SFEJ / Création d’un séminaire « itinérant » de la SFEJ

SFEJ / Création d’un séminaire itinérant de la SFEJ

À la suite de la décision prise lors de sa dernière Assemblée Générale, la SFEJ lance à partir du printemps prochain son séminaire « itinérant ».

Il prendra la forme de conférences organisées par des collègues volontaires, essentiellement hors de Paris, trois fois dans l’année. L’invité présentera ses travaux récents, notamment les ouvrages qu’il aurait écrits ou dirigés.

Il s’agit à la fois d’aider à faire connaître aux chercheurs, spécialistes du Japon ou non, des travaux ayant récemment fait l’objet de publication, mais aussi de participer à la diffusion de la recherche auprès d’étudiants qui n’ont pas toujours la possibilité de prendre part aux manifestations organisées loin de leur lieu de formation.

La SFEJ prend en charge le transport et une nuit d’hotel pour la personne invitée.

Concernant la programmation, l’objectif est de prendre en compte autant que possible le calendrier universitaire, en essayant de placer les conférences autour des débuts de semestres (fin septembre/début octobre,  fin janvier/début février), ainsi qu’à la fin du second semestre (fin avril), afin de permettre aux étudiants d’y prendre part.

Au sein du conseil de la SFEJ, c’est César Castellvi qui se charge de coordonner cette nouvelle activité, qui s’ajoute donc  au colloque et à l’ADEJ. Les personnes qui souhaiteraient organiser une conférence sont inviter à le contacter, sachant qu’il n’est pas nécessaire d’être membre du conseil pour se porter volontaire.

La première conférence sera organisée en mars à Orléans, et vous en recevrez bientôt l’annonce officielle via cette même liste de diffusion. 

Les deux séances suivantes (automne 2022 et hiver 2023) devraient avoir lieu à Strasbourg et à Grenoble. 

Contact : cesar.castellvi[at]u-paris.fr

 

Parution / Japon Pluriel 13 – Résistances, conflits et réconciliations (Actes du treizième colloque de la Société française des études japonaises)

Titre

JAPON PLURIEL 13 – Résistances, conflits et réconciliations

Direction de l’ouvrage

Yannick Bardy, Pauline Cherrier & Gérald Peloux

Maison d’édition 

Philippe Picquier

Date de publication 

Février 2022

Nombre de pages

576 p. 

Présentation

Depuis 1995, la série Japon pluriel propose en un volume un reflet de l’actualité des recherches japonaises dans le monde francophone. Ce volume constitue le treizième de la série et reprend le résultat des réflexions présentées en décembre 2018 à Paris lors du treizième colloque de la Société française des études japonaises dont la thématique était « Résistances, conflits et réconciliations ».
2018 fut une année riche en commémorations, aussi bien en France qu’au Japon. Ce fut tout d’abord le cent cinquantième anniversaire de la Restauration de Meiji, événement fondateur du Japon moderne et contemporain. Ce fut également le centième anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale, dont les conclusions eurent une incidence importante sur la jeune puissance japonaise, et le cinquantième anniversaire des événements de 1968, période d’agitation sociale extrême qui mêla révoltes et répression, violence et espoirs.
Les cinquante articles présentés ici, dont beaucoup font écho à la thématique du colloque, sont répartis en quatorze chapitres qui couvrent des domaines aussi variés que la politique, la philosophie, l’histoire, la littérature, la linguistique, les études de genre, les arts visuels, l’anthropologie, la sociologie, etc. Les lectrices et lecteurs pourront y découvrir la diversité et la vitalité de la recherche francophone sur le Japon.

