence réciproque entre la France et le Japon dans l’industrie textile pendant l’ère Meiji, thèse sous la direction de J.J. Tschudin soutenue à l’université Paris-Diderot , publiée à Lille, Atelier national de Reproduction des Thèses, 2003.
MARQUET Christophe, Le Peintre Asai Chû (1856-1907) et le Monde des arts à l’époque Meiji. Thèse de doctorat, sous la direction de J.J. Origas, Paris, INALCO, 1995,784+104 p.

Articles

CHARRIER Isabelle, « La réaction nationaliste dans les milieux artistiques », in HAMON Claude et TSCHUDIN Jean- Jacques, La Nation en marche, études sur le Japon impérial de Meiji, Arles, éditions Philippe Picquier, 1999, p.163-180.
GUTH Christine, « Kokuhô, from dynastic to artistic treasures », in Cahiers d’Extrême-Asie, N°9, Paris, 1996, p. 313 – 322.
GUTH Christine, « Meiji Response to Bunjinga », in CONANT Ellen P., Challenging Past and Present – the Metamorphosis of 19th Century Japanese Art, Honolulu, University of Hawaii Press, 2006. p. 177-193.
INAGA Shigemi, « Un destin de pensée : l’impact d’Okakura Kakuzô (Tenshin) sur le développement de l’histoire de l’art en Inde et au Japon au début du XXe siècle. » in MONNET Livia, Approches critiques de la pensée japonaise du XXe siècle, Montréal, P.U. de Montréal, 2001, p. 329-348.
INAGA Shigemi, « Cognitive Gaps in the Recognition of Masters and Masterpieces in the Formative Years of Japanese Art History 1880-1900 », In MARRA Michael. F. (dir.), Japanese Hermeneutics : Current Debates on Aesthetics and Interpretation, Honolulu, University of Hawaii Press, 2002, p. 115-126.
LUCKEN Michael, « L’évolution du statut de l’oeuvre d’art au début du XXe siècle au Japon à travers les expositions et les sociétés d’art », in BLANCHON Flora, La Question de l’art en Asie Orientale, Paris, PUPS, 2008, p.133-149.
MARQUET Christophe, « Conscience patrimoniale et écriture de l’histoire de l’art national », in HAMON Claude et TSCHUDIN Jean- Jacques, La Nation en marche, études sur le Japon impérial de Meiji, Philippe Picquier, Arles, 1999, p. 143-162.
MARQUET Christophe, « Le Japon moderne face à son patrimoine artistique », in Cipango ; hors-série « Mutations de la conscience dans le Japon moderne », Paris, INALCO-CEJ, printemps 2002, p. 243-304.
MARQUET Christophe, « Défense et illustration de l’art national à la fin du XIXe siècle : la création de la revue Kokka », compte rendu d’une session d’étude du CEEJA (2001 – 2003), Aurillac, Presses Orientalistes de France, 2005, p. 289-314.
SHIRANE Haruo, « Issues in Canon Formation », in SHIRANE Haruo et SUZUKI Tomi, Inventing the Classics : modernity, national identity and Japanese literature. Stanford, Stanford University Press, 2000, p. 1-31.

Catalogues

CONANT Ellen, Nihonga, Transcending the past : Japanese-style painting, 1868-1968.
Saint Louis (Mo)/ Tokyà, Musée d’art de Saint Louis (Mo)/ Japan Foundation, 1995, 351 p.
Musée des arts de Los Angeles (Los Angeles County Museum of Art), Museum national de Tokyo (Tōkyō Kokuritsu Hakubutsukan), Nihon Hōsō Kyōkai, NHK Puromōshon, Musée municipal des arts d’Ôsaka (Ôsaka Shiritsu Bijutsukan), et Musée municipal de Nagoya (Nagoya-shi Hakubutsukan), Japan Goes to the World’s Fairs : Japanese Art at the Great Expositions in Europe and the United States, 1867-1904, Los Angeles (Ca), LACMA, Tokyo National Museum, NHK, 2005, 144 p.
Naikoku kangyô hakurankai – Meiji bijutsu no makuake 内国勧業博覧会・明治美術の幕開け, (« Les Expositions Nationales pour l’Encouragement de l’Industrie – Lever de rideau pour l’art de l’Ère Meiji »), Tokyo, Sannomaru shôzôkan 三の丸尚蔵館 (« Musée des Collections Impériales »), 2012, 87 p.
Tōkyō geijutsu daigaku, daigaku bijutsukan 東京藝術大学. 大学美術館 (Musée de
l’Université des Beaux-Arts de Tokyo), et Nagoya Bosuton Bijutsukan 名古屋ボストン美術館 (Musée des Beaux-Arts de Nagoya-Boston), (éd.), Daburu Impakuto : Meiji Nippon no bi ダブル・インパクト : 明治ニッポンの美 : ボストン美術館x 東京藝術大学 (Double impact : the art of Meiji Japan), Tokyo, Geidai Bijutsukan Myūjiamu Shoppu : Rokumonsha 藝大美術館ミュージアムショップ : 六文舎 (Rokumonsha, presses du Musée de l’Université des Beaux-Arts de Tokyo) , 2015, 199 p.

