Poste : PRAG/PRCE en japonais à l’université Rennes 2

L’UFR langues-LCER vient de publier un poste de PRAG/PRCE en japonais (au Centre de langue, enseignement pour non-spécialistes).

Les délais de recrutement sont assez courts. 

Voici le lien sur Galaxie pour le poste : https://www.galaxie.enseignementsup-recherche.gouv.fr/ensup/ListesPostesPublies/VEGA/0350937D/FOPC_0350937D_4389.pdf
Et le lien sur la page DRH de Rennes 2 : https://intranet.univ-rennes2.fr/drh/recrutement-enseignants-second-degre


« Profil recherché : Personnel du second degré (agrégé ou certifié), maitrisant parfaitement le japonais. L’enseignant devra dispenser des cours de langue pour spécialistes d’autres disciplines (LANSAD) pour des étudiants en initiation et en continuation inscrits dans les cinq UFR de l’université Rennes 2, en s’appuyant sur des supports variés et devra participer aux activités associées. Il devra également intervenir dans la Mineure de Japonais pour assurer des cours de civilisation japonais en Licence. Il est attendu que la personne recrutée assure des tâches collectives de coordination (emplois du temps, recrutement d’enseignants vacataires, coordination des relations internationales). »

Il ne faut pas hésiter à contacter Anthony Larson (directeur de l’UFR) pour toutes informations sur le poste et/ou contacter la DRH (Mme Mathieu) pour la procédure de dépôt de dossier. Les mails sont indiqués sur le document téléchargeable sur Galaxie. 

Parution : Animaux dans la peinture japonaise

Auteure :
Brigitte Koyama-Richard

Editeur : Éditions Scala

Date de publication : Octobre 2020

Présentation :
Dans la peinture japonaise, dragons, grues, renards, singes, tigres ou libellules déambulent ou volent au milieu d’une végétationluxuriante, décorant ainsi les rouleaux enluminés,les paravents ou les estampes. Du plus petit insecte àl’éléphant, ils ornent également les temples, les sanctuaires, les palais et les jardins.
Mais au-delà de leur fonction décorative ou propitiatoire, ces représentations ont une signification. Pour pouvoir les comprendre et les apprécier, il faut connaître leur place dans la culture, c’est-à-dire dans l’histoire, la spiritualité, la littérature et la vie quotidienne.
C’est pourquoi ce livre s’ouvre par deux chapitres, consacrés l’un aux origines et au sens de la symbolique, et l’autre aux métamorphoses des animaux en humains, avant de dérouler une cinquantaine de portraits d’animaux imaginaires, fantastiques ou réels parmi les plus importants dans la peinture et la culture japonaises.
Depuis les premières représentations animalières, en passant par l’influence du shintoïsme  puis du bouddhisme, cet ouvrage propose un nouveau regard sur la représentation de l’animal dans l’art japonais, en particulier dans la peinture du Moyen Âge jusqu’à l’art contemporain.
Une iconographie exceptionnelle réunissant plus de 300 œuvres, provenant en grande partie des musées japonais, vient illustrer le texte de Brigitte Koyama-Richard.

Page sur le site de l’éditeur : ici

Worshop international: « Multiplicity and Diversity of Culture and Language: Japan in a Global Context » (6-8 novembre 2020)

The 3rd EU-Japan Young Scholars Workshop / 2020 International New Generation Workshop

Title : Multiplicity and Diversity of Culture and Language: Japan in a Global Context 越境する日本語・日本文化──言語文化の多様性をもとめて

Date: November 6th – 8th, 2020

Organized by CEEJA, CGJS & HIJAS, Supported by the Department Haut-Rhin (France)

Pour toute demande de participation à l’événement en tant qu’observateur, vous pouvez envoyer un email en anglais à l’adresse suivante : cgis@nichibun.ac.jp

Lien vers le programme complet du workshop à télécharger : ici

Séminaire : les solidarités à l’épreuve de la Terre (automne 2020)

Voici le programme des trois prochaines séances qui auront lieu en ligne pour remplacer le séminaire intitulé « Les solidarités à l’épreuve de la Terre : Vers des territoires de résilience ? 地球により試練にさらされる連帯:レジリエンスの地域へ? » qui était prévu à Tôkyô à la Maison Franco-Japonaise les 24 et 25 avril 2020 et annulé en raison de la crise de la Covid-19.