Sommaire du livre en version PDF : http://sfej.asso.fr/wp-content/uploads/2022/02/Sommaire-JP-13.pdf

Lien vers le site de l’éditeur : https://www.editions-picquier.com/ouvrage/japon-pluriel-13/

Annonce / nouvel épisode du podcast scientifique « Le Japon en perspective »

Le Japon en perspective épisode 10

– Culture populaire japonaise : Manga et mouvements étudiants / Les jeux à pleurer : le cas Clanad –

Entretien avec Julien Bouvard

Dans ces deux nouveaux épisodes du podcast scientifique “Le Japon en perspective”, Grégoire Sastre reçoit Julien Bouvard, maître de conférences en études japonaises à l’Université Lyon 3 Jean Moulin.

Julien Bouvard y présente ses travaux d’une part sur le rapport entre le Manga et les mouvements étudiants du « mai 68 » japonais et d’autre part sur la spécificité des « jeux à pleurer » (nakigē) à travers le cas du jeu Clannad.

Vous trouverez le podcast et tous les détails le concernant au bout de ce lien:  https://audioblog.arteradio.com/blog/144357/podcast/178185/le-japon-en-perspective-episode-10-culture-populaire-japonaise-manga-et-mouvements-etudiants-les-jeux-a-pleurer-le-cas-clanad-julien-bouvard

Contact : sastre.gregoire[at]gmail.com

Appel à Candidatures pour organisation Atelier doctoral des études japonaises (9 décembre 2022)

Chères et chers membres de la SFEJ,

Après un hiatus de 3 ans à cause de la pandémie, le prochain Atelier doctoral des études japonaises (ADEJ) aura lieu cette année le vendredi 9 décembre 2022

Il s’agit d’une manifestation importante de notre association qui a lieu tous les deux ans en temps normal, en alternance avec le colloque de la SFEJ. L’ADEJ offre l’occasion aux doctorant.e.s francophones en études japonaises de présenter leur sujet de recherche et de recueillir les avis des spécialistes.Il est aussi l’occasion de nouer des liens avec les doctorant.e.s d’autres institutions.  

La SFEJ recherche deux doctorant.e.s ou « jeunes » docteur.e.s qui accepteraient d’organiser la prochaine édition de cet atelier.

Le travail consisterait à assurer le suivi de la préparation (appel à candidatures, conception du programme, organisation matérielle de la journée…). Les deux organisateur.trice.s seront épaulé.e.s par un membre du Conseil de la SFEJ. Le lieu de l’événement sera à définir avec les organisateur.trice.s qui seront désigné.e.s par le Conseil de la SFEJ.

Le.la candidat.e doit être déjà bien avancé.e dans sa thèse ou l’avoir récemment soutenue, avoir le sens de l’organisation et être en France cet automne.

Pour mémoire, ce sont Lucie Tisserand et Clara Wartelle qui avaient organisé l’atelier en 2019 à Lyon.

Cette préparation constitue une expérience enrichissante qui permettra à l’étudiant.e d’entrer en contact de manière plus étroite avec le milieu des spécialistes des études japonaises et l’entraînera aussi à l’organisation d’une manifestation scientifique.

Les personnes intéressées et / ou qui souhaiteraient en savoir plus peuvent nous contacter à l’adresse secretariat@sfej.asso.fr.

En cas de candidature, merci de joindre un CV. 

Nous invitons les membres de la SFEJ, plus particulièrement les directrices et directeurs de thèse, à diffuser largement cette annonce auprès des personnes concernées.

Résultat du prix de thèse SFEJ – Okamatsu Yoshihisa 2021

Pour sa 6e édition, le prix de thèse SFEJ – Okamatsu 2021 a été remis à Alia Demnati pour sa thèse intitulée L’industrie de l’animation japonaise aux prises avec l’image numérique : la réponse d’Oshii Mamoru (1995-2004), sous la direction de Claire-Akiko Brisset.

La thèse est téléchargeable en version numérique sur le lien suivant : https://archivesic.ccsd.cnrs.fr/CRCAO/tel-03267681v1

Son discours de remerciement est accessible ici.

Nous lui adressons encore toutes nos félicitations !