Bibliographie établie par Arthur MITTEAU

Bibliographie indicative sur l’Histoire politique de l’ère Meiji

Ouvrages en langues française et anglaise

BABICZ Lionel, Le Japon face à la Corée à l’époque Meiji, Paris, Maisonneuve et Larose, 2002.
BEASLEY William G., The Rise of Modern Japan, New York ; London, Routledge, 2013.
BIX Herbert P., Hirohito and the Making of Modern Japan, New York, Harper Perennial,
2001, 832 p.
DUUS Peter, MYERS Ramon H. et PEATTIE Mark R., The Japanese Informal Empire in China, 1895-1937, Princeton, Princeton University Press, 2014, 493 p.
FUJITANI Takashi, Splendid Monarchy : Power and Pageantry in Modern Japan, Berkeley, University of California Press, coll. « Twentieth-century Japan », n° 6, 1996, 305 p.
GARON Sheldon M., The State and Labor in Modern Japan, Berkeley, University of California Press, 1987, 326 p.
GLUCK Carol, Japan’s Modern Myths : Ideology in the late Meiji period, Princeton, Princeton University Press, 1985.
HAMON Claude et TSCHUDIN Jean-Jacques (dir.), La nation en marche : Études sur le Japon impérial de Meiji, Arles, Éditions Philippe Picquier, 1999, 260 p.
HOTTA Eri, Pan-Asianism and Japan’s War 1931-1945, New York, Palgrave Macmillan, coll. « The Palgrave Macmillan transnational history series », 2007, 290 p.
JANSEN Marius B., The Emergence of Meiji Japan, Cambridge University Press, 1995, 372 p.
— , The Making of Modern Japan, Cambridge, 2000, 1 vol., 871 p.
KEENE Donald, Emperor of Japan : Meiji and his World, 1852-1912, New York, Columbia University Press, 2002, 922 p.
KITA Ikki, Kita Ikki and the making of Modern Japan : a Vision of Empire, Tankha Brij
(trad.), Folkestone, Global Oriental, 2006, xvi+272 p.
MACKIE Vera C., Feminism in modern Japan : Citizenship, Embodiment and Sexuality. Cambridge, Cambridge University Press, 2003, xiv+293 p.
MARSLAND Stephen E., The birth of the Japanese Labor Movement : Takano Fusatarō and the Rōdō Kumiai Kiseikai, Honolulu, University of Hawaii Press, 1989, 271 p.
MARUYAMA Masao, Essais sur l’histoire de la pensée politique au Japon. Volume
premier, Joly Jacques (trad.), Paris, Presses universitaires de France, 1996, xxiv+240 p.
MENNING Bruce W., STEINBERG John W. et SCHIMMELPENNINCK VAN DER OYE
David (éds.), The Russo-Japanese War in Global Perspective : World War Zero, Leiden, xxiii+671 ; 41 p.
MIYAZAKI Tōten, My thirty-three years’ dream : the autobiography of Miyazaki Tōten,
Princeton, Princeton University Press, 1982, 1 vol., 298 p.
MURTHY P. A. Narasimha, The Rise of modern nationalism in Japan : A Historical Study of the Role of Education in the Making of Modern Japan, New Delhi, Ashajanak Publications,1973, viii+518 p.
NAKAE Chōmin, Dialogues politiques entre trois ivrognes, Paris, CNRS éd, 2008, 173 p.
NORMAN E. Herbert et DOWER John W., Origins of the Modern Japanese state : Selected Writings of E. H. Norman, New York, Pantheon Books, 1975, vii+497 p.
55
PATESSIO Mara, Women and Public Life in Early Meiji Japan. The Development of the Feminist Movement, Ann Arbor, University of Michigan, 2011.
PELLETIER Philippe, L’Extrême-Orient : l’invention d’une histoire et d’une géographie, Allaire Martine (éd.), Paris, Gallimard, 2011, 2011, 867 p.
PERRONCEL Morvan, Le moment nipponiste, 1888-1897 : nation et démocratie à l’ère Meiji, Paris, les Belles lettres, 2016.
RAVINA Mark, The Last Samurai : the life and battles of Saigō Takamori, Hoboken, New Jersey, Jhon wiley & sons.inc, 2004, 265 p.
SEGUY Christiane, Histoire de la presse japonaise : le développement de la presse à
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orientalistes de France, 1993, 357 p.
SILBERMAN Bernard S., HAROOTUNIAN Harry D. et Association for Asian Studies
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SOUYRI Pierre, Moderne sans être occidental : aux origines du Japon d’aujourd’hui, Paris, Gallimard, 2016, 490 p.
STARRS Roy (éd.), Japanese Cultural Nationalism : At Home and in the Asia Pacific,
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STRAELEN Henricus Johannes Josephus Maria van, Yoshida Shōin, Forerunner of the Meiji Restoration : a Biographical Study, Leiden, E. J. Brill, 1952, vol. 1.
SZPILMAN Christopher W. A. et Saaler Sven, Pan-Asianism : A Documentary History,
Volume 1 : 1850-1920
, Lanham, Rowman & Littlefield Publishers, 2011, vol. 1.
TERTRAIS Hugues, L’Asie pacifique au XXe siècle, Paris, Armand Colin, 2015, 192 p.
THOMANN Bernard, La naissance de l’État social japonais, Paris, Presses de SciencesPo, 2015.
TOMIDA Hiroko, Hiratsuka Raicho and Early Japanese Feminism, Boston, Brill AcademicPub, 2004, 490 p.
TSURUMI E. Patricia, Factory Girls : Women in the Thread Mills of Meiji Japan, Princeton, Princeton University Press, 1992, 232 p.
VIE Michel, Le Japon et le monde au XXe siècle, Paris, Masson, 1995, xi+303 p.
VLASTOS Stephen (éd.), Mirror of modernity : invented traditions of modern Japan, Berkeley, University of California Press, 1998, xvii+328 p.
WAKABAYASHI Bob Tadashi, Anti-foreignism and Western learning in early-modern Japan:The new theses of 1825, Cambridge, Council on East Asian Studies, Harvard University : Distributed by the Harvard University Press, 1991, xvi+343 p.
WARD Robert Edward (éd.), Political Development in Modern Japan, Princeton, Princeton University Press, 1968, 1968, xii+637 p.
WRAY Harry, Japan examined : perspectives on modern japanese history, Honolulu,
Honolulu : University of Hawaii, 1983.
ZACHMANN Urs Matthias, China and Japan in the Late Meiji Period : China Policy and the Japanese Discourse on National Identity, 1895-1904, Routledge, 2010, 251 p.

