[Recrutement] Ingénieur·e de recherche contractuel·le PPR Autonomie AURELIA, EHESS (candidatures avant le 20/01/2024)

L’EHESS recrute un·e Ingénieur.e de recherche contractuel.le (F/H) PPR Autonomie AURELIA

  • Niveau de recrutement : Catégorie A
  • Date prévisible de début du contrat : 15 février 2024
  • Niveau de rémunération : 2860 € bruts mensuels
  • Contrat à durée déterminée de 24 mois
  • Contrat à temps complet (sur la base de 38h45 par semaine pour un temps complet)

Localisation du poste : Fondation France-Japon de l’EHESS – Campus Condorcet – 2, cours des Humanités 93300 Aubervilliers

Environnement et contexte de travail :

L’Ecole des hautes études en sciences sociales (www.ehess.fr) est un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel, « grand établissement » assurant une mission de recherche dans le domaine des sciences humaines et sociales et de formation à la recherche. L’établissement accueille 3 000 étudiants dont 1 500 doctorants (avec près de 250 thèses soutenues par an dans toutes les disciplines des sciences sociales) et autant de masterants. L’EHESS accueille également 40 unités de recherche organisées autour d’un domaine, d’une approche ou, pour un tiers d’entre elles, d’une « aire culturelle ». En leur sein, plus de 500 enseignants et chercheurs développent les savoirs, forment et encadrent les étudiants de master et les doctorants.

L’École est membre fondateur de l’Etablissement public Campus Condorcet, dont la mission est la coopération scientifique entre ses membres fondateurs, et notamment le soutien à leurs programmes de recherche, et la mise à disposition des chercheurs et des étudiants fréquentant le Campus de conditions de vie et de travail à la hauteur des normes internationales.

Présentation du projet :

Le projet Aurelia (https://aurelia.site.ined.fr) vise l’analyse de régimes d’autonomie, définis comme les modalités d’organisation de l’accompagnement à l’autonomie qui découlent de discours sociaux, de normes institutionnalisées et de mesures concrètes d’aide mais aussi des pratiques quotidiennes de réalisation des tâches d’accompagnement des personnes âgées en perte d’autonomie et des personnes en situation de handicap. Ce projet combine une analyse comparée de la production des instruments d’action publique, en lien avec les débats et discours sociaux qui les alimentent, mais aussi avec les procédures de mise en œuvre, et les actes concrets d’accompagnement à l’autonomie, ainsi que les différentes dimensions de leur réception par les publics concernés et leurs proches aidant.es.

Ce projet saisira ces régimes à l’échelle territoriale, en articulation avec des dispositifs nationaux, des territoires et des situations individuelles. De façon concrète, le projet ciblera les instruments de mesure de la perte d’autonomie, les doctrines de réhabilitation suite à la perte d’autonomie, mais aussi les outils de compensation de la perte d’autonomie comme des enjeux concrets. Ces instruments donnent également lieu à des actes de mise en œuvre, d’appropriation – ou de contournement – par les publics.

Le projet repose sur le déploiement d’une méthodologie plurielle de recherche. Il donne place à des analyses qualitatives de discours, de politiques publiques – et spécifiquement d’instruments -, d’entretiens d’acteurs de la décision ou de la mise en œuvre des politiques, comme des intervenants informels et des destinataires des différentes mesures et pratiques de l’accompagnement à l’autonomie. Les analyses quantitatives saisiront les différences entre les territoires afin de caractériser les régimes d’accompagnement à l’autonomie dans un contexte précis : équipements, déploiement des politiques, modes de prises en charge, indicateurs socio-économiques, mais aussi les configurations d’intervenants et d’aides autour des bénéficiaires accompagnés.

Le projet Aurelia repose sur un consortium de recherche international et pluridisciplinaire. En France, des spécialistes de sociologie, science politique, géographie, démographie, droit, santé publique, économie, et médecine, sont organisées en sept équipes : l’Ined, le Lise-Cnam CNRS, l’EHESP, l’EHESS, l’Ires, l’université de Brest et le CHU de Nantes. Les membres de ces différentes équipes spécialisées ont entre eux des liens éprouvés de travail scientifique collectif. Les membres de ces équipes sont rompus au travail de comparaison. Les équipes partenaires du consortium Aurelia en Allemagne (Université de Hambourg), au Canada (UQAM), au Japon (Université de Doshisha) et au Royaume-Uni (LSE) sont leader dans leur domaine et les partenariats ont déjà été éprouvés par les membres du consortium.

