Groupe d’étude de philosophie japonaise

Le Groupe d’étude de philosophie japonaise a commencé ses activités en 2001 au sein du Centre d’études japonaises de l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco, Paris). Depuis 2019, il fait partie de l’Institut français de recherche sur l’Asie de l’Est (Inalco/Université de Paris/CNRS). À ses débuts, les activités de recherche portaient principalement sur Nishida Kitarô, sur lequel trois des membres du Groupe ont soutenu leurs thèses de doctorat, deux en France, un en Suisse. Depuis, le champ de recherche s’est élargi à d’autres penseurs et philosophes japonais anciens et modernes, Dôgen, Kuki Shûzô, Miki Kiyoshi, Watsuji Tetsurô, Nishitani Keiji, ou encore Maruyama Masao. Des recherches en philosophie comparée ont aussi été menées. Les membres sont principalement des chercheurs et des doctorants venant de France, de Belgique, de Suisse, d’Allemagne, desÉtats-Unis et du Japon. Le Groupe organise plusieurs communications par an, en français ou en japonais.

Lien vers la page Internet du groupe : http://philosophiejaponaise.blogspot.com

« Asie Thèses », base de données du GIS Asie des thèses en sciences humaines et sociales portant sur l’Asie

Le GIS Asie a mis en place une nouvelle base de données à destination des personnes s’intéressant aux recherches sur l’Asie.

La base de données est accessible à cette adresse : http://www.gis-reseau-asie.org/fr/theses

Description :
La base de données Asie Thèses recense les thèses en sciences humaines et sociales sur l’Asie délivrées par un établissement français depuis 1970. L’aire géographique concernée va de l’Asie Centrale à l’Asie Extrême Orientale en passant par le sous-continent indien.

Cette base, créée et maintenue par le GIS Asie, contient les informations et notices des thèses présentes dans le SUDOC, et pour les travaux soutenus à partir de 2013, dans theses.fr. Son originalité : elle ne contient que des thèses sur l’Asie, un critère de recherche qui n’existe dans aucun autre catalogue.

Comment faire une recherche ? Différents filtres sont disponibles dans le menu ci-contre, qui peuvent être croisés pour affiner les résultats (si vous entrez plusieurs mots, l’opérateur par défaut est « ET »). Un outil d’export des résultats est actuellement en développement et sera disponible courant 2021.

Aujourd’hui, la base AsieThèses rassemble plus de 8300 thèses. Elle est incrémentée avec les thèses nouvellement soutenue tous les 6 mois. Si certains travaux ne sont pas répertoriés, n’hésitez pas à les signaler en écrivant à webmestre@gis-reseau-asie.org

Association des Enseignants de Japonais en France (AEFJ)

Présentation

Association des Enseignants de Japonais en France (AEJF)

L’AJF a pour but principal de promouvoir l’enseignement de la langue et de la civilisation japonaises et d’approfondir les échanges culturels entre la France et le Japon afin de contribuer à la compréhension mutuelle entre les deux pays.

Pour ce faire, elle a la vocation de faire état de l’enseignement du japonais en France et de tisser un réseau de relations permettant d’accroître la coopération et les échanges d’informations entreles enseignants.

Année de la création : Avril 1997
Publiée dans le Journal Officiel du 10 mai 1997

Activités de l’AEJF

◊ Collecte et diffusion des matériaux, documents et informations sur l’état de l’enseignement du japonais en France.

◊ Etablissement d’un réseau d’échanges entre les enseignants de japonais.

◊ Organisation de réunions d’études, de stages de formation sur l’enseignement de la langue et la culture japonaises.

◊ Promotion des échanges avec les organismes publics ou privés de l’enseignement du japonais, au Japon et dans les autres pays.

◊Projets de développement collectifs :
– Evaluation et analyse des matériels pédagogiques disponibles,élaboration et développement de nouveaux matériels.
– Publication régulière de Newsletteret de rapports sur l’état de l’enseignement du japonais en France.
– Echanges et coopération avec les associations analogues dans les pays européens.Coordonnées

Coordonnées

Bureau : Association des Enseignants de Japonais (AEJF)
bureau@aejf.asso.fr
c/o Hiroko OSHIMA
c/o UFR LCAO (Langues et Civilisations de l’Asie 
Orientale), 
Université Paris Diderot, Casier 7009 
5, rue Thomas Mann, 75205 Paris Cedex 13, France
(changement d’adresse en cours)

Bibliothèque Universitaire des Langues et Civilisations (BULAC)

La bibliothèque universitaire des langues et civilisations (BULAC) est une bibliothèque universitaire et patrimoniale, ouverte à tous, et spécialisée dans les langues et civilisations des aires culturelles du monde non occidental.

La BULAC est ouverte du lundi au samedi, de 10h à 22h, y compris pendant les vacances universitaires, et fermée les jours fériés (lundi de Pentecôte compris) ainsi qu’une semaine en décembre et 3 semaines en août.