Programme complet à télécharger : ici

Modalités de participation

Toutes les séances se dérouleront sur Zoom, les liens sont indiqués par séance ci- dessous.
La participation aux séances sera sous inscription. Merci de nous contacter au préalable à l’adresse suivante en précisant les séances auxquelles vous souhaiteriez assister. Nous vous enverrons par la suite le code d’accès.

Ecrivez à : kenjiro.muramatsu@univ-lyon3.fr

Séance 1 : Repenser la solidarité et nos rapports à la terre en temps de crise

Le 13 novembre 2020, 9h-11h30 (France) / 17h-19h30 (Japon)

Séance 2 : Retrouver l’autonomie dans la nature en temps de crise ? : agroécologie et permaculture

Le 27 novembre 2020, 9h-11h30 (France) / 17h-19h30 (Japon)

Séance 3 : Retours à la terre en temps de crise Japon – Europe

Le 11 décembre 2020, 9-11h30 (France) / 17h-19h30 (Japon)

Ce séminaire est ouvert aux chercheurs confirmés comme aux jeunes chercheurs (doctorants et post-doctorants) de différentes disciplines (philosophie, histoire, anthropologie, sociologie, économie…) et d’études aréales (Europe, Japon, Asie, etc.)

Les présentations et discussions se feront essentiellement en français. N’hésitez pas à nous contacter si vous avez besoin de plus de renseignements.

Pour le descriptif du séminaire, nous vous invitons à consulter l’appel à communication publié dans les sites suivants : https://retoursterre.hypotheses.org/122
https://calenda.org/756335 https://www.mfj.gr.jp/agenda/2020/04/25/territoires_de_resilience/

Contacts :
Laurence Granchamp, Maître de conférences, Université de Strasbourg, Dyname UMR7367.
laugran@unistra.fr

Kenjiro Muramatsu, Maître de conférences, Université Jean Moulin Lyon 3, IETT EA 4186.
kenjiro.muramatsu@univ-lyon3.fr

Nicolas Baumert, Maître de conférences, Université de Nagoya

baumert@ilas.nagoya-u.ac.jp

Conférence : KAWASATO Suguru « Les fondements esthétiques de la critique chez Kobayashi Hideo : inspirations bergsonienne et rimbaldienne de la beauté et de l’acte de croyance » (samedi 14 novembre 2020)

Il s’agit de la première conférence de l’année 2020-2021 organisée par le Groupe d’étude de philosophie japonaise (Ifrae, Inalco / Université de Paris / CNRS, F-75013 Paris).

Samedi 14 novembre 2020, en vidéoconférence sur Zoom 
14h00-14h45 suivie de discussion 

 KAWASATO  Suguru  (Université de Nagoya, Inalco)
Titre : Les fondements esthétiques de la critique chez Kobayashi Hideo : inspirations bergsonienne et rimbaldienne de la beauté et de l’acte de croyance

15h30 la fin de séance 

Pour le lien Zoom, prière de contacter  : takako.saito@inalco.fr

contact courriel : takako.saito@inalco.frakinobukuroda@gmail.comsimon.ebersolt@gmail.com

Résumé :
         L’objectif de cette communication est d’examiner, à travers la critique de Kobayashi Hideo (1902-1983) sur le philosophe français Henri Bergson (1859-1941) et le poète français Arthur Rimbaud (1854-1891), l’attitude de l’esprit envers la création artistique ainsi que son aspect transcendantal en dehors du cadre du christianisme. Kobayashi souligne l’importance de la volonté de créer l’œuvre d’art chez l’artiste tout en étant conscient du fait qu’il y a des facteurs inconnus qui entrent dans le processus créatif artistique. Ces éléments sont appelés par Kobayashi shukumei 宿命 (destin). À travers l’intérêt pour Bergson dont a fait preuve le mouvement philosophique du vitalisme sous l’ère Taishō (1912-1926), nous pouvons attester de l’influence de Bergson sur Kobayashi.

       Dans la philosophie de Bergson, la notion de « vie » possède une sorte de transcendance (bien qu’elle soit différente de celle de la religion), de telle sorte que nous pouvons dire que l’idée de shukumei porte aussi sur certains aspects transcendants. Nous pouvons y trouver, dans le monde après la « mort de Dieu », une sorte de croyance religieuse. Dans la pensée de Bergson, l’art et la perspective religieuse sont comme deux entités inséparablement liées l’une à l’autre, car c’est l’apparition des choses dans le monde qui fait surgir une caractéristique « divine » dans l’œuvre d’art. Bergson considère Dieu comme ce qui apparaît dans le phénomène immanent de ce monde, mais Kobayashi, en se débarrassant de ce point de vue chrétien, garde seulement la structure de pensée de Bergson : c’est l’apparition des choses même qui possède l’aspect transcendant sans religion.

