[Recrutement] 2 ATER à l’Université de Strasbourg, date limite de candidature 4 mars 2024

Le département d’études japonaises de l’université de Strasbourg recrute deux ATER pour 2024-2025, avec une prise de poste début septembre 2024.

Les candidatures se feront via le module ALTAÏR du portail ministériel Galaxie.

https://www.galaxie.enseignementsup-recherche.gouv.fr/ensup/candidats.html

Date limite : 4 mars 2024 (inscription sur ALTAÏR au plus tard à 16h00, envoi du dossier par mail au plus tard à minuit).

Plus de renseignements sur la page suivante:

https://www.unistra.fr/universite/travailler-a-luniversite/personnels-enseignants/attaches-temporaires-denseignement-et-de-recherche-ater

[Soutenance de thèse] »Le cheval de guerre au Japon, de son introduction au Xe siècle », Simonetta Clio, 19 février 2024 à partir de 14h, Paris

Simonetta CLIO a le plaisir et l’honneur de vous convier à la soutenance de sa thèse de doctorat intitulée : Le cheval de guerre au Japon, de son introduction au Xe siècle.
Cette thèse, inscrite à l’École Pratique des Hautes Études, sous la direction de Mr Nicolas Fiévé et Mme Charlotte Von Verschuer, sera présentée devant un jury composé de :

  • M. Nicolas FIÉVÉDirecteur d’études, EPHE
  • M. Matthias HAYEK, Directeur d’études, EPHE
  • M. Sébastien LEPETZ, Directeur de recherche, CNRS
  • M. François MACÉ, Professeur émérite, INALCO
  • M. Antonio MANIERI, Professeur titulaire, L’Orientale
  • M. Laurent NESPOULOUS, Maître de conférences, INALCO

La soutenance se tiendra le lundi 19 février à partir de 14h, dans le Grand salon de la Maison de l’Asie, 22 avenue du Président Wilson, 75016 Paris. 

Elle sera suivie d’un pot convivial. 

[Exposition photographique] »Sur les traces de Fukushima 福島の跡 », MCJP, 13 février au 9 mars 2024

Cécile Asanuma-Brice a le grand honneur et l’immense plaisir de pouvoir vous annoncer l’ouverture de son exposition photographique 「Sur les traces de Fukushima 福島の跡 」à la Maison de la Culture du Japon à Paris à partir du 13 février jusqu’au 9 mars 2024. Entrée gratuite.

« Sur les traces de Fukushima » présente les traces des lieux d’existence dans la zone à Fukushima avant qu’elles ne disparaissent à jamais, pour être remplacées par les villes-objets produits par l’industrie urbaine. Cette exposition des photographies de Cécile Asanuma-Brice est une co-production du Centre de Recherches sur le Japon (CRJ), en partenariat avec MITATE lab. et l’Humathèque (Campus Condorcet).

https://www.mcjp.fr/fr/la-mcjp/actualites/sur-les-traces-de-fukushima

Cécile Asanuma-Brice 

Chercheure CNRS basée au Japon, elle y co-dirige avec Olivier Evrard (CEA) le programme international de recherche pluridisciplinaire CNRS Mitate Lab. sur les conséquences de l’accident nucléaire de Fukushima. En 2000, elle rejoint l’école d’ingénieur de l’université de Chiba au Japon, où ses recherches sont financées par une première bourse JSPS/CNRS, puis par le Ministère japonais de la recherche et de l’enseignement (MEXT).

Avec une double formation en urbanisme (DESS) et une thèse en géographie humaine de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales dirigée par Augustin Berque (prix de la Fondation du Japon, Ordre du Soleil Levant et Prix international Cosmos), elle est auteure de nombreux articles sur les conséquences de l’accident nucléaire de Fukushima, ainsi que sur les transformations de la ville japonaise et les logiques sous-jacentes à la production de l’urbain. Elle fut rédactrice de la page Japosphère du journal Libération jusqu’en 2020. 

Conseillère scientifique de plusieurs films documentaires dont « irradiés », réalisé par Rithy Pahn (primé par un Ourson d’or à Berlin en 2020), elle développe également un travail photographique qui se traduit par des photos directement liées aux conséquences de la catastrophe nucléaire, mais également par des productions plus artistiques (compositions). Ses œuvres photographiques furent exposées à Yokohama, Tôkyô, Fukushima et Paris.