Recherche individuelle

L’ingénieur.e sera intégrée à l’équipe EHESS du projet et travaillera en étroite collaboration avec celle-ci ainsi qu’avec l’équipe d’accueil au Japon. Il.elle sera en charge de la réalisation des enquêtes monographiques au sein de deux territoires sélectionnés dans le pays. Il ou elle devra réaliser une enquête par entretiens auprès des acteurs territoriaux de la mise en œuvre des dispositifs d’accompagnement des personnes âgées et/ou en situation de handicap ainsi que des monographies de familles autour des bénéficiaires sélectionnés, en lien avec les thématiques du projet. Il.Elle sera associé.e aux réflexions du projet, principalement autour des Work Package 2 et 3. Dans ce cadre elle devra participer aux réunions de travail. Il.Elle réalisera une soixantaine d’entretiens environ, répartis sur 4 territoires infra-territoraux au Japon. Des déplacements au Japon sont donc à prévoir pour la réalisation des terrains (frais de déplacement pris en charge par le budget du projet). Dans ce cadre il.elle sera accueilli dans un établissement partenaire à Osaka.

Il.Elle participera à l’analyse des données collectées et la publication des résultats sous formes d’articles scientifiques.

Conditions/sujétions particulières d’exercice (le cas échéant)

Le poste prévoit des déplacements au Japon de plusieurs semaines.

Compétences requises :

Les activités : un rôle central dans la collecte et l’analyse des données autour de la réappropriation des dispositifs d’accompagnement au Japon. Le poste requiert une appétence pour la polyvalence et le travail en équipe.

  • Activités de collecte :
  • Préparation et coordination du terrain avec les autres membres de l’équipe : planifier et organiser les rencontres avec les enquêtés, aussi bien pour les prises de rendez-vous que pour déplacements (transport, hébergement…) ;
  • Réalisation d’entretiens ethnographiques en français et en anglais.
  • Activités d’analyse et de valorisation :
  • Appropriation de la littérature administrative et scientifique sur les dispositifs d’accompagnement à l’autonomie des populations japonaises ; 
  • Rédaction d’un rapport de synthèse à partir des entretiens, présentant les données, les dispositifs et mettant en lumières les particularités de chacune des provinces ;
  • Valorisation des données d’enquêtes : participation à des groupes d’exploitation, participation à des séminaires internes et externes ;
  • Co-organisation de séminaires internes au projet ;
  • Participation à la réflexion sur la valorisation des entretiens collectés ;
  • Rédaction d’article, de chapitre d’ouvrage, de communications scientifiques.

Profil recherché :

Ce poste s’adresse à une personne diplômée d’un doctorat souhaité en sociologie, sciences politiques, démographie ou disciplines connexes en SHS.

L’ingenieur.e doit avoir une connaissance préalable des dispositifs publics d’accompagnement des personnes en perte d’autonomie et/ou en situation de handicap. Une connaissance de ces dispositifs au Japon est un plus.

 Il.elle doit avoir une bonne maîtrise des méthodes d’entretiens ethnographiques ainsi qu’une appétence pour les méthodes quantitatives. Il.elle devra pouvoir réaliser des entretiens en français et en anglais.

Modalités de candidature :

Les dossiers de candidatures devront obligatoirement comporter les pièces suivantes :

  • un CV
  • une lettre de motivation
  • un projet de recherche portant sur les aspects que le.a candidat.e souhaiterait développer pendant la durée du contrat

Les candidatures doivent être déposées sur l’interface emploi de l’EHESS : https://recrutement.ehess.fr/  au plus tard le 20/01/24.

Les candidats dont les dossiers auront été présélectionnés, seront convoqués pour une audition qui aura lieu la première semaine de février

Pour toute information concernant le projet et les attendus scientifiques du poste, merci de contacter Mr Sébastien LECHEVALIER : sebastien.lechevalier@ehess.fr

[Conférence] Shigeru BAN, MCJP, 25 janvier 2024 à 18h30

L’architecte japonais Shigeru BAN donnera une conférence, en anglais sans traduction intitulée :

“L’architecture : un équilibre entre création et engagement social”
Jeudi 25 janvier 2024 à 18h30
Maison de la Culture du Japon à Paris

Shigeru Ban a fondé en 1985 son agence après des études d’architecture aux États-Unis. Elle a connu un développement significatif au cours des années puisqu’elle compte aujourd’hui des bureaux à Tokyo, Paris et New York. 