       Kobayashi pense que le philosophe et le poète sont égaux dans le sens où ils tentent de créer l’œuvre d’art en s’appuyant sur « ce qui est donné immédiatement à la conscience ». L’esthétique de Bergson souligne le point de vue selon lequel l’artiste crée des choses par sa propre volonté, mais le statut de l’artiste est plutôt de recevoir la « bonté divine » en enlevant le voile destiné à la vie quotidienne. Par contre, Kobayashi, qui n’est pas chrétien, suppose que l’artiste (poète) crée les œuvres d’art à travers son propre effort. Bien que Bergson parle de l’effort de l’artiste, l’utilisation de cette notion est différente chez Kobayashi : chez Bergson, l’artiste possède le statut d’intermédiaire de Dieu, mais pour Kobayashi, la caractéristique de l’artiste est de créer des œuvres avec une nouvelle utilisation des mots, c’est-à-dire que l’effort dérivé de la part de l’homme vaut le créateur complet dans le domaine de l’art.

       Dans la première critique de Kobayashi sur Rimbaud, il peut y avoir deux points de vue remarquables : c’est le fait qu’« un artiste doit avoir le néant (mu無) tout d’abord », puis le shukumei entre dans la tête de l’artiste en arrière d’elle avec les « yeux de prière » (kitôsha no me祈祷者の眼). La première veut dire qu’en abandonnant le point de vue quotidien (mu), on peut arriver et accepter ce qui est « inconnu ». La seconde signifie que ceux qui prient ne sont pas des personnes qui donnent leurs prières avec seulement une partie de leur esprit ; ils prient avec l’esprit entier. En ayant cette attitude de l’esprit, ce qui se trouve hors de la conscience (que Kobayashi appelle la « réalité extérieure ») peut entrer dans l’esprit de l’artiste.

Lien vers l’annonce de l’événement sur le site de l’Inalco : ici

Capes externe langues vivantes étrangères – japonais (session 2021)

Le Ministère de l’Education Nationale a décidé l’ouverture du concours du Capes externe langues vivantes étrangères – japonais (session 2021).


Le descriptif des épreuves peut être consulté ici.

Le programme de la session 2021 du concours a été publié le 10 avril 2020. Vous pouvez le consulter ici.

Les candidats et personnes intéressées sont invités à consulter les rapports de jury et les intitulés des épreuves des sessions précédentes (depuis 2016) ici.

ATTENTION :
Les inscriptions au concours se font par Internet et seront closes le jeudi 12 novembre 2020 à 17 heures, heure de Paris.

Les épreuves écrites d’admissibilité auront lieu entre le lundi 22 mars et le vendredi 9 avril 2021 ; les candidats admissibles passeront les épreuves orales durant le mois de juin 2021.

Pour obtenir le statut de professeur certifié, en plus de la réussite au Capes, il faut nécessairement : 
– Effectuer, en tant que fonctionnaire stagiaire, un stage rémunéré d’un an à l’issue duquel un jury déterminera si vous pouvez, ou non, être titularisé.
– Détenir, pour les concours dont la réglementation le prévoit, un diplôme de master ou un titre équivalent.
Si vous êtes reçu au concours externe et ne disposez pas de diplôme de master, vous devrez vous inscrire en deuxième année (M2) du master métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation (MEEF) lors de votre année de stage et ne pourrez être titularisé que si votre diplôme est validé (les candidats dispensés de diplôme ne sont pas concernés).

Appel : 24e Journée Francophone de la Recherche 2020 (vendredi 4 décembre 2020)

Sciencescope –l’Association des étudiants et chercheurs francophones au Japon-, l’Ambassade de France au Japon, l’Institut Français de Recherche sur le Japon (MFJ, UMIFRE 19 MEAE-CNRS) et le Bureau de Tokyo du CNRS Asie du Nord-Est organisent la 24e Journée Francophone de la Recherche 2020 (J·FR 2020) le vendredi 4 décembre 2020, à la Maison Franco-Japonaise (MFJ) à Tokyo (Ebisu) et en ligne via l’application Zoom.

