Association Interdisciplinaire des Ethnographies Japonaises

L’Association Interdisciplinaire des Ethnographies japonaises souhaite rassembler les chercheurs travaillant sur le Japon contemporain et partageant un intérêt pour la pratique de l’ethnographie comme méthode d’enquête. Elle est donc interdisciplinaire : sont invités les ethnologues et anthropologues, les sociologues, les géographes, les politologues… tout chercheur qui fait de l’enquête de terrain sa méthode première.


Fondée en 2021 par des chercheurs appartenant à différentes institutions, en France et hors de France, suite à une première journée d’études consacrée à l’enquête ethnographique au Japon, soutenue par de grandes unités de recherche françaises, c’est une association qui se veut ouverte à toute personne intéressée par ses objectifs, à commencer par les étudiants qui se destinent à un travail ethnographique. Y adhérer est simple et permet de se tenir au courant des nombreux travaux effectués sur le terrain japonais.

Ethnographies japonaises se donne pour programme l’organisation de rencontres annuelles. Elle soutient également des séminaires et journées d’études thématiques plus ponctuels.

Lien vers le Carnet Hypothèses de l’association => https://terrainjapon.hypotheses.org

Atelier doctoral de la SFEJ (ADEJ)

Atelier doctoral de la SFEJ

La SFEJ organise depuis 2009 l’atelier doctoral national des études japonaises (ADEJ), en alternance avec le colloque.

Il s’agit d’un espace d’échange, où les doctorants inscrits dans des établissements de pays francophones se retrouvent pour présenter leur travail de recherche. La troisième édition de l’ADEJ a eu lieu en décembre 2013.

Un appel à candidatures pour l’organisation de l’édition 2022 a été lancé. Il disponible sur cette page : http://sfej.asso.fr/?p=2355

Vous pouvez également accéder aux programmes des précédentes éditions :

6e Atelier doctoral des études japonaises, vendredi 24 janvier 2020, Université Lyon 3 Jean Moulin
Organisation : Clara Wartelle (Inalco, Ifrae) et Lucie Tisserand (Université Lyon 3, IETT)
Programme

5e Atelier doctoral des études japonaises, vendredi 8 décembre 2018, EHESS, Paris
Organisation : Tokumitsu Naoko (EHESS, CMH) et Delphine Vomschied (EPHE, CRCAO)
Programme

4e Atelier doctoral des études japonaises, vendredi 11 décembre 2015, EHESS, Paris
Organisation : Yola Gloaguen (EPHE, CRCAO) et Aurélien Allard (Inalco)
Programme

Centre de recherche sur l’Extrême-Orient de Paris-Sorbonne (CREOPS)

Centre de Recherches sur l’Extrême Orient de Paris – Sorbonne

Le Centre de Recherches sur l’Extrême Orient de Paris – Sorbonne a été fondé en 1990 à la suite de la création d’une chaire d’histoire de l’art et d’archéologie de l’Extrême Orient.

Le laboratoire regroupe des recherches portant essentiellement sur l’art de l’Asie orientale (Chine, Japon, Corée, Vietnam) et méridionale (Inde, Pakistan, pays himalayens, Sri Lanka, Asie du Sud-Est). Les membres du laboratoire sont formés aux langues des pays étudiés et travaillent avant tout sur des aspects artistiques et archéologiques de l’Extrême-Orient ancien et, dans une moindre mesure, récent. Le CREOPS a noué des liens avec des universités partenaires et des musées, tant en Asie qu’en Occident, en s’associant à des chercheurs travaillant sur les mêmes domaines. Centre universitaire, sa vocation est principalement l’enseignement et la recherche. L’initiation aux arts asiatiques est assurée à Paris-Sorbonne dès le niveau licence puis dans des programmes de master spécifiques. Les enseignants-chercheurs du CREOPS interviennent aussi régulièrement dans le cadre de colloques et d’expositions muséales.

Le laboratoire encadre des doctorants ayant déjà acquis une formation aux langues orientales. Le CREOPS et l’École Doctorale leur apportent des soutiens ponctuels pour leurs missions de terrain. Ils peuvent aussi bénéficier de bourses de mobilité.