Elle est auteure de deux ouvrages :

  • Un siècle de banlieues japonaises, au paroxysme de la société de consommation, aux éditions Métispresses, 2019. 
  • Fukushima, 10 ans après. Sociologie d’un désastre nucléaire, Ed° Maison des Sciences de l’homme, 2021.

[Conférence] « Kobo Abe et la France », MCJP, 5 mars 2024 à 18h30

Cette année 2024 est le 100e anniversaire de naissance de Kobo Abe. La Maison de la culture du Japon à Paris (MCJP) organise une série d’événements intitulée « Kobo Abe, le maître du surréalisme » du mardi 5 au 9 mars.

Conférence « Kobo Abe et la France »
Mardi 5 mars 2024 à 18h30
Petite salle, Maison de la culture du Japon à Paris

En japonais avec traduction consécutive.

Entrée libre sur réservation : Choix des places [Maison de la culture du Japon à Paris | 05.03.2024 – 18:30 | Kobo Abe, le maître du surréalisme] – Maison de la culture du Japon à Paris (secutix.com)

Chercheur en littérature et culture du Japon d’après guerre, Koji Toba enseigne à la Faculté des lettres, des arts et des sciences de l’université Waseda. Son troisième livre consacré à Kobo Abe – Kobo Abe – Écrire avec une gomme (titre provisoire) – sera prochainement publié au Japon. Lors de sa conférence, il lèvera le voile sur la vie de cet écrivain mystérieux qui n’a jamais écrit sur lui, tout en nous présentant les liens entre Kobo Abe et la France.

[2 journées de conférence] « Le Dit du Genji », les 24 février et 2 mars 2024, Musée Guimet, Paris

Dans la cadre de la programmation autour de l’exposition « A la cour du Prince Genji », le musée Guimet et la Fondation Franco-Japonaise Sasakawa invitent, pour la première fois en France, quatre personnalités littéraires japonaises d’exception. Elles éclaireront le Dit du Genji grâce à leur connaissance intime, l’œuvre de Murasaki Shikibu.

Lieu : Musée Guimet, Auditorium Jean-François Jarrige; lien vers le site Internet.

Dans le cadre de sa programmation autour de l’exposition A la cour du Prince Genji le musée Guimet invite deux mangakas japonaises et met en lumière deux de leurs opus remarquables consacrés à l’œuvre la plus célèbre de la littérature japonaise : le Dit du Genji. L’un à paraître au Japon sera présenté en avant-première en France à cette occasion ; l’autre, tout récemment publié aux éditions Synchroniques, est la première édition française dessinée de l’œuvre magistrale de Murasaki Shikibu.

  • 14h Introduction
    Du roman au manga : un défi sans égal !
  • 14h15 -15h15 Héros et héroïnes : les personnages essentiels du Dit du Genji
    En dialogue avec Cyril Coppini, Harumo Sanazaki donne vie aux personnages les plus importants de l’œuvre de Murasaki Shikibu et révèle les premières planches de sa prochaine publication.
  • Harumo Sanazaki, dessinatrice et scénariste, a été formée au sein de la prestigieuse École supérieure Municipale Sumidagawa de Tokyo. Autrice prolifique de mangas, elle a publié à ce jour plus d’une centaine de titres ! Elle enseigne aujourd’hui à l’Université de Création de la Toei Animation où elle est chargée de la « Section Manga et traité du Manga ».
  • 15h15 Pause
  • 15h30-16h30 Comment évoquer l’univers de la cour de Heian ? Comment individualiser les différents personnages du Dit du Genji ?
    Traduction simultanée français anglais
  • En dialogue avec Cyril Coppini, Sean Michael Wilson et Inko Ai Takita révèlent les choix et les partis pris de la première version manga en français du Dit du Genji publiée par Benoît Labayle.
  • Inko Ai TAKITA est une dessinatrice japonaise de manga originaire de Tokyo. Diplômée de la Zokei University of Art & Design de Kyoto, elle s’installe en Angleterre et étudie au Central St. Martin’s College of Art & Design.
  • Ecrivain écossais Sean Michael Wilson vit au Japon. Il y a publié plus de 40 livres sur l’histoire nipponne, les samouraïs et la culture contemporaine. En 2017, son livre Secrets of the Ninja a remporté un prix international du manga décerné par le gouvernement japonais. En 2020, il a reçu le Scottish Samurai Award. En 2021, son livre The Minamata Story a remporté une médaille d’argent au Freeman Book Awards.
  • Modérateur : Cyril Coppini
    Après des études à l’INALCO et plusieurs séjours au Japon, Cyril Coppini s’installe définitivement au Japon 1997. Humoriste de Rakugo, il est aujourd’hui basé à Osaka. En octobre 2023, il joue à l’Olympia dans le cadre de la soirée de lancement d’Akane Banashi, un manga sur le Rakugo traduit en français. Il est également traducteur de jeux vidéos et de mangas : Le Rakugo, à la vie, à la mort ; Détective Conan ; La grande traversée ; Apprenti criminel ; Danganronpa III ; Trains of cold steel III…). Il se produit régulièrement à la télévision (NHK World) et sur la bande FM japonaises.
  • 16h45 -17h30 dédicace à la librairie