Cet événement -ouvert et accessible à tous en ligne- se déroulera autour d’exposés de chercheurs sous différents formats et de tables rondes qui seront diffusés en direct en ligne via l’application Zoom.

Depuis 1997, cette rencontre annuelle réunit la communauté de chercheurs et étudiants francophones établis au Japon, de toutes disciplines et de toutes nationalités. L’objectif de J·FR 2020 est de permettre aux chercheurs, étudiants, ingénieurs, institutionnels, représentants d’entreprise ou toutes personnes intéressées de se rencontrer et d’échanger sur leurs activités au Japon.

Vous êtes cordialement invités à présenter vos travaux de recherche, ou simplement vous inscrire pour participer à cette journée.

Plusieurs formats de contribution sont proposés, et les instructions aux auteurs sont disponibles sur la page web de J·FR 2020 :
exposé (20 min) en présentiel ou en ligne ;
flash-talk (5 min) en présentiel ou en ligne ;
poster en ligne (salle virtuelle et/ou format court).

L’inscription est gratuite et obligatoire et peut se faire dès maintenant en ligne via le site web de J·FR 2020 jusqu’au mercredi 4 novembre 2020(contribution en ligne ou présentiel) ou le vendredi 27 novembre 2020 (auditeurs en ligne).

Dates importantes :
-Propositions de contribution :  mercredi 4 novembre 2020
-Inscriptions à J·FR 2020 : vendredi 27 novembre 2020
-J·FR 2020 : vendredi 4 décembre 2020

Pour plus d’informations sur J·FR 2020, l’inscription et l’appel à contribution :
https://www.sciencescope.org/JFR2020

Contact :  jfr2020@sciencescope.org
Facebook : https://www.facebook.com/sciencescope/
LinkedIN : https://www.linkedin.com/groups/115615

English version

Dear all,
As the covid19 pandemic and health crisis is still ongoing, we hope that you and your relatives are going well.

This crisis still has an impact on all our activities. The 24th French Research Day in Japan (J·FR 2020) will therefore be organized on December 4th, 2020 in a new format allowing :
-In-person participation at Maison franco-japonaise for interested speakers (If the situation still allows it and while respecting health protection measures);
-Online via Zoom, in order to allow as many people to participate and attend this event.

Please find hereafter the Call for Communications for J·FR 2020.

We stay available should you need more information.

Best regards

Sciencescope
French Researcher Organization in Japan

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J·FR 2020: French Research Day (Journée Francophone de la Recherche)
Location: Maison Franco-Japonaise (Ebisu, Tokyo)
Online: Zoom application
Date: Friday, December 04th, 2020
Web: https://www.sciencescope.org/JFR2020en
Contact: jfr2020@sciencescope.org
Registrations: Wednesday, November 04th, 2020 (contributions) / Friday, November 27th, 2020 (attendees)
Notification : Wednesday, November 11th, 2020
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Call for Communications

Sciencescope, the French Students and Researchers Organization in Japan, the Embassy of France in Japan, the French Institute for Research on Japan (IFRJ-MFJ, UMIFRE 19 MEAE-CNRS) and CNRS – Tokyo office North-East Asia are organizing the 24th French Research Day in Japan 2020 (Journée Francophone de la Recherche – J·FR 2020) on Friday, December 04th, 2020 at Maison Franco-Japonaise (MFJ), Tokyo (Ebisu) and online with the Zoomapplication.

J·FR 2020 is free and open to everyone online and will feature several presentations by researchers in different formats and panel discussions, and the whole event will be lively broadcasted online with the Zoom application. 

Since 1997, this annual meeting has brought together the community of french-speaking Researchers and Students in Japan from all disciplines and nationalities. This event intends to promote discussions among researchers, students, engineers, officials, company representatives or any interested persons about their activities in Japan.

You are kindly invited to submit your research work or to register as an attendee to participate to J·FR 2020.

Several types of contributions are proposed, and the instructions for authors are available online on the J·FR 2020 webpage:
Presentation (20min) at MFJ or online;
Flash-talk (5 min) at MFJ or online;
Poster Online (virtual room or short presentation).

The registration is free and open to all, but it is mandatory and can be made online through the J·FR 2020 website until November 04th (wed), 2020 (speakers), or November 27th (fri), 2020 (online attendees).