Ce site, conçu en priorité pour valoriser la recherche, met en ligne les sujets de travaux, masters et thèses en histoire de l’Art et Archéologie (environ 400 entrées), déjà réalisés ou en cours. Ces travaux sont pour la plupart consultables sur demande dans les locaux du CREOPS. Vous pouvez ainsi identifier rapidement la ou les personnes, – qu’elles soient membres du Centre, professeurs, chercheurs, etc. – qui ont déjà abordé les thèmes qui vous intéressent .

Le site présente aussi les activités du CREOPS, ses publications, les colloques déjà organisés ou à venir ainsi que les séminaires de recherche sur l’Extrême-Orient de Paris- Sorbonne. Enfin la page actualité sélectionne des manifestations culturelles concernant l’Asie et la page liens vous met en relation avec des sites, universitaires ou non, choisis pour leur intérêt spécifique.
 Pr. Edith Parlier-Renault ( Directeur)

Lien vers le site Internet du centre ici.

École Française d’Extrême Orient (EFEO)

L’Ecole française d’Extrême-Orient (EFEO), fondée en 1900 à Saigon, a pour mission la recherche interdisciplinaire sur les civilisations asiatiques, de l’Inde au Japon. L’EFEO est présente, grâce à ses 18 centres de recherche, dans 12 pays d’Asie. Cette spécificité permet à ses 42 chercheurs permanents (anthropologues, archéologues, linguistes, historiens, philologues, sociologues des religions, etc.) d’être sur les terrains de leurs études, et d’animer un réseau de coopérations locales et d’échanges internationaux entre scientifiques orientalistes.

Les centres de l’EFEO en Asie

Installés dans des lieux-clés pour les études de terrain en Asie, les centres de l’EFEO, constituent des points de rencontre privilégiés pour les chercheurs :

– ils mettent à leur disposition d’importantes ressources documentaires en langues vernaculaires ainsi qu’une connaissance unique de l’environnement local
– ils servent de plate-forme scientifique, stimulant des échanges entre chercheurs de passage européens et mettant ceux-ci en relation avec des partenaires scientifiques locaux, aussi bien dans leur spécialité qu’au-delà (par exemple en organisant des conférences internationales, des ateliers ou des séminaires) 
– ils facilitent l’immersion linguistique et culturelle, et les échanges, dans les sociétés et les communautés locales
– ils soutiennent les collaborations internationales et contribuent à l’émergence de recherches de premier plan au niveau mondial
– ils offrent un soutien pratique et logistique aux jeunes chercheurs et aux nouveaux arrivants sur le terrain
– ils favorisent les rencontres en dehors du monde académique, avec certains réseaux locaux et internationaux, avec diverses organisations ou associations (par exemple, avec des diplomates européens, des décideurs politiques, des leaders d’opinion ou des responsables d’organisations non gouvernementales).

Ouvert en 1968, le centre de l’EFEO à Kyoto, actuellement dirigé par Martin Nogueira Ramos, a pour mission le développement et la valorisation des recherches sur le Japon ancien et contemporain dans le domaine des sciences humaines et sociales. Initialement installée dans le monastère Zen du Shōkokuji, au nord du Palais impérial, l’EFEO a consolidé sa présence à Kyoto en se dotant d’un nouveau centre de recherche au début de l’année 2014. L’architecture du centre, exemplaire sur le plan des qualités environnementale et architecturale, a été récompensée par un prix de la Fondation Holcim pour la construction durable.

En tant qu’institution de recherche, le site est pourvu d’une riche bibliothèque (de plus de 10 000 ouvrages) sur trois niveaux (Japon, Inde, Chine), spécialisée dans les études classiques et les religions d’Asie. Ce fonds documentaire, constitué depuis les années 1960, comprend une grande partie d’ouvrages en langues asiatiques (principalement en japonais, chinois, coréen). 

Le centre est voué à accueillir d’autres institutions européennes, à commencer par l’ISEAS (Italian School of East Asian Studies). Conçu pour devenir un pôle régional en Asie orientale, au sein du réseau des 18 centres de l’EFEO et en partenariat avec les universités japonaises, il est un lieu de rencontre international pour l’étude des civilisations asiatiques.