Ouvrages généraux en japonais

KANG Pŏm-Sŏk『征韓論政変. Vol. 1』東京 : Simul Shuppankai. 1990 年.
相川司『西郷隆盛 : 維新の功臣明治の逆賊』東京 : 中央公論新社. 2017 年.
赤坂憲雄、吉本隆明『天皇制の基層』 講談社学術文庫 1617. 東京 : 講談社. 2003 年.
鳥井雅道飛『明治大帝』 東京 : 文藝春秋. 2017 年.
新井勝紘、 石上英一『日本の時代史. 22』 東京 : 吉川弘文館. 2004 年.
安藤優一郎『西郷隆盛の明治』東京 : 洋泉社. 2017 年.
猪飼隆明『西郷隆盛 : 西南戦争への道』 岩波新書、 新赤版 231. 東京 : 岩波書店. 1992 年.
伊藤之雄『元老 : 近代日本の真の指導者たち』東京 : 中央公論新社. 2016 年.
稲田雅洋 『自由民権運動の系譜 : 近代日本の言論の力』 歴史文化ライブラリー 281、 東京 : 吉川弘文館. 2009 年.
稲田正次『明治憲法成立史』2 巻、 東京 : 有斐閣.1962 年.
犬塚孝明『明治国家の政策と思想』 第1 巻. 東京 : 吉川弘文館. 2005 年.
犬丸義一『日本人民戦線運動史』 青木現代叢書. 東京 : 青木書店. 1978 年.
栄沢幸二『日本のファシズム』 教育社歴史新書〈日本史〉 148、 東京 : 教育社. 1981 年.
江口圭一『二つの大戦』 大系日本の歴史 14. 東京 : 小学館. 1989 年.
大久保利謙 『明六社』 講談社学術文庫 1843. 東京 : 講談社. 2007 年.
小和田哲男、関幸彦、原田敬一、森公章『日清戦争』 東京 : 吉川弘文館. 2008 年.
近代日本研究会『幕末・維新の日本』 年報・近代日本研究 3. 東京 : 山川出版社. 1981 年.
黒瀧秀久『榎本武揚と明治維新 : 旧幕臣の描いた近代化』東京 : 岩波書店. 2017 年.
阪本是丸『国家神道再考 : 祭政一致国家の形成と展開』 久伊豆神社小教院叢書 4. 東京 : 弘文堂. 2006 年.
鈴木裕子『女性=反逆と革命と抵抗と』思想の海へ : 解放と変革 21. 東京 : 社会評論社.
1990 年.
女性史総合研究会『日本女性史』第4 巻. 東京 : 東京大学出版会. 1982 年.
多田道太郎『自由主義』現代日本思想大系 18. 東京 : 筑摩書房. 1965 年.
田中彰『近代天皇制への道程』歴史文化セレクション. 東京 : 吉川弘文館. 2007 年.
東京大学東洋文化研究所、遠山茂樹、服部之総、丸山真男『尊攘思想と絶対主義』 東洋文化講座、 第2 巻. 東京 : 白日書院. 1948 年.
遠山茂樹『自由民権と現代』 東京 : 筑摩書房. 1985 年.
— 『日本近代史. 1』 岩波全書 282. 東京 : 岩波書店. 1975 年.
— 『明治維新』 岩波現代文庫、 学術 32. 東京 : 岩波書店. 2000 年.