En 1995, il fonde l’ONG VAN (Voluntary Architect’s Network) dont l’objectif est de soutenir les réfugié.e.s de guerre ou de catastrophes naturelles pour lesquels il créé des abris d’urgence sous l’égide du Haut-Commissariat aux Réfugiés des Nations Unies (UNHCR).  

Lors de cette conférence, Shigeru Ban nous présentera une vision humaniste et responsable de l’architecture dans laquelle cohabitent créativité, exigence esthétique et engagement social, humanitaire et écologique.  

Lien vers les informations sur la conférence.

[Séminaire de recherche] Institut d’Asie orientale (UMR5062) – Programme janvier/juin 2024

Le séminaire de recherche de l’Institut d’Asie orientale (UMR5062) a lieu une fois par mois; les séances ont lieu en visioconférence avec une inscription disponible sur ce lien.

Programme de janvier à juin 2024

  • Vendredi 12 janvier 2024, 14h-15h30 : « L’étreinte de la patrie : décolonisation, sortie de guerre et violence à Taiwan, 1947 » , par Victor Louzon (Sorbonne université)
  • Vendredi 9 février 2024, 14h-15h30 : « La reconstruction à Fukushima en question : Namie, un village de campagne propulsé en modèle de résilience urbain post-accident nucléaire », par Cécile Brice-Asanuma (CNRS)
  • Vendredi 29 mars 2024, 14h-15h30 : « L’asymétrie mémorielle Algérie-Indochine en France : ou comment expliquer l’oubli indochinois ? » par Christopher Goscha (UQÀM)
  • Vendredi 12 avril 2024, 14h-15h30 : « Na San, le prélude » par Philippe Gras (ministère de la Défense)
  • Vendredi 17 mai 2024, 14h-15h30 :  « La précarité au travail pendant la haute croissance japonaise » par Bernard Thomann (INALCO)
  • Vendredi 21 juin 2024, 14h-15h30 : « Interconnecting Networks of Human Trafficking in Treaty-Port China and Beyond (1830-1930s) » par Mònica Ginés-Blasi (Marie-Curie / IAO)

Les résumés de ces conférences sont disponibles sur ce lien.

[Soutenance de thèse]”Konoe Fumimaro sous le feu de la presse : le rôle des grands quotidiens japonais dans la définition des responsabilités de guerre, septembre-décembre 1945″, Elsa Gonay, 20 décembre 2023, Genève

Madame Elsa Gonay, candidate au doctorat ès lettres en Études japonaises de l’Université de Genève, soutiendra sa thèse intitulée “Konoe Fumimaro sous le feu de la presse : le rôle des grands quotidiens japonais dans la définition des responsabilités de guerre, septembre-décembre 1945” le 20 décembre 2023 à 14h30, amphithéâtre Berenstein, UOG, place des Grottes 3, à Genève (Suisse).

La soutenance est publique.

Composition du jury

  • Professeur Nicolas Zufferey, président du jury (Université de Genève)
  • Professeure Claire-Akiko Brisset, codirectrice de thèse (Université de Genève)
  • Professeur Samuel Guex, codirecteur de thèse (Université de Genève)
  • Professeur Barak Kushner (University of Cambridge)
  • Dr. César Castellvi (Université Paris-Cité)
  • Dr. Constance Sereni (Université de Genève)

[Appel à communications]”La littérature de la catastrophe, 13 ans après”, Inalco, Paris, 29-30 mars 2024

Près de 13 années se sont écoulées depuis la triple catastrophe de mars 2011. Durant cette période, le Japon a subi de nombreuses calamités naturelles, et à l’échelle mondiale les phénomènes météorologiques catastrophiques se sont multipliés en raison du réchauffement climatique. Dans le même temps, le monde a connu l’épidémie de Covid, les restrictions de circulation et la réaffirmation des logiques étatiques qui en découlent. A peine l’épidémie semblait-elle jugulée que les troupes russes attaquaient l’Ukraine, et aujourd’hui, fin 2023, tous les regards sont tournés vers le Proche-Orient. Comme si le monde était passé du silence de la pandémie aux terribles fracas de la guerre.