Résumé de la thèse

Au Japon, la période qui s’étend de 1995 à 2004 est marquée par un mouvement général de l’industrie de l’animation vers le développement du numérique dans le cadre de la production. Plusieurs projets ambitieux sont alors lancés, mais très peu sont menés à leur terme, et rarement dans les temps et sous l’exacte forme prévus. Malgré ce bilan en demi-teinte, les quelques productions qui ont survécu montrent une variété d’approches qui témoigne des différentes voies explorées par les équipes de réalisation.Oshii Mamoru (1951-) fait partie des cinéastes qui participent à ce mouvement exploratoire et dont la pratique, au cours de cette période, passe d’un usage parcimonieux et mimétique de l’image numérique (1989-1995) à une utilisation bien visible et intégrée à tous les niveaux de sens de ses œuvres. Cette phase expérimentale commence en 1995 avec la production de G.R.M. (Garumu senki), un film hybride dont l’ambition est de rassembler dessins animés, prises de vues réelles et images de synthèse afin de créer un univers visuel (et diégétique) inédit. Ambitieux projet technique et esthétique, G.R.M. peine à se financer, malgré les stratégies déployées par les producteurs de la société Bandai Visual, et ces derniers préfèrent l’abandonner en 1998. Les recherches menées par Oshii et l’équipe réunie pour G.R.M. trouvent néanmoins leur expression dans deux films dont le réalisateur dit qu’ils constituent une paire : Avalon (2001) et Ghost in the Shell 2 : Innocence (2004).Pour Avalon, les techniques numériques sont utilisées afin de retravailler et recomposer, parfois une à une, les images capturées par la caméra, dépassant largement la seule fonction d’effet spécial pour transformer le film en prise de vues réelles en film d’animation. Dans Innocence, les décors peints à la main sont appliqués comme textures à des modèles 3D de façon à créer des effets de profondeur inédits dans le dessin animé japonais classique. Ainsi, les images numériques créent un décalage graphique et dynamique entre les personnages en dessins animés (à la main) et les fonds produits par ordinateur, décalage qu’elles exacerbent et réduisent tour à tour (en jouant de leur mimétisme) en fonction des besoins du scénario et des thèmes développés par le film. En effet, les deux œuvres ont en commun d’intégrer les images numériques à leurs univers diégétiques et à leurs récits respectifs. Avalon décrit une quête de vérité dans un jeu vidéo et Innocence se déroule dans un monde où l’informatique a pénétré jusqu’à l’appareil cognitif et mnémonique des personnes.Cette thèse montre que la visibilité des images numériques dans ces trois productions relève en partie d’un impératif économique de la démonstration technique, qui appartient à la situation de l’industrie de l’animation japonaise à l’époque, mais qu’elle constitue surtout une réponse narrative, esthétique et théorique originale du réalisateur à la question de la place à donner à l’image numérique dans la pratique cinématographique.

Plus d’informations sur le prix Okamatsu disponibles ici.

Assemblée Générale de la SFEJ (vendredi 10 décembre 2021, 18h-19h, Université d’Orléans)

Convocation à l’Assemblée Générale de la SFEJ

qui se tiendra

le vendredi 10 décembre 2021,

de 18h à 19h,

à l’Université d’Orléans,

Amphithéâtre Péguy

10 Rue de Tours

45065 Orléans

(TRAM A ou Bus n°7, arrêt L’Indien)

***

À l’ordre du jour de l’Assemblée Générale :

  • Rapport financier par le Trésorier 
  • Rapport moral par le Président 
  • Remise du Prix de thèse Okamatsu Yoshihisa 2021
  • Questions diverses
  • Élections des membres du Conseil. 4 sièges sont à pourvoir : ceux d’Evelyne Lesigne-Audoly, Gérald Peloux, Sandra Schaal et Sarah Terrail-Lormel. Gérald Peloux et Sandra Schaal ont exprimé leur désir de se présenter pour un nouveau mandat.