徳富蘇峰『徳富蘇峰集』 明治文学全集 34. 東京 : 筑摩書房. 1974 年.
鳥井博郎『明治思想史』日本近代史叢書 3. 東京 : 河出書房. 1953 年.
永井秀夫『明治国家形成期の外政と内政』 札幌 : 北海道大学図書刊行会. 1990 年.
永原慶二、坂野潤治『大系日本の歴史. 13』 小学館ライブラリー 1013. 東京 : 小学館.
1993 年.
中野剛志『富国と強兵 : 地政経済学序説』東京 : 東洋経済新報社. 2016 年.
日本史研究会、 歴史学研究会『日本史講座』 第8 巻 : 近代の成立. 東京 : 東京大学出版会. 2005 年.
日本史研究会、歴史学研究会『日本史講座』 第9 巻. 東京 : 東京大学出版会. 2005 年.
原口清『日本近代国家の形成』 日本歴史叢書. 東京 : 岩波書店. 1968 年.
藤田省三『天皇制国家の支配原理』 始まりの本. 東京 : みすず書房. 2012 年.
細井和喜蔵『細井和喜蔵作品集』 第1 巻. 東京 : 本の友社. 2002 年.
堀江英一『明治維新の社会構造』 第1 巻. 東京 : 有斐閣. 1954 年.
堀場清子『「青鞜」女性解放論集』 岩波文庫. 東京 : 岩波書店. 1991 年.
牧原憲夫『民権と憲法』 岩波新書、 新赤版 1043. 東京 : 岩波書店. 2006 年.
升味準之輔『日本政党史論』全7 券、東京 : 東京大学出版会. 1965-1980 年.
松沢弘陽『日本社会主義の思想』 東京 : 筑摩書房. 1973 年.
御厨貴『明治国家をつくる : 地方経営と首都計画』東京 : 藤原書店. 2007 年.
三谷太一郎『政治制度としての陪審制 : 近代日本の司法権と政治』 増補. 東京 : 東京大学出版会. 2013 年.
三谷博『維新史再考 : 公議・王政から集権・脱身分化へ』 NHK ブックス 1248. 東京 : NHK出版. 2017 年.
三宅雪嶺、井上哲次郎『明治思想史』 東京 : 岩波書店. 1932 年.
宮崎滔天『三十三年之梦』 國光書房. 1902 年.
室山義正『近代日本の軍事と財政 : 海軍拡張をめぐる政策形成過程』東京 : 東京大学出版会.1984 年.
毛利敏彦『明治六年政変』 第1 巻. 東京 : 中央公論社. 1979 年.
— 『明治六年政変の研究』東京 : 有斐閣. 1985 年.
山中永之佑『日本近代国家の形成と官僚制』東京 : 弘文堂. 1974 年.
山室 信一『法制官僚の時代 : 国家の設計と知の歴程』東京 : 木鐸社. 1984 年.
横山源之助『日本の下層社会』岩波文庫 33-109–1. 東京 : 岩波書店. 1985 年.
吉野誠『明治維新と征韓論 : 吉田松陰から西郷隆盛へ』 東京 : 明石書店. 2002 年.
吉本隆明 『ナショナリズム』 現代日本思想大系 4. 東京 : 筑摩書房. 1964 年.
渡辺隆喜『明治国家形成と地方自治』東京 : 吉川弘文館. 2001 年.