Dans ces temps où les désastres semblent s’accumuler, de la triple catastrophe à la pandémie puis à la guerre, quel(s) discours la littérature japonaise a-t-elle pu proposer ? Et quelles questions la recherche en littérature a-t-elle pu formuler ? Les précédents colloques, organisés à Paris en 2018, 2019 et 2021, puis à Tokyo et Kyôto en 2022 dans le cadre de ce programme de recherche, portaient principalement sur la littérature écrite dans le sillage des événements de 2011. Nous nous proposons lors de cette prochaine rencontre de réfléchir sur la littérature japonaise face à la catastrophe et sur les nouvelles orientations que la recherche en la matière pourrait, ou devrait, explorer.

Les propositions de communication (titre et résumé de 1500 signes maximum [français et anglais] ou 1000 signes maximum [japonais]), accompagnées d’une brève notice bio-bibliographique, devront être déposées avant le 10 janvier 2024 sur la page suivante : https://forms.gle/96QGYt31wzyqx6Rs5

Anne Bayard-Sakai (INALCO, Paris) anne.bayard-sakai@inalco.fr

Fujiwara Dan (University of Toulouse-Jean Jaurès)   danfujiwara@icloud.com

Kimura Saeko (Tsuda University)  skimura@tsuda.ac.jp

国際シンポジウム
13 年後のカタストロフ文学
2024 年 3 月 29 日、30 日 於イナルコ (フランス国立東洋言語文化大学)

2011 年 3 月 11 日の東日本大震災から13 年が過ぎようとしている。あれから日本 国内ではさまざまな災害被害があった。世界的にも気候変動による猛暑も度重なる ようになり災害が絶えない。2020 年から全世界が新型コロナウイルスのパンデミッ クにみまわれると、世界の行き来が制限され、あらためて国家という単位に人々は 従わざるを得なくなった。そしてコロナ禍が一服するとロシアによるウクライナ侵 攻が起こる。これはコロナ禍の後遺症といえるのだろうか。さらに追い打ちをかけ るように2023 年現在、パレスチナとイスラエルの紛争が激化している状況にあり、 コロナ禍の静寂から戦禍へと世界が進みつつあるようにみえる。

震災、コロナウイルス、そして戦争と、私たちはまさに折り重なるカタストロフの時代を生きている。このような状況下において、文学はなにを思考してきたか。 あるいは文学研究はなにを問題視してきたのだろうか。パリシンポジウムは、2018 年 6 月を第一回とし、東日本大震災の災禍ののちに書かれた文学をめぐって議論し てきた。いまあらためてカタストロフに向き合う文学とはなにか、あるいはカタス トロフを問う文学研究とはなにかについて考えてみたい。

このシンポジウムは、東日本大震災の衝撃を受けて成る震災後文学、フクシマ文学を起点としながら、その後の度重なるカタストロフをとおして、どのような文学 が起こり、そこにどのような問いかけがあったかを見つめ直すものとする。

参加希望の方は、発表要旨(1000 字以内)に略歴を添えて、以下の Google フォー ムにて 1 月 10 日までにご応募ください。
https://forms.gle/96QGYt31wzyqx6Rs5

[Groupe de travail]”Environnement, Techniques, Industrie”, 14 décembre 2023, 14h-16h

Le Centre de recherche sur le Japon à le plaisir de vous inviter à la session inaugurale du groupe de travail “Environment, Techniques, Industrie”.

Le groupe de travail lance une réflexion commune avec le CERCEC en histoire environnementale et des techniques. Le CRJ et le CERCEC proposent une série de rencontres destinée à la recherche d’appuis communs pour une mise en regard croisée des deux aires. 

La séance inaugurale de cette initiative aura lieu le 14 décembre 2023, de 14h à 16h, autour des travaux pionniers de Ian Miller (Harvard) en histoire environnementale du Japon moderne. Ian Miller est professeur invité à l’EHESS. Ian Miller reviendra sur l’émergence de l’histoire environnementale au Japon et sur son livre The Nature of the Beasts. Empire and Exhibition at the Tokyo Imperial Zoo (2013).