=>  Les membres de la SFEJ désireux de poser leur candidature au Conseil doivent envoyer une lettre à cet effet (document joint) au secrétariat (voir adresse mail dans l’entête) avant le 1er décembre 2021. Ils joindront également dans un autre fichier une courte profession de foi. Le mandat est d’une durée de 3 ans (2022-2024).

L’Assemblée Générale sera suivie d’un cocktail

L’élection aura lieu en ligne avec l’outil numérique Balotilo. Vous recevrez le jour de l’ouverture du vote un lien personnel pour voter. Le vote sera ouvert du lundi 6 décembre 8h00 au vendredi 10 décembre 18h00.

RAPPEL : Seuls les membres à jour de leur cotisation 2021 pourront voter. En raison du vote en ligne, nous vous serions reconnaissant de mettre à jour votre cotisation d’ici le mercredi 1 décembre 20h00 au plus tard. Pour faciliter la prise en compte de vos cotisations, veuillez autant que possible préférer le paiement en ligne (voir : http://sfej.asso.fr/?p=64)[1].

Vous trouverez dans ce mail la liste des membres à jour pour 2021 (fichier Excel). Si vous voyez apparaître 2021 (ou 2022, etc.) en face de votre nom, cela signifie que vous êtes à jour. Ceux dont le nom indique une autre date (2020, 2019, 2018, etc.) doivent se mettre à jour du nombre d’années manquantes (2020 : 1 an, 2019 : 2 ans, 2018 : 3 ans, etc.).

La cotisation annuelle pour 2021 est de 40 € pour les membres ordinaires, de 25 € pour les étudiants, post-docs, enseignants dont le poste est temporaire, retraités, chômeurs et de 110 € pour les institutions.

Pour le paiement en ligne, si vous avez plusieurs années de rattrapage, après avoir indiqué le nombre d’années à payer sur la première page, vous devrez remplir autant de fois que nécessaire le fichier d’inscription.

Nous vous attendons nombreux à l’Assemblée Générale et au colloque de la SFEJ.

Cordialement,

Gérald Peloux

Secrétaire général

Annonce / nouvel épisode du podcast scientifique « Le Japon en perspective »

Le Japon en perspective épisode 9 : la haute fonction publique japonaise

Dans ces deux nouveaux épisodes du podcast scientifique « Le Japon en perspective », Grégoire Sastre reçoit Arnaud Grivaud, Maître de conférences à l’Université de Paris.

Politiste spécialiste de l’administration publique japonaise, il revient sur ses travaux concernant la haute administration japonaise, et en particulier son rapport avec la sphère politique.

Dans une deuxième partie, il présente plus précisément les carrières des femmes au sein de cette haute administration et les difficultés qu’elles y rencontrent.

Vous pouvez les écouter sur le carnet hypothèses de la SFEJ Japon(s)(https://sfej.hypotheses.org/1247) ou via Apple podcast, sur Spotify ou en utilisant le flux RSS qui vous permettra de vous inscrire sur d’autres applications, notamment sous Android.

Contact : sastre.gregoire@gmail.com

Japon(s) – Carnet de la SFEJ / « Retour sur l’affaire Ghosn et la justice japonaise » par Éric Seizelet

Chères et chers membres de la SFEJ, 

Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication du premier article de recherche de notre carnet Hypothèses Japon(s).

Écrit par Éric Seizelet, professeur émérite de l’université de Paris, il est intitulé «Retour sur l’affaire Ghosn et la justice japonaise ». 

Vous le trouverez au bout de ce lien : https://sfej.hypotheses.org/1150


Si vous souhaitez proposer un texte à Japon(s), en voici les conditions de soumission : 
https://sfej.hypotheses.org/199


Nous vous souhaitons une excellente lecture.