Sources en langue japonaise (sélection)

伊藤博文関係文書研究会『伊藤博文関係文書』全9 券、 東京 : 塙書房. 1973-1981 年.
板垣退助『自由党史』全2 巻. 東京 : 五車楼. 1910 年.
植木枝盛『植木枝盛集』全10 券. 東京 : 岩波書店. 1990-1991 年.
植木枝盛、高知新聞社『植木枝盛日記』高知 : 高知新聞社. 1955 年.
大久保利通『大久保利通文書』日本史籍協会叢書 28–37. 東京 : 東京大学出版会. 1967 年.
葛生能久、黒龍会『東亜先覚志士紀伝』 3巻. 原書房. 1936 年.
楠木誠一郎『歴史人物伝西郷隆盛 : 明治維新の志士たち』 東京 : 講談社. 2017 年.
黒龍会『西南記伝』全6 券. 東京 : 黒龍会本部. 1969 年.
小寺謙吉『大亜細亜主義論』東京 : 東京宝文館. 1916 年.
尚友倶楽部、編. 『山縣有朋関係文書』全3券. 東京 : 山川出版社. 2005-2008 年.
東亜同文会『対支回顧録』全2 券. 東京 : 原書房. 1968 年.
松下芳男、山県有朋『陸軍省沿革史』明治文化叢書.東京 : 日本評論社. 1942 年.
陸軍省『明治軍事史 : 明治天皇御伝記史料』東京 : 原書房. 1966 年.
早稲田大学大学史資料センター『大隈重信関係文書』全11 券. 東京 : みすず書房. 2004-2015 年.

Sur le mouvement pour la liberté et les droits du peuple

安在邦夫『自由民権運動史への招待』 東京 : 吉田書店. 2012 年.
出原政雄『自由民権期の政治思想 : 人権・地方自治・平和』 京都 : 法律文化社. 1995 年.
稲田雅洋『自由民権運動の系譜 : 近代日本の言論の力』 歴史文化ライブラリー 281、 東京 : 吉川弘文館. 2009 年.
上村希美雄『民権と国権のはざま : 明治草莽思想史覚書』東京:葦書房. 1976 年.
大木基子編『自由民権運動と女性』 東京:ドメス出版. 2003 年.
小川原正道『西南戦争と自由民権』東京:慶應義塾大学出版会. 2017 年.
大日方純夫『自由民権期の社会』日本歴史私の最新講義 02. 東京 : 敬文舎. 2012 年.
— 『自由民権運動と立憲改進党』東京:早稲田大学出版部. 1991 年.
遠山茂樹『自由民権と現代』東京 : 筑摩書房. 1985 年.
友田昌宏『東北の近代と自由民権:「白河以北」を越えて』東京 : 日本経済評論社. 2017年.
堀江英一、遠山茂樹『自由民権期の研究』第3券. 東京:有斐閣. 1959 年.
松沢裕作『自由民権運動:デモクラシー〉の夢と挫折』岩波新書、 新赤版 1609. 東京 : 岩波書店. 2016 年.
明治史料研究連絡会『民権論からナショナリズムヘ』明治史研究叢書、 第4 巻. 東京 : 御茶の水書房. 1957 年.
Sur la politique militaire et étrangère du Japon
HAMON Claude、 三谷博、 廣瀬緑、『近代日本とアジア : 地政学的アプローチから』 東京 : 勉誠出版. 2016 年.
HAN Sangil『日韓近代史の空間 : 明治ナショナリズムの理念と現実』 東京 : 日本経済評論社. 1984 年.
猪飼隆明、池田正博、加藤周一、芝原拓自『対外観』 東京 : 岩波書店. 1988 年.
伊藤之雄 『立憲国家と日露戦争 : 外交と内政1898 1905』 東京 : 木鐸社. 2000 年.
梅渓昇『明治前期政治史の研究 : 明治軍隊の成立と明治国家の完成』 増補版. 東京 : 未来社.1978 年.
大谷正『近代日本の対外宣伝』東京 : 研文出版. 1994 年.
北岡伸一『日本陸軍と大陸政策 : 1906-1918』 東京 : 東京大学出版会. 1978 年.
軍事史学会『日露戦争一:国際的文脈』東京 : 錦正社. 2004 年.
高橋秀直『日清戦争への道』 東京 : 東京創元社. 1995 年.
竹内好『アジア主義』現代日本思想大系 9. 東京 : 筑摩書房. 1963 年.
東亜文化研究所『東亜同文会史』東京 : 霞山会. 1988 年.
松下芳男『明治軍制史論 : 明治初年より西南戦争まで』東京 : 有斐閣. 1956 年.
三谷太一郎『近代日本の戦争と政治』 岩波人文書セレクション. 東京 : 岩波書店. 2010 年.
明治維新史学会『明治維新と外交』東京 : 有志舎. 2017 年.
安岡昭男『明治前期大陸政策史の研究』東京 : 法政大学出版局. 1998 年.
山辺健太郎『日韓併合小史』東京 : 岩波書店. 1966 年.
古川万太郎『近代日本の大陸政策』東京 : 東京書籍. 1991 年.
Coll.『岩波講座近代日本と植民地』8 券. 東京 : 岩波書店. 1992-1993 年.

