Database for Japanese studies institutions, researchers and research trends 日本研究情報網 (国際日本文化研究センター)

Présentation

NIMOU (Japanese Studies Information Network, NIMOU) est une base de données de chercheurs et d’institutions du monde entier engagés dans les études japonaises, gérée par le Centre international de recherche sur les études japonaises (Nichibunken). Elle facilite les échanges entre les chercheurs et les institutions de recherche en études japonaises en aidant à saisir les tendances des études japonaises et les organismes académiques impliqués dans les études japonaises dans différents pays.

Lien vers la base de données ici.

Objectifs


NIMOU a pour objectif de promouvoir la coopération internationale en matière de recherche entre les chercheurs et les institutions de recherche impliqués dans les études japonaises. En raison du changement de génération et de la mobilité internationale croissante des chercheurs en études japonaises, la mise en réseau des chercheurs et des institutions devient chaque jour plus compliquée. C’est pourquoi Nichibunken a pour objectif de maintenir et de partager une plate-forme commune avec le public par le biais de NIMOU.

NIMOU est très utile pour localiser et contacter les chercheurs et les institutions japonaises, et peut faciliter la coopération interdisciplinaire au-delà des frontières nationales. Les principaux utilisateurs sont les chercheurs, les étudiants, le personnel universitaire, les agences gouvernementales et les médias impliqués dans les études japonaises. 

Quel type d’information disponible ?


Voici quelques-unes des informations primaires disponibles dans cette base de données.
1 Nom, affiliation, discipline et intérêts de recherche du chercheur individuel.
2 Localisation et coordonnées de l’institution à laquelle le chercheur est actuellement affilié.
3 Les activités de recherche de Nichibunken, et les dossiers des réalisations que Nichibunken a effectuées avec des chercheurs étrangers. 
4 Sélection d’articles publiés dans la revue Japanese studies around the world.
** Les articles 3 et 4 susmentionnés sont en cours d’élaboration.

Institut d’Etudes Transtextuelles et Transculturelles (IETT)

L’IETT est une équipe de recherche basée à Lyon, France (Équipe d’accueil EA 4186). La majorité de nos membres est issue du personnel enseignant de l’Université Jean Moulin Lyon 3. L’IETT est un de membres fondateurs des réseaux EastAsiaNet et E-NeW (Europe in a Networked World). L’IETT est aussi un membre du réseau d’excellence GIS (Groupement d’intérêt scientifique) Asie.

Lien vers le site Internet : ici

Université Bordeaux Montaigne – Licence LEA Anglais/Japonais

Description

La licence Langues étrangères appliquées (LEA) est une formation pluridisciplinaire exigeante, qui comprend l’étude approfondie de deux langues, dontl’anglais, et une deuxième langue parmi 9 langues possibles, plus des matières liées à l’entreprise comme l’économie et le droit, et du français.

Objectifs

La mondialisation des relations et des marchés implique l’émergence d’un nouveau profil de gestionnaire, capable de maîtriser plusieurs langues étrangères, de communiquer, de conduire des négociations et de gérer des projets au sein d’entreprises ou d’organisations, dans le respect et la connaissance de l’identité de l’autre. 

Il s’agit de former en trois ans de futurs cadres trilingues dans des domaines très divers : communication, tourisme, relations internationales, marketing, négociation interculturelle, commerce international. 

En LEA, on n’étudie pas la littérature, mais la civilisation, ainsi que l’économie, le droit et l’informatique appliquée : tous les volets du cursus langues et matières socio-économiques ont une importance égale. 

La licence LEA est une formation tournée vers l’international et «professionnalisante», notamment par le biais d’un stage obligatoire de 4 semaines minimum en 3ème année, en France ou à l’étranger.

Les + de la formation

La licence de japonais ( LCE & LEA) n’est pas destinée aux étudiants qui ne connaissent pas les Hiragana et Katakana. La mise à niveau de pré-rentrée (obligatoire), organisée du 7 au 9 septembre 2021, permet à l’étudiant qui n’a jamais appris l’écriture japonaise (Hiragana et Katakana) d’acquérir ces bases.

Plus d’informations disponibles sur le site de l’université ici.

Maison Franco-Japonaise de Tokyo (MFJ)

La Maison franco-japonaise de Tokyo est un dispositif de coopération franco-japonaise. Elle est composée d’une Fondation de droit japonais : la Fondation Maison franco-japonaise, qui héberge l’Institut français de recherche sur le Japon (UMIFRE 19) et une grande bibliothèque de littérature et de sciences humaines et sociales (SHS) en langue française (50 000 volumes). L’Institut se consacre aux recherches en SHS sur le Japon moderne et contemporain, dans une dimension régionale incluant l’Asie orientale. Il est placé sous la tutelle du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (MEAE) et du Centre national de la recherche scientifique (CNRS). En outre, depuis 2010, l’Institut constitue, avec le Centre d’études français sur la Chine contemporaine (CEFC) de Hong-Kong, l’une des deux composantes de l’unité de service et de recherche (USR) 3331, dite « Asie orientale », du CNRS. 