L’EFEO Kyoto est partenaire de l’ISEAS et, depuis 2003, de l’Institut de recherche en sciences humaines de l’université de Kyoto. Le centre entretient aussi des liens privilégiés avec le Tōyō bunko (Tokyo), le Centre international d’études japonaises (Nichibunken), des universités bouddhiques (Ryūkoku, Ōtani), la Maison franco-japonaise (Tokyo) et l’Institut français du Japon qui dispose d’une antenne à Kyoto. 

De concert avec leurs collègues en poste à Tokyo, les chercheurs du centre ont développé des collaborations avec différentes institutions françaises et japonaises. Au Japon, outre les institutions mentionnées ci-dessus, B. Jacquet a tissé des liens avec plusieurs universités du Kansai proposant des programmes en architecture. M. Nogueira Ramos, qui est déjà engagé dans un programme de recherche sur la présence catholique dans l’archipel avec des collègues japonais, développe de nouveaux projets ayant trait à l’histoire sociale du fait religieux. 

Le Centre de l’EFEO à Kyoto organise de nombreux colloques et séminaires en partenariat avec des institutions locales et internationales. Le centre organise mensuellement, depuis 2002, les Kyoto Lectures, un cycle de conférences dans le domaine des études asiatiques. Ce programme est organisé en partenariat avec l’ISEAS et l’Institut de recherche en sciences humaines de l’université de Kyoto. En 2014, l’EFEO a lancé un nouveau cycle annuel de conférences intitulé Anna Seidel Memorial Lecture ; ce programme, qui a été créé à l’occasion de l’inauguration du nouveau centre de l’EFEO à Kyoto, a permis d’inviter plusieurs chercheurs de renommée internationale travaillant sur les religions de l’Asie orientale.

Dès son origine, le Centre de Kyoto a été chargé, en collaboration avec l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, l’Académie du Japon et la Maison-franco japonaise, de la rédaction du Hôbôgirin, dictionnaire encyclopédique du bouddhisme. Le centre assure l’édition des Cahiers d’Extrême-Asie. Depuis sa création en 1985, cette revue propose des dossiers ayant trait, en particulier, aux religions de l’Asie orientale. Par son bilinguisme français/anglais, elle s’efforce de toucher un large public de chercheurs travaillant sur l’Asie et joue un rôle de coordination entre la recherche française et la recherche internationale.

Le centre de Tōkyō, établi en 1994, est installé au sein du bunko, la plus importante bibliothèque consacrée aux études orientales au Japon et l’une des institutions de recherche les plus actives dans le domaine des études asiatiques au niveau mondial. La convention conclue entre l’École française d’Extrême-Orient et cet établissement prévoit l’échange de renseignements en matière de documentation scientifique et de publications, l’échange de chercheurs et l’exécution de projets communs.

Les bâtiments du Tōyō bunko se composent des réserves dans lesquelles les collections sont conservées, d’une salle de lecture, de salles de séminaire pour les chercheurs, ainsi que d’un musée. Le bureau du centre de l’EFEO à Tōkyō se trouve au septième étage.

Les programmes de recherche que le centre développe concernent :
– Réseaux lettrés, moines et collectionneurs dans le Japon d’Edo (1603-1867).
– Histoire des échanges internationaux en Asie orientale et en Eurasie à l’époque moderne – notamment (à partir de l’automne 2017) sur la « découverte du bouddhisme » dans les sources occidentales (1550-1850).
– Histoire de l’art et esthétique du Japon moderne.

Le centre fait aujourd’hui partie de l’équipe de recherche « systèmes de pensée et pratiques » et conduit plus spécifiquement des recherches sur l’histoire religieuse, artistique et littéraire du Japon moderne (1600-1900), ainsi que sur les échanges internationaux en Asie orientale. D’autre part il participe à l’édition des Cahiers d’Extrême-Asie, en collaboration avec son équipe éditoriale : François Lachaud du centre de Tōkyō, Martin Nogueira Ramos du centre de Kyōto, Luca Gabbiani (Paris) et Élisabeth Chabanol du centre de Séoul.