Important Dates:
-Proposals: Wednesday, November 04th, 2020 
-Registrations to J·FR 2020: Friday, November 27th, 2020
-J·FR 2020: Friday, December 4th, 2020  

For registration process and further information, please visit the J·FR 2020 website:
https://www.sciencescope.org/JFR2020en

For any inquiries, feel free to contact the organizing committee at jfr2020@sciencescope.org

Facebook : https://www.facebook.com/sciencescope/
LinkedIN : https://www.linkedin.com/groups/115615

Journées d’étude : L’Asie à l’ère de l’anthropocène » (jeudi et vendredi 19-20 novembre 2020)

Voici le programme des journées d’étude en ligne « L’Asie à l’ère de l’anthropocène » qui auront lieu les 19 et 20 novembre prochains. 
Lien vers le programme

L’objectif des journées est de discuter les articles en cours de rédaction des jeunes chercheurs ayant comme objet d’étude les problématiques de l’anthropocène en Asie.
Les 5 disciplines (anthropologie, sociologie, sciences politiques, littérature, géographie), les 9 pays (Mongolie, Vietnam, Chine, Indonésie, Inde, Taiwan, Japon, Corée, Népal), des chercheurs de différents niveaux (des jeunes doctorants aux jeunes docteurs) y sont représentés.

Le jeudi 19 novembre au soir, Stéphane Grumbach donnera une conférence inaugurale intitulée « L’anthropocène, ère de dissonance ».
La discussion de la journée du vendredi 20 novembre sera basée sur la lecture des articles soumis préalablement. Nous ferons également circuler les articles parmi les participants et invitons chacun à les lire pour préparer les discussions.

Compte tenu de la situation sanitaire française liée à la COVID 19, et des évolutions diverses s’y rapportant, le comité d’organisation a décidé de passer intégralement au distanciel. L’inscription est obligatoire via le lien ci-dessous : 
https://framaforms.org/inscription-journee-detude-lasie-a-lere-de-lanthropocene-2011-1602851281

L’événement est organisé par le bureau des jeunes chercheurs du GIS Asie avec le soutien du GIS Asie et de l’ENS Lyon.

Comité d’organisation :
Ken Daimaru (Université de Paris, CRCAO), Samia Kotele (ENS Lyon, IAO), Béatrice Jaluzot (directrice de l’IAO), Manon Laurent (Université de Paris, CESSMA) et Aurélie Varrel (directrice du GIS Asie)

Agrégation externe de langue et culture japonaises (session 2021)

Le Ministère de l’Education Nationale a décidé l’ouverture du concours de l’agrégation externe de langue et culture japonaises (session 2021).

Cette agrégation représente un débouché qui devrait intéresser tous les bons étudiants de master.

Vous trouverez une description détaillée des épreuves sur le site du Ministère de l’Éducation : description des épreuves

Le programme de la session 2021 du concours a été publié le 10 avril 2020. Il est disponible en cliquant sur le lien suivant: programme agrégation japonais 2021

ATTENTION :

Les inscriptions au concours se font par Internet et seront closes le jeudi 12 novembre 2020 à 17 heures, heure de Paris.

L’écrit aura lieu du lundi 1 mars au mercredi 17 mars 2021 ; les candidats admissibles passeront les épreuves orales mi-juin.

Le niveau de diplôme requis pour l’agrégation est le M2 ; toutefois, les candidats admis auront, dans les faits, jusqu’au 30 juin pour présenter au Ministère la justification de l’obtention du M2. Autrement dit, les étudiants qui seront inscrits en M2 en 2020-2021 peuvent se présenter au concours, étant entendu qu’ils devront suivre le cursus de master et valider leur diplôme en même temps qu’ils prépareront l’agrégation.

Préparation à l’agrégation 2020-2021 (lien)

L’Inalco et l’Université Paris-Diderot proposent conjointement des cours de préparation à l’agrégation.

Compte tenu de la situation sanitaire les cours auront lieu en visioconférence à partir de la fin novembre. Le programme précis des séances sera diffusé dès qu’il aura été finalisé.

=> le planning du cours est disponible en bas de cette page

Ces cours peuvent être suivis dans deux cadres :

a) Soit dans le cadre du master de japonais parcours enseignement (master co-habilité Inalco-Paris Diderot) : l’assistance aux cours de préparation à l’agrégation est obligatoire.

b) Soit dans le cadre du cursus « Préparation à l’agrégation » pour lequel une inscription doit être prise soit à l’Inalco, soit à l’Université Paris Diderot.