Tenue cosplay bienvenue !

Lieu : musée Guimet, Auditorium Jean-François Jarrige; lien vers le site Internet.

Dans la cadre de la programmation autour de l’exposition « A la cour du Prince Genji », le musée Guimet et la Fondation Franco-Japonaise Sasakawa invitent, pour la première fois en France, quatre personnalités littéraires japonaises d’exception. Elles éclaireront le Dit du Genji grâce à leur connaissance intime, l’œuvre de Murasaki Shikibu.

Événement gratuit, réservation recommandée sur la billetterie en ligne.

  • Le Dit du Genji et les Japonais
    Introduction : Shigeatsu Tominaga, Président de la Fondation Franco-Japonaise Sasakawa.
  • 10h45 – Mutsuo Takahashi : La poésie dans le Dit du Genji
    Pourquoi le waka, cette forme particulière de la poésie japonaise, centrale dans le livre de Murasaki Shikibu, est-il privilégié par les hommes et les femmes de la cour de Heian au détriment de la conversation et des rencontres ? Que cela nous dit-il des relations entre les femmes et les hommes de l’aristocratie Heian ?
    Comment le Dit du Genji est-il devenu intemporel et résolument moderne ? Pourquoi, mille ans après sa rédaction, est-il toujours aussi influent dans la culture japonaise ?
    Mutsuo Takahashi est un poète japonais, auteur de nombreux recueils de poèmes, de romans et d’essais. Proche de Mishima, il est aujourd’hui Membre de l’Académie japonaise des arts et personnalité du mérite culturel.
  • 12h – Junko Yamamoto : Quelle est la signification du prénom du Genji « Hikaru » ?
    « Hikaru », en japonais, signifie « la lumière » et, symboliquement, renvoie à l’apparence, la lignée, les aspirations, les pouvoirs politique et financier… S’il brille dans sa prime jeunesse, Hikaru Genji s’aperçoit à l’aurore de ses jours de la vacuité de tout et connait alors un satori, une nouvelle lumière. Junko Yamamoto dessine le cheminement du prince d’une lumière à l’autre et éclaire ainsi l’histoire profonde du Dit du Genji.
    Junko Yamamoto est Professeure à l’Université des Sciences avancées de Kyôto, Chercheuse en littérature de l’époque Heian. Elle a remporté le Prix de l’histoire et de la culture ancienne pour son livre Lire le Genji Monogatari dans l’esprit des gens de Heian (disponible en japonais uniquement).
  • 14h30 – Dialogue entre Mitsuyo Kakuta et Prof. Junko Yamamoto
    Mitsuyo Kakuta a récemment publié au Japon une version modernisée du Dit du Genji. Avec Junko Yamamoto, elles échangent sur cette entreprise titanesque d’une dizaine d’années. Quelles motivations, quelles difficultés rencontrées ? Quels partis pris assumés ?
    Avec son roman Celle d’une autre rive, Mitsuyo Kakuta a obtenu le prestigieux prix Naoki. Son roman La Cigale du huitième jour a été un grand succès au Japon et a fait l’objet d’une adaptation cinématographique. Mitsuyo Kakuta répond très rarement aux sollicitations d’interviews et de conférences. C’est donc un grand honneur pour nous de la recevoir en France où ses livres sont édités chez Actes Sud.
  • 15h45 – Fusae Kawazoe : Lire le Dit du Genji au travers des arts de la Chine
    De nombreuses références à des objets en provenance de Chine parcourent le Dit du Genji. Appelées « marchandises Tang », calambac, lapis lazuli, céramique céladon, papier chinois, tissus, fourrure, chat, elles proviennent de toutes les régions chinoises. Fusae Kawazoe montre la présence de ces objets chinois et leur rôle dans le Dit du Genji.
    Fusae Kawazoe est professeure émérite de l’Université Tokyo Gakugei et docteur en littérature, spécialisée dans la littérature de l’époque Heian et les objets de la Chine des Tang. Elle est l’auteur, entre autres, de Genji Monogatari and East Asia World (NHK Books), Tang Dynasty Cultural History Japan.