En dehors de son partenariat principal avec le Tōyō bunko, le centre est lié à l’université de Tōkyō, à l’université Keiō et l’université Jōchi (Sophia).
Le centre accueille sur rendez-vous les boursiers et les chercheurs de l’EFEO qui séjournent au Japon. À partir de l’automne 2017 un séminaire sera organisé autour d’œuvres appartenant au fonds Morrison à l’origine de la fondation du Tōyō bunko et dont l’année 2017 marque le centenaire.

Site Internet de l’EFEO : ici

Anciens colloques de la SFEJ

Ancienne version du logo de la SFEJ

Cette page rassemble les programmes en version PDF des précédentes éditions du colloque de la SFEJ.

Sont pour l’instant disponibles les programmes des éditions organisées entre 1994 et 2006.

  • Premier colloque de la SFEJ
    16 – 17 décembre 1994
    Maison des associations saint-germanoises / Université Paris 7
    Programme
  • Deuxième colloque de la SFEJ
    19 – 21 décembre 1996
    Siège du CNRS
    Programme
  • Troisième colloque de la SFEJ
    17 – 19 décembre 1998
    Siège du CNRS
    Programme
  • Quatrième colloque de la SFEJ
    14 – 16 décembre 2000
    Siège du CNRS
    Programme
  • Cinquième colloque de la SFEJ
    19 – 21 décembre 2002
    Siège du CNRS – Maison de la Culture du Japon à Paris
    Programme
  • Sixième colloque de la SFEJ
    17 – 19 décembre 2004
    Université Marc Bloch Strasbourg – Centre Européen d’Études Japonaises
    Programme
  • Septième colloque de la SFEJ
    20 – 22 décembre 2006
    Siège du CNRS
    Programme


Groupe d’étude sur le politique au Japon

Le Groupe d’étude sur le politique au Japon est une plate-forme ouverte destinée à rassembler les chercheurs francophones travaillant sur le terrain japonais et s’intéressant aux questions politiques entendues au sens large. Il vise à mettre en lien des thématiques et des recherches variées, rendre compte des avancées récentes dans l’étude du politique, et participer activement au développement de cette recherche, notamment en France.

Lien vers le carnet de recherche : https://seiji.hypotheses.org

Activités de la SFEJ

La Société Française des Etudes Japonaises est une association régie par la loi du 1er juillet 1901 qui réunit les étudiants, chercheurs et personnes spécialistes des études japonaises.

Ses activités sont principalement :
Liste de discussion : la SFEJ assure la gestion d’une liste de discussion reliant les membres entre eux et permettant la circulation d’annonces de publications, de conférences, journées ou colloques ainsi que d’appels à contributions dans le domaine des études japonaises.

sfej@googlegroups.com

Des annonces des événements (colloque, conférence, journées, publications, etc) en relation avec les études japonaises peuvent être postées par chacun des membres de la SFEJ en envoyant un mail à l’adresse : sfej@googlegroups.com
Le mail sera reçu par tous les membres de la liste.

Les mails postés peuvent être consultés par le public à l’adresse :
https://groups.google.com/forum/?hl=fr#!forum/sfej

Attention : seuls les membres de la SFEJ sont autorisés à poster des annonces.


Carnet de recherche : Japon (s) Carnet de la SFEJ, https://sfej.hypotheses.org

Assemblée générale et conférence annuelle : la SFEJ tient chaque année au mois de décembre son Assemblée générale réglementaire au cours de laquelle elle procède au renouvellement du tiers des membres de son conseil. Le président présente à cette occasion son rapport moral et le trésorier son rapport financier.  

Bulletin : La SFEJ publie annuellement un bulletin qui comporte un annuaire des membres remis régulièrement à jour, une bibliographie des ouvrages concernant le Japon parus dans l’année, les dernières nominations, ainsi qu’un petit dossier informatif sur l’état des études japonaises dans le monde. Le bulletin est envoyé à tous les membres de la SFEJ.