Bases de données

https://www.jacar.go.jp/
http://www.wul.waseda.ac.jp/kotenseki/ga_okuma/index.html

Bibliographie établie par Grégoire SASTRE

Colloque : ADEJ 2019

Atelier Doctoral de la SFEJ

L’Atelier doctoral des études japonaises (ADEJ) aura lieu cette année le vendredi 6 décembre 2019.

Il s’agit d’une manifestation importante de notre association qui a lieu tous les deux ans, en alternance avec le colloque de la SFEJ. L’ADEJ offre l’occasion aux doctorants francophones en études japonaises de présenter leur sujet de recherche et de recueillir les avis des spécialistes.Il est aussi l’occasion de nouer des liens avec les doctorants d’autres institutions.

La SFEJ recherche deux doctorants ou « jeunes » docteurs qui accepteraient d’organiser la prochaine édition de cet atelier.

Le travail consisterait à assurer le suivi de la préparation (appel à candidatures, conception du programme, organisation matérielle de la journée…). Les deux organisateurs seront épaulés par un membre du Conseil de la SFEJ. L’atelier se tiendra à Paris.

Le candidat doit être déjà bien avancé dans sa thèse ou l’avoir récemment soutenue, avoir le sens de l’organisation et être en France cet automne.

Pour mémoire, ce sont Naoko Tokumitsu et Delphine Vomscheid qui avaient organisé l’atelier en 2017.

Cette préparation constitue une expérience enrichissante qui permettra à l’étudiant d’entrer en contact de manière plus étroite avec le milieu des spécialistes des études japonaises et qui l’entraînera aussi à l’organisation d’une manifestation scientifique.

Les personnes intéressées et / ou qui souhaiteraient en savoir plus peuvent nous contacter à l’adresse secre…@sfej.asso.fr.

En cas de candidature, merci de joindre un CV.

Nous invitons les membres de la SFEJ, plus particulièrement les directeurs et directrices de thèse, à largement diffuser cette annonce auprès des personnes concernées.

Université Montpellier 3 Paul Valéry – Diplôme d’université Tremplin pour le Japon

Présentation

Le Diplôme d’université Tremplin pour le Japon : approche interculturelle et linguistique permet aux personnes projetant un séjour professionnel, d’études ou de recherche au Japon, d’acquérir une compétence de communication interculturelle qui contribuera à leur autonomie sur place.

Cette formation s’adresse à des débutants complets ou à des personnes ayant commencé le japonais dans un cadre scolaire ou individuel. Il s’agit, pour les premiers, de s’initier à quelques interactions fondamentales dans la vie quotidienne, en travaillant compréhension et expression orales ; d’explorer le système graphique japonais et de maîtriser les deux syllabaires hiragana et katakana. Il s’agit aussi, pour des personnes ayant commencé le japonais dans le secondaire ou dans d’autres cadres, d’en poursuivre ou reprendre l’étude grâce à une pédagogie différenciée, pour consolider leurs acquis et en dégager une valeur pratique.

Différente d’un apprentissage linguistique complet, qui demanderait une durée bien supérieure, cette formation offre une porte d’entrée au monde linguistique et culturel japonais.

Savoir-faire et compétences

– Doter les étudiants d’un niveau de communication interculturelle permettant leur autonomie lors d’une mobilité au Japon,

– Permettre aux étudiants de mieux comprendre et appréhender le monde japonais contemporain.

Contenu de la formation

Le Diplôme d’université Tremplin pour le Japon : approche interculturelle et linguistique est organisé sur 1 an sous la forme de 4 unités d’enseignement de 18h chacune, au rythme de 2 unités par semestre, l’une centrée sur la pragmatique et la langue, l’autre sur les systèmes sémiotiques dans la culture japonaise, à commencer par l’écriture.

Les unités sont compensables dans chaque semestre, mais les deux semestres doivent être validés séparément ; ils ne sont pas compensables entre eux.

Conditions d’admission

Sont admis les étudiants :

– titulaires du baccalauréat (toutes séries)

– ou titulaires du DAEU (diplôme d’accès aux études universitaires)

– ou d’un autre titre admis en équivalence

Ce D.U. est proposé à la fois en mode présentiel et en enseignement à distance (EAD), via une plateforme collaborative.