Sont prévues :

  • deux séances de deux heures sur chacun des deux auteurs au programme en littérature (total : huit heures) ;
  • deux séances de deux heures sur la question d’histoire ;
  • deux séances de deux heures sur la question de civilisation du Japon contemporain ;
  • deux séances de deux heures de préparation à la version ;
  • deux séances de deux heures de préparation au thème ;
  • deux séances de deux heures de préparation à l’exercice de grammaire.

Entre l’écrit et l’oral auront lieu :

  • deux séances de deux heures sur chacun des deux textes classiques au programme (total : huit heures) ;
  • deux séances de deux heures d’entraînement aux oraux.

Pour tout renseignement, s’adresser à Michel Vieillard-Baron, président du jury de l’agrégation (michel.vieillard-baron@inalco.fr).

Planning des cours de préparation à l’agrégation de langue et culture japonaises Session 2021
Calendrier au 6 novembre 2020

Compte tenu de la situation sanitaire, les cours se dérouleront en visioconférence (sur zoom). Les personnes désireuses de suivre les cours sont invitées à prendre contact avec l’enseignant responsable (les courriels figurent à la suite du calendrier).

1. Samedi 21 novembre14h-16h        I. Konuma (Japon contemporain) 
2. Samedi 28 novembre 13h-15h        A. Tran (Littérature Sôseki)
15h-17h        J. Faury (Version)
3. Samedi 5 décembre14h-16h        C. Sakai (Littérature Sôseki)
4. Samedi 12 décembre13h-15h        Y. Nakamura (Grammaire)
15h-17h        I. Konuma (Japon contemporain)
5. Samedi 09 janvier 13h-15h        A. Roy (Histoire Meiji)
15h-17h        T. Garcin (Littérature Mishima)
6. Samedi 16 janvier 13h-15h         A. Roy (Histoire Meiji)
15h-17h         Y. Nakamura (Grammaire)
7. Samedi 23 janvier     13h-15h         T. Garcin (Littérature Mishima)
15h-17h          J. Faury (Version)
8. Samedi 30 janvier 14h-16h        A. Nakajima (Thème)
9. Samedi 6 février  14h-16h        A. Nakajima (Thème)

Julien Faury : <julienfaury21@gmail.com>
Thomas Garcin : <garcinthomas@gmail.com>
Isabelle Konuma : <isabelle.konuma@inalco.fr>
Akiko Nakajima : <akiko.nakajima@u-paris.fr>
Yayoi Nakamura : <yayoi.nakamura@inalco.fr>
Alexandre Roy : <alexandre.roy@inalco.fr>
Cécile Sakai : <sakaicecile@gmail.com>
Agathe Tran : <agathe.tran81@gmail.com

Parution : L’esprit de plaisir – Une histoire de la sexualité et de l’érotisme au Japon (17e-20e siècle)

L’Esprit de plaisir – Une histoire de la sexualité et de l’érotisme au Japon (17e-20e siècle)

Auteurs :
Pierre-François Souyri & Philippe Pons

Éditeur : Payot Collection Histoire

Date de publication : octobre 2020

Présentation :
L’esprit de plaisir, qui s’épanouit au Japon durant l’époque Edo (1603-1867), fut marqué par un raffinement dont témoignent l’inventivité des estampes érotiques, le jeu de la séduction élevé en art par les geishas et le mélange des genres au sein du truculent théâtre kabuki. Cet art hédoniste de l’existence, qui encourageait la dimension ludique dans les relations charnelles, fut banni à l’ère Meiji (1868-1912), qui corseta le désir, brida l’imaginaire érotique et condamna l’amour entre garçons, si prisé des samouraïs, afin de se conformer à l’ordre bourgeois et de paraître ainsi civilisé aux yeux de l’étranger. L’archipel subit alors un choc intense et soudain entre une culture déculpabilisée du désir charnel, qui avait nourri un art érotique parmi les plus élaborés au monde, et une science sexuelle importée d’Occident avec ses interdits et ses tabous.
Ce goût pour les plaisirs devait renaître au lendemain de la Première Guerre mondiale avec la culture de masse des « années folles », dont les modern girls émancipées furent l’étendard, puis la fureur de vivre désespérée dans les décombres de la défaite, avant d’être récupéré par une prolifique industrie érotico-pornographique.

Page sur le site de l’éditeur : ici