[Conférence] Barak Kushner, « The Geography of Injustice: East Asia’s Battle between Memory and History », jeudi 15 février 2024, Université Paris Cité

Dans le cadre du cycle de conférences Current Research on East Asia de la Graduate School of East Asian Studies, nous accueillons le jeudi 15 février prochain Barak Kushner, Professeur d’histoire de l’Asie orientale à Université de Cambridge.

Cette conférence s’appuiera sur son livre à paraître chez Cornell University Press et intitulé The Geography of Injustice : East Asia’s Battle between Memory and History.

https://www.cornellpress.cornell.edu/book/9781501774010/the-geography-of-injustice/

L’évènement a lieu en salle Léon Vandermeersch de l’UFR LCAO (481 C), bâtiment des Grands Moulins, de 17h00 à 18h30. 

Vous pouvez également la suivre sur le lien zoom suivant : 

https://u-paris.zoom.us/j/85096166643?pwd=VlZUQmtGbXNlSmFWaVVtSVZwTi9BZz09

ID de réunion : 850 9616 6643; Code secret : 591397

[Parution] Numéro 29 de la revue en ligne « Projets de Paysage » sur le thème « Paysages et jardins japonais hors du Japon »

Sylvie Brosseau, Hiromi Matsugi et Catherine Grout ont le plaisir de vous annoncer la parution du numéro 29 de la revue en ligne Projets de Paysage, sur la thématique « Paysages et jardins japonais hors du Japon » :

Ce numéro fait suite à deux journées d’études organisées par Japarchi et consacrées aux jardins japonais hors du Japon en 2021 et 2022.

[Recrutement] 2 ATER, section de japonais de l’Université Toulouse 2 – Jean Jaurès, date limite 1er mars 2024 à 16h (heure Paris)

La section de japonais de l’Université Toulouse 2 – Jean Jaurès recrute deux ATER pour l’année 2024-2025, pour une prise de poste début septembre. La campagne est ouverte jusqu’au 1er mars 2024, à 16h, heure de Paris.

Fiche de poste à télécharger sur ce lien.

La mission de l’ATER consiste à accompagner l’acquisition, par des étudiants majoritairement francophones apprenant la langue japonaise du niveau A1 au niveau B2, de connaissances en japonais, en inscrivant ces dernières dans leur contexte intellectuel, social et historique.
L’ATER participera aux diverses obligations qu’implique son activité d’enseignement : encadrement des étudiants, contrôle des connaissances et examens. Il ou elle travaillera en concertation avec l’équipe pédagogique et participera aux réunions.
En fonction des besoins de la section de japonais :

  • Il ou elle assurera des cours de Travaux Dirigés et/ou Magistraux, en français et/ou en japonais, de langue et/ou de civilisation, de niveau Licence et Master, et sera amené(e) à travailler en concertation avec des collègues au sein d’une même matière et/ou à travailler en autonomie sur celle qui lui sera éventuellement confiée.
  • Il ou elle sera amené·e, dans les cours de langue, à mener des activités de communication (expression orale et écrite, compréhension orale et écrite), aussi bien pour des étudiants spécialistes de littérature et civilisation que de langue économique.
  • Il ou elle sera amené·e, dans les cours de civilisation, à proposer un cours sur un élément civilisationnel (histoire, sociologie ou autre), s’inscrivant ou non dans le programme du parcours.
  • Il ou elle devra s’impliquer dans l’élaboration des sujets d’examens, la surveillance de ces derniers ainsi que leur correction.
  • Il ou elle sera éventuellement amené·e à s’impliquer dans les activités du laboratoire (IFRAE, antenne de Toulouse), de l’université (type Journée d’Etude du Département des Langues Etrangères, événement du Centre de Ressources en Langues, etc.) ou en dehors (type Université ouverte).
  • Enfin, il ou elle sera éventuellement invité·e à animer, en dehors des cours, quelques activités liées à la promotion de l’enseignement de la langue et de la culture japonaises à l’université (journées Portes Ouvertes, InfoSup…).