Appel à communications / session posters dans le cadre du 14e colloque 2021 de la SFEJ (date limite des candidatures, 30 mai 2021)

Le quatorzième colloque de la SFEJ ayant été reporté, pour raisons sanitaires, au mois décembre 2021, l’Atelier doctoral des études japonaises (ADEJ) ne se tiendra donc pas à cette même période, tel que prévu initialement. De ce fait, le comité d’organisation a décidé de mettre exceptionnellement en place pour cette année 2021 une session posters consacrée au thème choisi pour le colloque : « Périphéries et centres ». Elle sera ouverte en particulier aux jeunes chercheur·e·s et aux doctorant·e·s. Les posters seront exposés à l’occasion du colloque et donneront lieu à des présentations lors de créneaux dédiés.

S’interroger sur les centres et les périphéries permet en effet de prendre en considération des aspects moins connus de l’histoire japonaise, que ceux-ci aient été marginalisés pour des raisons méthodologiques ou qu’ils aient été passés sous silence pour à des fins politiques. On pourra ainsi revenir notamment sur la définition de quelques concepts clés : quels territoires considérer comme japonais ? Qu’est-ce que la littérature japonaise ? Que recouvre la langue japonaise ? Quelle est/serait l’identité japonaise ? Qui – quels groupes, quels individus – constituent les marges de la population japonaise ? Etc.

Les contributeur·rice·s sont également invité·e·s à présenter, à partir de leurs disciplines respectives – droit, science politique, anthropologie, géographie, histoire, pensée, linguistique, sociologie, littérature, art, économie etc.–, les objets d’étude qui relèvent selon eux du « périphérique » ou du « central », à l’intérieur même du territoire japonais ou dans une perspective transnationale. Ce thème – « périphéries et centres » – devrait permettre d’analyser et de mieux comprendre les transformations sociales, politiques, urbaines, économiques et culturelles à l’œuvre dans l’histoire japonaise, quelle que soit l’époque considérée – l’éclairage historique permettant de remettre en perspective les tentatives de définition d’un unique « centre » japonais souvent indéfini et parfois brandi afin d’instrumentaliser les « périphéries ».

La mission principale de ce colloque – rendre compte de l’actualité et du dynamisme de la recherche en étude japonaise en France – autorise toutefois toutes les propositions de communication qui sortiraient de cette thématique principale. Nous souhaitons notamment, pour cette édition 2021, accorder une place particulière aux contributions relevant de la didactique du japonais, afin de mettre à l’honneur l’enseignement du japonais en contexte francophone, indissociable de nos pratiques de chercheur·e·s.

Vous êtes invité·e·s à nous faire parvenir vos propositions individuelles de poster : un résumé de 500 caractères en français de la problématique générale du poster.

Une fois la proposition acceptée, chaque poster (format A0) contiendra :

Vos nom, prénom,
– Votre adresse mail, si vous le souhaitez,
– Un titre (100 signes max. espaces compris), le cas échéant un ou des sous-titres,
– Une introduction précisant le contexte et les problématiques de votre recherche (450 signes max. espaces compris),
– Un paragraphe intitulé “Méthodologie” présentant les méthodes mises en œuvre pour mener vos travaux (1700 signes max. espaces compris),
– Des paragraphes soulignant l’apport de votre recherche (1250 signes max. espaces compris), Le cas échéant, une ou des illustrations avec leur légende et la mention des crédits,
– Le logo de votre institution de rattachement (université, école, laboratoire).

Veuillez indiquer dans votre message vos nom, prénom, institution de rattachement / laboratoire, statut, et adresse de contact.

Les propositions doivent être envoyées à l’adresse colloquesfej2020@gmail.com avant le 30 mai 2021.

Les personnes dont les propositions de poster seront retenues seront contactées par email courant juin.

Informations disponibles en PDF ici.

Le comité d’organisation :
Aline Henninger, maîtresse de conférences, université d’Orléans
Mayumi Shimosakai, maîtresse de conférences, université d’Orléans

Contact : colloquesfej2020@gmail.com