Lieu : Bâtiment EHESS à Condorcet, 3e étage, salle 385-387

Pour toute question, n’hésitez pas à vous adresser à crj@ehess.fr

[Journée Francophone de la Recherche 2023] Vendredi 15 décembre 2023, Maison franco-japonaise, Tokyo

Sciencescope – l’Association des étudiants et chercheurs francophones au Japon, l’Ambassade de France au Japon (SST et SC/IFJ), le Bureau de Tokyo du CNRS Asie du Nord-Est et l’Institut Français de Recherche sur le Japon (MFJ-IFRJ, UMIFRE 19 MEAE-CNRS) organisent la Journée Francophone de la Recherche 2023 (JFR 2023) le vendredi 15 décembre 2023 à la Maison franco-japonaise (MFJ), Tokyo. Format hybride, l’évènement sera simultanément retransmis sur Zoom.

Depuis 1997, cette rencontre annuelle réunit la communauté de chercheurs et étudiants francophones établis au Japon, toutes disciplines et toutes nationalités confondues. L’objectif de la JFR est de permettre aux chercheurs, étudiants, doctorants, ingénieurs, institutionnels, représentants d’entreprise ou toutes personnes intéressées de se rencontrer et d’échanger sur leurs activités au Japon.

La participation est libre, gratuite, ouverte et accessible à tous, mais l’inscription est obligatoire via notre formulaire en ligne. (Inscriptions ouvertes jusqu’au mercredi 13 décembre 2023)

Nous sommes heureux d’annoncer que suite à la levée des restrictions sanitaires, cette année JFR reviendra à son format normal avec les présentations orales dans l’auditorium et les posters dans la galerie de la Maison franco-japonaise. Enfin, la JFR 2023 fêtera les 30 ans d’activités de Sciencescope, nous vous attendons donc nombreux pour célébrer cet anniversaire. 

Programme

Accueil à partir de 9h30

10h00-10h45. Introduction

Mots d’introduction par Cecile LALY (Présidente de Sciencescope), Raphaël LANGUILLON (Chercheur à l’Institut français de recherche sur le Japon de la Maison franco-japonaise), Didier MARTY-DESSUS (Conseiller pour la science et la technologie de l’Ambassade France au Japon), Jean-Baptiste BORDES (Attaché pour le Service pour la Science et la Technologie de l’Ambassade de France), Frédérique PENILLA (Directrice de l’Institut français de Tokyo) et Jacques MALEVAL (Directeur du bureau du CNRS en Asie du Nord-Est).

10h45-12h20. session 1

Modération : Clément DUPUIS (CNRS)

10h45-11h10Mathieu CELERIER (CNRS-AIST Joint Robotics Laboratory)
À la quête d’une interaction physique plus agréable avec des robots proactifs

11h10-11h20Anne-Claire EILER (université de Tokyo)
Réseau d’électrodes à microcanaux traversants pour la détection et mesure de microparticules

11h20-11h35Swann LADRECH et Amaury DOURDIN (LFI Tokyo)
Projet de recherche pour soigner les sabots des chevaux naturellement

11h35-12h00Oumrati MOHAMED (université Waseda)
La fin du Programme de formation des apprentis techniciens au Japon : un échec ou une redéfinition des objectifs de la politique migratoire ?

12h00-12h10Yannick MAUFROID (Institut Français de Recherche sur l’Asie de l’Est (IFRAE))
Aspects et possibilités de l’écriture onirique contemporaine – au croisement de la littérature d’après-guerre de Shimao Toshio et d’Ishikawa Jun

12h10-12h20. Rina KOJIMA (Laboratoire Techniques, Territoires et Sociétés)
« Morts brutales et massives » en contexte de catastrophe

Temps libre : déjeuner, posters et concours photo

13h30-14h55. Session 2

Modération : Adeline LASSAUX (SST de l’Ambassade France au Japon)

13h30-13h55. Elsa CHANEZ (université Washington de Saint-Louis)
De Paris à Tokyo : de l’inclusion du français dans « Pari no sabaku, Tōkyō no shinkirō » de Kanehara Hitomi

13h55-14h05. Baptiste ALRIC (IIS-UTokyo/LIMMS CNRS-IIS)
Technologie micro fluidique pour étudier les propriétés mécaniques de micro-vaisseaux endothéliaux

14h05-14h30. Fiona LOUIS (université d’Osaka)
De la boîte de pétri au biberon : une révolution dans la production de lait maternel humain grâce aux glandes mammaires de laboratoire

14h30- 14h45. Azenor PAQUET (LFI Tokyo) et Karin BOUTIN (LFI Tokyo)
Les relations amoureuses des adolescents. Le cas du Lycée français international de Tokyo

14h45-14h55. Marceau GRESSE (National Institute of Advanced Industrial Science and Technology (AIST))
Vers une nouvelle méthode de surveillance de l’activité volcanique ?