La bibliothèque est accessible à tous, à partir de l’âge de 18 ans. Vous pouvez vous pré-inscrire sur place ou à distance. Vous devrez ensuite finaliser votre inscription à l’accueil de la BULAC en présentant une carte d’étudiant ou une pièce d’identité afin de pouvoir accéder aux espaces. Certaines places sont réservables pour les étudiants et les enseignants-chercheurs en sciences humaines et sociales des établissements partenaires de la BULAC. En savoir plus

Site Internet de la Bulac : ici

Domaine japonais

Ce domaine est composé de 62 000 ouvrages (40 000 ouvrages en japonais) et de 147 revues. Il est constitué de la réunion de quatre fonds issus de la Bibliothèque interuniversitaire des langues orientales (BIULO), de l’École française d’Extrême-Orient (EFEO),  et du Centre de recherches sur le Japon (CRJ) de l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) et de l’UFR des Langues et Civilisations de l’Asie orientale (LCAO) de l’université Paris Diderot. 

Page du Domaine japonais de la Bulac : ici

Chine, Corée, Japon (CCJ)

Chine, Corée, Japon (CCJ, UMR 8173)

Fondé en 2006, le laboratoire Chine, Corée, Japon (CCJ, UMR 8173) est un laboratoire du CNRS, de l’EHESS et de l’Université de Paris. C’est l’un des principaux laboratoires français dédiés à la recherche sur l’Asie orientale et septentrionale, à partir des études chinoises, coréennes et japonaises (mais aussi taïwanaises, mongoles et tibétaines), fort d’une quarantaine de chercheurs permanents et d’une cinquantaine de doctorants.

Recherche

Les recherches menées au sein du CCJ s’articulent autour d’une double structure. D’une part elles s’appuient sur les trois équipes qui sont les trois Centres de l’EHESS fondateurs de l’UMR (Centre d’Études sur la Chine Moderne et Contemporaine CECMCCentre de Recherche sur la Corée CRC et Centre de Recherche sur le Japon CRJ), structures fondamentales (et uniques en France) pour le développement des recherches et partenariats portant sur les trois grands pays de l’aire de civilisation concernée. Ces trois centres abritent chacun un centre de documentation spécialisé (au total 80 000 ouvrages), dont les collections, constituées pour plus de la moitié d’ouvrages en sciences humaines et sociales en langues locales, vont alimenter le Grand équipement documentaire (GED) du Campus Condorcet.

D’autre part, ces recherches se déploient en transversalité autour de quatre axes définis dans le projet quinquennal (Circulations & réseaux, L’habiter, Savoirs et techniques, Sociétés et États) renforcés par deux pôles méthodologiques (Humanités numériques, Cultures visuelles).

Mission du CCJ

Au-delà d’une démarche comparative ou d’études globales, la production d’une recherche fondamentale en sciences sociales est au cœur de sa mission. Elle implique une synergie entre d’une part un ancrage dans les sources et matériaux recueillis sur le terrain, et d’autre part l’ensemble des disciplines pratiquées dans le laboratoire — anthropologie, archéologie, économie, géographie, histoire, sociologie, pour ne citer que les principales—. 

Le profil du CCJ

Actuellement localisé sur plusieurs sites (boulevard Raspail et à la Maison de l’Asie), le CCJ se caractérise par la très forte internationalisation de ses recherches et des partenariats très développés avec l’Asie, ainsi que par une implication profonde dans la société civile par l’action individuelle des chercheurs (importante présence médiatique) et des projets spécifiques (UrbaChinaCityNKOR).

Le laboratoire pratique la formation à la recherche par la recherche ; il est très impliqué dans le Master « Études asiatiques », un parcours unique aujourd’hui en France. Les doctorants et jeunes chercheurs y sont formés en sciences humaines et sociales, avec l’exigence d’une compétence linguistique préalable.

Institut national des langues et civilisations orientales

Le Master « Etudes japonaises » a pour vocation de former des chercheurs, des experts, des acteurs de la vie professionnelle, ayant une solide connaissance de la langue et de la culture japonaises.
Le programme comprend des cours de perfectionnement linguistique de haut niveau répartis sur les deux semestres du M1 et le premier semestre du M2. L’étudiant reçoit dans ce cadre un entraînement à la pratique écrite et orale de la langue correspondant à une préparation au Niveau 1 du Japanese Language Proficiency Test.
Le Master propose par ailleurs un grand nombre de séminaires de recherche, sur les quatre semestres. Ceux-ci sont organisés au sein de quatre parcours-type :

A. Histoire, sociétés et territoires B. Linguistique
C. Lettres et arts
D. Parcours enseignement

Le Master « Etudes japonaises » étant conçu en partenariat par l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales (Inalco) et par l’Université de Paris, tous les séminaires proposés par l’Université de Paris sont ouverts aux étudiants de l’Inalco et réciproquement.
Grâce à de nombreuses conventions nouées avec d’autres institutions universitaires, l’étudiant peut compléter sa formation par des séminaires de spécialité suivis à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes (EPHE) ou à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) par exemple. Cette offre unique, soutenue par la proximité des grands établissements de recherche parisiens, permet à l’étudiant de recevoir une formation disciplinaire de premier plan, qui vient compléter les acquis linguistiques.