Mme Marie PARMENTIER & M. Dan FUJIWARA: marie.parmentier@univ-tlse2.fr / dan.fujiwara@univ-tlse2.fr

[Stage] Paléographie japonaise : focus technique et industrie du XIXe siècle, 18-22 mars 2024

Suite au succès de la première édition de l’école de paléographie tenue en été 2023, Le Centre de recherches sur le Japon propose à la communauté des étudiants et chercheurs en études japonaises en France une deuxième édition de stage de kuzushi-ji du 18 au 22 mars 2024, de 14h à 17h à l’EHESS (Campus Raspail).

Il est dédié à la comparaison de différentes typologies documentaires liées au monde de l’extraction minière du XIXe siècle et il sera dirigé par professeur Iwaki Takuji, Directeur de l’Institut des Humanités de l’Université de Kyoto qui revient à Paris dans le cadre de sa coopération avec le projet J-InnovaTech. 

Financé et organisé par le projet ERC J-InnovaTech porté par Aleksandra Kobiljski (CRJ), le stage est gratuit et ouvert à toutes et tous sur inscription dans la limite de places disponibles. 

Les documents à l’étude seront pré-circulés en version électronique et une version papier sera distribuée en début de stage. 

Organisé avec le concours de Mathieu Fauré (EHESS/CNRS), doctorant du CRJ.

Pour inscription et toutes questions n’hésitez pas à nous contacter au crj@ehess.fr

[Recrutement] Chargé·e de mission/Chercheur·se – Institut français de recherche sur le Japon à la Maison franco-japonaise de Tokyo, date limite de candidature 5 mars 2024

Un poste de chargé·e de mission/chercheur·se sera vacant à l’Institut français de recherche sur le Japon (IFRJ) à la Maison franco-japonaise (MFJ) de Tokyo à partir de septembre 2024.

Date de prise de fonction prévisionnelle : 01/09/2024

Date limite de candidature : 05/03/2024

Conduire un programme de recherche sur le Japon dans le domaine des sciences humaines et sociales à l’Institut français de recherches sur le Japon à la Maison franco-japonaise, placé sous la tutelle du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (MEAE), du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la recherche et du CNRS, et participer à l’animation des activités du centre.

Sous l’autorité du Directeur, vous aurez pour responsabilité, de :

  • Développer un programme de recherche personnel impliquant un travail de terrain qui pourra s’inscrire dans l’un des axes de recherche du centre. Les axes portés par l’équipe de l’IFRJ pour la période 2024-2027 sont :
    Axe I : Territoires, mutations spatiales et dynamiques patrimoniales ;
    Axe II : Crises, risques, ruptures ;
    Axe III : Mises en récits et narrativités contemporaines ;
    Axe IV : Méthodologie des études aréales et travail de terrain en Asie de l’Est.

La sélection des candidatures prendra en compte la qualité intrinsèque des projets et l’aptitude des candidats à les mener. Il est attendu que ce programme puisse contribuer au développement de partenariats étroits, notamment avec des universités et institutions de recherche nationales, régionales et locales ;

  • Participer à la vie scientifique du centre, y compris aux activités de valorisation et diffusion de la recherche lors de manifestations scientifiques, d’appui au travail d’édition de la revue Ebisu et d’accueil d’étudiants.
  • Vous devrez vous intégrer dans une équipe de recherche pluridisciplinaire et vous participerez aux activités scientifiques de l’IFRJ-MFJ en concevant et en mettant en œuvre un projet de recherche (prévu pour une période de 2 ans), en constituant et en animant des réseaux locaux, régionaux et internationaux de chercheurs et en établissant régulièrement des rapports d’activité individuels et collectifs.
  • Dans l’équipe de chercheurs, vous serez notamment en charge de la communication de l’IFRJ : animation des réseaux sociaux (X, Facebook, Youtube, etc.), constitution et mise à jour des mailing lists, rédaction de la newsletter, etc.

Champs de recherche prioritaires (par ordre alphabétique) : anthropologie, archéologie, culture visuelle, démographie, économie, études littéraires, géographie, histoire, sciences politiques, sociologie, urbanisme.

Titulaire d’un doctorat d’un établissement d’enseignement supérieur français ou d’un autre pays de l’Union européenne, à la date de candidature.
Expérience au Japon souhaitable.
Lorsque le français n’est pas la langue maternelle du candidat, une certification C2 en français du cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL) est requise.

Consulter le détail de l’offre (pdf) sur ce lien.