Temps libre : café, posters et concours photo

15h20-16h40. Session 3

Modération : Raphaël LANGUILLON (Institut français de recherche sur le Japon de la Maison franco-japonaise)

15h20-15h45. Thomas SWIERZINSKI (université Métropolitaine de Tokyo)
Le pavillon de thé dans la pensée architecturale de Yasuoka Katsuya, premier théoricien de l’habitation au Japon – Vers un lien entre habitation et pavillon de thé

15h45-15h55. Matthieu GALLOU-GUYOT (université Ochanomizu)
Existe-t-il un lien temporel entre le volume d’activité physique vigoureuse et l’apparition de douleur chez les patients drépanocytaires ?

15h55-16h20. Naoko HOSOKAWA (université de Tokyo)
Langue et durabilité : Les leçons d’une langue régionale en France

16h20-16h30. Aymeric SERVETTAZ (Japan Agency for Marine-Earth Science and Technology)
Influence de la glace de mer sur l’utilisation des nitrates et la productivité biologique dans l’Océan Austral

16h30-16h40. Anaïs CORNIER (université Ochanomizu)
Les violences sexuelles sur enfants au Japon

Temps libre : café, posters et concours photo

17h-18h. Conférence invitée

Modération : Jean-Baptiste BORDES (SST de l’Ambassade France au Japon)

Gentiane VENTURE (université de Tokyo) et Dominique LESTEL (ENS de la rue d’Ulm)
Vers une éthologie des machines

18h00. Mots de clôture

Mots de clôture par Charles-Henri BROSSEAU (Conseiller de coopération et d’action culturelle (COCAC) de l’Ambassade de France au Japon) et Cecile LALY (Présidente de Sciencescope).

[Conférence]”Japan and the Journey of Soy: From Food from Somewhere to Washoku”, 12 décembre 2023, 18h JST et sur Zoom

Dans le cadre des Kyoto Lectures, Felice Farina (Università degli Studi di Napoli « L’Orientale ») donne une conférence sur « Japan and the Journey of Soy: From Food from Somewhere to Washoku » mardi 12 décembre 2023 à partir de 18h (heure du Japon) et 10h (heure française) sur Zoom.

https://us02web.zoom.us/j/86875319515, Meeting ID: 868 7531 9515 

[Célébration] 30 ans de l’Institut d’Asie Orientale (IAO), mercredi 13 & jeudi 14 décembre 2023, Lyon

L’Institut d’Asie Orientale (IAO) est heureux de vous convier à la célébration de ses 30 ans. Deux journées de conférences et de tables rondes se tiendront les mercredi 13 et jeudi 14 décembre 2023 à « La Parenthèse » au sein de la Bibliothèque Diderot de Lyon (BDL). 

Vous trouverez le programme complet sur le site de l’IAO : https://iao.cnrs.fr/wp-content/uploads/2023/11/PROGRAMME-1.pdf

Les inscriptions sont ouvertes : https://iao.cnrs.fr/actualite/30-ans-de-liao/

Nous serons ravis de vous y retrouver et d’échanger avec toutes et tous lors de ces journées de recherches conviviales.

Béatrice Jaluzot (directrice) & Claude Chevaleyre (directeur adjoint)

[Podcast]Le Japon en perspective, Les sociétés villageoises du Japon d’Edo à travers leurs temples et leurs sanctuaires avec Yannick Bardy

Pour cet épisode, Grégoire Sastre reçoit Yannick Bardy, maître de conférences à l’université de Lille, membre du laboratoire CECILLE et chercheur associé au CRJ de l’Ehess. Il est historien, spécialiste des sociétés locales japonaises durant la période d’Edo (1600-1868).
À travers ses recherches sur les sanctuaires shintō de la province d’Izumi, il nous présente le fonctionnement des sociétés villageoises du Japon de la période d’Edo.

Informations complémentaires et podcast sur ce lien.