Colloque de la SFEJ : Biennal, le colloque de la SFEJ se tient en décembre de chaque année paire. Il est ouvert au public. Un comité d’organisation, assisté d’un conseil scientifique, est chargé de collecter les propositions de communication et de panels et d’organiser un symposium sur une thématique précise, réunissant des spécialistes internationalement reconnus. Les actes du colloque sont publiés dans l’année qui suit au sein de la collection Japon Pluriel des éditions Philippe Picquier. 

Atelier doctoral de la SFEJ : La Société française des études japonaises organise depuis 2009 l’atelier doctoral national des études japonaises (ADEJ), en alternance avec le colloque. Il s’agit d’un espace d’échange, où les doctorants inscrits dans des établissements de pays francophones se retrouvent pour présenter leur travail de recherche. La troisième édition de l’ADEJ a eu lieu en décembre 2013.

Manuscrits japonais à peintures narratives de l’époque d’Edo (BNF)

Manuscrits japonais à peintures narratives de l’époque d’Edo au département des manuscrits de la BNF et dans les collections publiques françaises

Le carnet « Manuscrits japonais à peintures » présente les résultats d’un programme de recherche sur les manuscrits japonais à peintures narratives dans les collections publiques françaises, tout au long de l’avancée du projet. Vous y trouverez les séances de l’atelier de travail mensuel, des groupes de travail spécialisés (littérature, histoire de l’art, anthropologie) et la présentation des réalisations (journée d’étude, atelier de paléographie, résultats de recherches) du projet.

http://manuscritsjaponais.hypotheses.org

Agrégation externe de langue et culture japonaises (session 2020)

Le Ministère de l’Education Nationale a décidé l’ouverture du concours de l’agrégation externe de langue et culture japonaises (session 2020).

Cette Agrégation représente un débouché qui devrait intéresser tous les bons étudiants de master.

Le descriptif des épreuves peut être consulté en ligne ici.

Le programme de la session 2020 du concours a été publié le 12 avril 2019 et peut être consulté en ligne ici.

ATTENTION :

Les inscriptions au concours se font par Internet et seront closes le jeudi 10 octobre 2019 à 17 heures, heure de Paris.

L’écrit aura lieu du lundi 2 mars au vendredi 20 mars 2020 ; les candidats admissibles passeront les épreuves orales mi-juin.

Le niveau de diplôme requis pour l’agrégation est le M2 ; toutefois, les candidats admis auront, dans les faits, jusqu’au 30 juin pour présenter au Ministère la justification de l’obtention du M2. Autrement dit, les étudiants qui seront inscrits en M2 en 2019-2020 peuvent se présenter au concours, étant entendu qu’ils devront suivre le cursus de master et valider leur diplôme en même temps qu’ils prépareront l’agrégation.

Préparation à l’agrégation 2019-2020

L’Inalco et l’Université Paris-Diderot proposent conjointement des cours de préparation à l’agrégation.

Ces cours auront lieu les samedis, à l’Inalco, à partir du début novembre. Le programme précis des séances sera diffusé dès qu’il aura été finalisé.

Ces cours peuvent être suivis dans deux cadres :

a) Soit dans le cadre du master de japonais parcours enseignement (master co-habilité Inalco-Paris Diderot) : l’assistance aux cours de préparation à l’agrégation est obligatoire.

b) Soit dans le cadre du cursus « Préparation à l’agrégation » pour lequel une inscription doit être prise soit à l’Inalco, soit à l’Université Paris Diderot.

Sont prévues :

  • deux séances de deux heures sur chacun des deux auteurs au programme en littérature (total : huit heures) ;
  • deux séances de deux heures sur la question d’histoire ;
  • deux séances de deux heures sur la question de civilisation du Japon contemporain ;
  • deux séances de deux heures de préparation à la version ;
  • deux séances de deux heures de préparation au thème ;
  • deux séances de deux heures de préparation à l’exercice de grammaire.

Entre l’écrit et l’oral auront lieu :

  • deux séances de deux heures sur chacun des deux textes classiques au programme (total : huit heures) ;
  • deux séances de deux heures d’entraînement aux oraux.

Pour tout renseignement, s’adresser à Anne Bayard-Sakai, présidente du jury de l’agrégation (anne.bayard-sakai@inalco.fr).