Tous les étudiants doivent candidater via le portail Ecandidat  accessible depuis la page d’accueil du site internet de l’université. L’accord est soumis à la décision de la commission pédagogique. 

Les étudiants internationaux doivent se renseigner sur la procédure spécifique développée sur le site de l’université : International> Études à Montpellier en LMD

Reprise d’études

Vous êtes salarié (du public ou du privé), demandeur d’emploitravailleur non salariéprofession libérale etc. et vous souhaitez vous inscrire à l’université dans le cadre d’un dispositif de formation continue, contactez le SUFCO :itic.fc@univ-montp3.fr

Public cible

Cette formation s’adresse à des débutants complets ou à des personnes ayant commencé le japonais dans un cadre scolaire ou individuel.

Pré-requis nécessaires

– Être titulaire d’un BAC ou équivalent (DAEU notamment)

– Être prêt à découvrir une langue aux structures éloignées des principales langues européennes et un système d’écriture beaucoup plus complexe que le système alphabétique : motivation, patience et effort personnel seront requis.

Lien vers le site de la formation ici.

Université Bordeaux Montaigne

Le master Études japonaises (mention Langues, littératures et cultures étrangères et régionales – LLCER ) a pour vocation de former des chercheur.e.s, des expert.e.s, des acteurs/rices de la vie pro- fessionnelle, ayant une solide connaissance de la langue, de la culture et de la société japonaises modernes et contemporaines.

Original dans le paysage de la japonologie française, par son ouverture sur l’Asie orientale, ce master propose le choix entre deux spécialisations distinctes (approfondissement de l’orien- tation choisie dès la L3 japonais pour les étudiants de l’Université Bordeaux Montaigne).

Lien vers le site de la formation ici.

Lien vers la brochure de la formation ici.

Condition d’accès

La capacité d’accueil du master est de 60 places. Cette capacité comprend les recrutements des candidats sur titres français et étrangers ainsi que les étudiants sous « convention césure » qui réintègrent la formation .

Utilisation des données personnelles dans le cadre d’une candidature pour cette formation : pour en savoir plus 

En master 1 :

Licences conseillées :

  • Licence de japonais
  • Diplôme français ou étranger (bac+3) admis en dispense

Autres titres :

  • diplôme français certifié par l’État et publié au Journal officiel (niveau 6 selon la nomenclature des diplômes par niveau ou niveau II)
  • diplôme étranger correspondant à un niveau bac + 3 minimum
  • pour les formations non sanctionnées par un diplôme d’État (Diplôme d’Université, DUETI, Diplôme délivré par un établissement d’enseignement supérieur non reconnu par l’État…), une demande de validation des études supérieures (VES) est à effectuer  en parallèle à la demande d’admission APOFLUX. 

Licences professionnelles :

Conformément aux dispositions de l’article 1 de l’arrêté du 17 novembre 1999 relatif à la licence professionnelle, « la licence professionnelle est conçue dans un objectif d’insertion professionnelle. » Ainsi, les titulaires d’une licence professionnelle peuvent postuler pour une admission en master . Toutefois ils sont informés que les dossiers des  titulaires d’une licence générale sont examinés en priorité.

Modalités de recrutement : 

dossier pour tous les étudiants (y compris les étudiants de l’Université Bordeaux Montaigne)
Les éléments constitutifs du dossier permettront :
– d’apprécier la nature et la cohérence du cursus antérieur du candidat au regard du master visé ainsi que les compétences acquises et les résultats obtenus ;
– d’exposer le projet professionnel et la motivation du candidat (le détail des pièces à fournir sera précisé dans le dossier).

En master 2 :

Sont admis à s’inscrire de droit :

Les étudiants titulaires d’un master 1 japonais de l’Université Bordeaux Montaigne : se réinscrire

Sur dossier pour les autres cas :

Sont concernés :

  • Les étudiants de Bordeaux Montaigne avec changement de filière
  • Les étudiants de Bordeaux Montaigne inscrits avant 2004-2005
  • Les étudiants d’une autre université française
  • Les étudiants diplômés (avec homologation par l’État niveau 2) d’un établissement français d’enseignement supérieur

Mention : Langues, littératures et civilisations étrangères et régionales

Lieu(x) d’enseignement : Bordeaux et agglomération

Composante : UFR Langues et Civilisations, Scolarité

Niveau d’études : BAC +5

Niveau nomenclature européenne : 7

Durée : 2 ans

Crédits ECTS : 120 crédits

Langue d’enseignement : Français, Japonais

Formation initiale : Oui

Formation continue : Oui

EFEO/EPHE/EHESS – Master “Études Asiatiques” parcours Histoire et sciences sociales : terrains, textes et images

Le nouveau master Etudes asiatiques représente la plus importante offre de formation avancée en France dans ce domaine. Fruit d’une étroite collaboration entre l’École française d’Extrême-Orient (EFEO), l’École pratique des hautes études (EPHE) et l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), cette formation pluridisciplinaire à une recherche en sciences humaines et sociales a pour ambition de former des chercheurs ou des experts capables de développer une réflexion critique sur les sociétés asiatiques abordées dans leurs spécificités et la longue durée.