Lien vers le site Internet : https://www.mfj.gr.jp/index.php

European Association of Japanese Studies (EAJS)

The European Association of Japanese Studies (EAJS) was established in 1973 by a group of European scholars in the field of Japanese studies in order to facilitate international academic exchange across national borders. Since 1976 the EAJS has organized a large international conference almost every three years at various locations in Europe, usually at universities with strong programs in Japanese studies. About 600 scholars participated 2008 in the twelfth EAJS Conference. The EAJS also expanded its activities to publish a membership bulletin, since 1997, and in 2000 it started a workshop for doctoral students, which now takes place every 18 months. In 2012/2013 EAJS was able to hold two PhD Workshops (Newcastle and Frankfurt am Main) to answer to the increasing number of applicants. EAJS membership has steadily grown to over 1300 people from about 36 nations. Over the years the elected presidents of the EAJS have come from many European countries and institutions reflecting the diversity of its membership.

Lien vers le site Internet : ici

Fondation France-Japon de l’EHESS (FFJ)

Créée en 2009 au sein de l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), la Fondation France-Japon de l’EHESS (FFJ) s’est donnée pour mission de promouvoir les échanges en sciences humaines et sociales entre le Japon et la France sur des sujets d’intérêt général. Avec cet objectif, la Fondation a su développer de nombreux partenariats publics et privés en France et à l’étranger.

Lien vers le site Internet : http://ffj.ehess.fr/index.html

Institut de recherches asiatiques (IrAsia)

L’unité mixte de recherche IrAsia est née le 1er janvier 2012 de la fusion de l’IRSEA, « Institut de Recherche sur le Sud-Est Asiatique », avec l’équipe LEO2T, « Littératures d’Extrême-Orient, Textes et Traduction ». Elle regroupe des chercheurs du CNRS et des enseignants-chercheurs de l’université d’Aix-Marseille (AMU) au sein de la Maison Asie-Pacifique (MAP) installée sur le campus Saint-Charles de Marseille.

Lien vers le site Internet : ici

Japon(s), carnet de la Société française des études japonaises

Japon(s) est un espace d’expression pour les spécialistes du Japon qui, par leur connaissance profonde de la langue de ce pays, sont en contact régulier avec sa vie culturelle, politique ou socioéconomique.
Le blog se propose de publier sous une forme accessible des résultats d’enquêtes, des comptes rendus critiques de manifestations scientifiques, de débats, de publications, de productions cinématographiques ou d’expositions en cours, des présentations critiques d’acteurs importants de la vie culturelle japonaise, etc.
Japon(s) a été lancé en 2017 par la Société Française des Études Japonaises (SFEJ).

Lien : https://sfej.hypotheses.org

Comité :

Le comité de rédaction de Japon(s) qui assure le suivi de l’évaluation et de la publication des articles est composé de :
Arthur Mitteau (IFRAE), Grégoire Sastre (CRJ), Sarah Terrail-Lormel (INALCO).

Le comité de lecture est composé de :
Estelle Bauer (Inalco), Thomas Garcin (Univ. Paris Diderot), Annick Horiuchi (Univ. Paris Diderot), Aleksandra Kobiljski (CNRS), Evelyne Lesigne-Audoly (Univ. Strasbourg), Gérald Peloux (Univ. Cergy-Pontoise), Rémi Scoccimarro (MFJ), Mayumi Shimosakai (Univ. d’Orléans).

Centre d’Études en Civilisations, Langues et Lettres Étrangères (CECILLE)

L’un des fondements du CECILLE est sa transdisciplinarité. À preuve, les cinq axes transversaux caractérisés par des méthodologies spécifiques – littérature, civilisation, histoire des idées, genre(s) et traduction/traductologie – et les cinq aires géographiques qui se complètent et s’enrichissent mutuellement grâce à la souplesse de leurs collaborations (ponctuelles ou fréquentes), qu’elles soient locales (avec d’autres équipes de recherche), nationales – puisque  plusieurs axes sont en relation avec des GIS : Institut des Amériques, Institut du Genre et Institut « Religions – Pratiques, textes, pouvoirs » – ou internationales où les coopérations et les réseaux sont favorisés par la maîtrise de maintes langues étrangères, autre trait fédérateur qui dynamise le laboratoire CECILLE.

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