Le master EA s’articule autour de deux parcours au choix, l’un porté par l’EPHE et l’autre, Histoire et sciences sociales : terrains, textes et images, porté par l’EHESS en association avec l’EFEO.

Parcours « Histoire et sciences sociales : terrains, textes et images » (EHESS – EFEO)

Ce parcours proposé par l’EHESS en collaboration avec l’EFEO s’adresse aux étudiants souhaitant développer leurs recherches en lien avec l’Asie moderne et contemporaine. Dans une rencontre croisée des disciplines fondamentales et des aires culturelles, où celles-ci s’abordent par le biais d’une méthode propre, ce parcours met l’accent sur de multiples enjeux de société à partir d’approches globales et résolument comparatives, qui mettent en avant les circulations et les transferts, ainsi que le dialogue et l’interdisciplinarité des sciences sociales.

Le parcours combine un enseignement de tronc commun, des séminaires de spécialisation et de recherche, ainsi que des cours de langue étrangère. La première année donne lieu à la réalisation d’un mémoire préparatoire alors que la seconde implique la préparation et la soutenance d’un mémoire de recherche plus approfondi. De plus, un stage ou un séjour de terrain est obligatoire en M2.

Voir la procédure d’admission 2021-2022 : ici

Centres de recherche, laboratoires de rattachement

Partenaires

Calendrier

Rentrée 2021-2022 : 

  • Journée de rentrée du master Etudes asiatiques : 28 septembre 2021 (Campus Condorcet, Centre de colloques, salle 100 – Place du front populaire 93300 Aubervilliers)
  • Journées de rentrée de l’EHESS : du 4 au 8 octobre (le programme détaillé sera prochainement disponible sur le site de l’EHESS)

Année universitaire :

  • 1er semestre : du 1er octobre 2021 au 18 février 2022
  • 2nd semestre : du 21 février au 15 juin 2022
  • Vacances de Noël : du 20 décembre 2021 au 2 janvier 2022
  • Vacances de printemps : du 25 avril au 8 mai 2022

Enseignements : 

  • Tronc commun Asies : du 27 septembre 2021 au 30 mai 2022 (tous les lundis de 9h à 12h à la Maison de l’Asie (salon 1er étage) – 22 av du Président Wilson 75016 Paris)
  • Pour connaître le planning des séminaires proposés à l’EHESSconsultez le site internet rubrique « Séminaires » 

Lien vers le site de la formation ici.

Aix-Marseille Université (AMU) : Licence Trilangue

Licence Trilangue, Université AMU

La Licence Trilangue est une nouvelle formation qui a vu le jour en 2010. Dans la spécialité 4 (Langues et cultures des mondes anglophones et de l’Asie), elle permet de combiner la poursuite de l’anglais (langue A) tout en commençant le japonais (langue B) en grand débutant et en s’initiant à une troisième langue dite langue C. Cette langue C peut être choisie parmi les langues asiatiques ou hors de l’Asie.

Les cours se déroulent sur le campus d’Aix (Schuman) et ils sont mutualisés avec ceux de la filière LLCE japonais. Ils représentent un volume d’environ 7,5 heures par semaine sur les 6 semestres de la Licence. A partir de la troisième année, il est possible d’abandonner la langue C pour se consacrer uniquement au japonais en langue B.

Au terme de la Licence, les étudiants peuvent intégrer le Master Aires Culturelles Asiatiques, dans les filières Langues Cultures et Sociétés d’Asie, Tourisme, langues et patrimoine.

Il est aussi possible de candidater au Master de Négociation Internationale et Interculturelle (Masni ; sélection en M1).

La mobilité internationale est possible aux niveaux de la Licence 3, des Masters 1 et 2. Seuls les meilleurs dossiers sont sélectionnés pour partir une année au sein des 11 universités partenaires.

Cette spécialité attire une cinquantaine d’étudiants en première année.

L’encadrement est fait par 3 Maîtres de conférences, 1 Prag,, 1 lecteur, 1 enseignant contractuel, 4 chargés de cours.

Site : https://allsh.univ-amu.fr/licence-LLCER-japonais