L’équipe pédagogique, composée de plus de trente spécialistes de langue, lettres, sciences humaines et sociales, assure une formation disciplinaire de pointe, sans aucun équivalent en Europe. Le Master s’insère en effet dans un environnement de recherche dynamique animé par deux grandes équipes de recherche : l’Institut Français de Recherche sur l’Asie de l’Est (Inalco, Université de Paris, CNRS) et le Centre de Recherches sur les Civilisations de l ‘Asie Orientale (CRCAO ; UMR 8155 ; CNRS/EPHE/Collège de France/Université de Paris).

Ces deux unités organisent de nombreuses manifestations (conférences, journées d’étude, colloques, etc.) tout au long de l’année. La participation à ces manifestations fait partie de la formation mastérale. Pour toute information, consulter les sites internet :

http://www.inalco.fr/equipe-recherche/ifrae et http://www.crcao.fr.

Les enseignements ont lieu sur le site PLC, 65 rue des Grands Moulins (Paris 13e ) pour les cours pris en charge par l’Inalco, et aux Grands Moulins, 5 rue Thomas Mann (Paris 13e) pour ceux pris en charge par l’Université de Paris. Certaines activités pourront se dérouler au 2 rue de Lille (Paris 7e).

Lien vers la brochure de la formation :

http://www.inalco.fr/sites/default/files/asset/document/formation_japonais_master_llcer_etudes_japonaises_2021-2022_0.pdf

Inalco – Diplômes d’établissement

L’Inalco propose aux étudiants de japonais trois diplômes d’établissement qui garantissent un certain niveau de maîtrise de la langue. Ils ne permettent pas la poursuite des études dans un cycle de master.

– Diplôme de langue et civilisation 1ère année :
il est constitué des enseignements de 1ère année du Bloc des Fondamentaux de la Licence.

– Diplôme de langue et civilisation 2ème année :
il est constitué des enseignements de 2ème année du Bloc des Fondamentaux de la Licence.

– Diplôme de langue et civilisation 3ème année :
il est constitué des enseignements de 3ème année du Bloc des Fondamentaux de la Licence.

Plus d’informations disponibles dans la brochure « licence » de l’établissement :

http://www.inalco.fr/sites/default/files/asset/document/formation_japonais_licence_llcer_2020-2021.pdf

Database for Japanese studies institutions, researchers and research trends 日本研究情報網 (国際日本文化研究センター)

Présentation

NIMOU (Japanese Studies Information Network, NIMOU) est une base de données de chercheurs et d’institutions du monde entier engagés dans les études japonaises, gérée par le Centre international de recherche sur les études japonaises (Nichibunken). Elle facilite les échanges entre les chercheurs et les institutions de recherche en études japonaises en aidant à saisir les tendances des études japonaises et les organismes académiques impliqués dans les études japonaises dans différents pays.

Lien vers la base de données ici.

Objectifs


NIMOU a pour objectif de promouvoir la coopération internationale en matière de recherche entre les chercheurs et les institutions de recherche impliqués dans les études japonaises. En raison du changement de génération et de la mobilité internationale croissante des chercheurs en études japonaises, la mise en réseau des chercheurs et des institutions devient chaque jour plus compliquée. C’est pourquoi Nichibunken a pour objectif de maintenir et de partager une plate-forme commune avec le public par le biais de NIMOU.

NIMOU est très utile pour localiser et contacter les chercheurs et les institutions japonaises, et peut faciliter la coopération interdisciplinaire au-delà des frontières nationales. Les principaux utilisateurs sont les chercheurs, les étudiants, le personnel universitaire, les agences gouvernementales et les médias impliqués dans les études japonaises. 

Quel type d’information disponible ?


Voici quelques-unes des informations primaires disponibles dans cette base de données.
1 Nom, affiliation, discipline et intérêts de recherche du chercheur individuel.
2 Localisation et coordonnées de l’institution à laquelle le chercheur est actuellement affilié.
3 Les activités de recherche de Nichibunken, et les dossiers des réalisations que Nichibunken a effectuées avec des chercheurs étrangers. 
4 Sélection d’articles publiés dans la revue Japanese studies around the world.
** Les articles 3 et 4 susmentionnés sont en cours d’élaboration.

Institut d’Etudes Transtextuelles et Transculturelles (IETT)

L’IETT est une équipe de recherche basée à Lyon, France (Équipe d’accueil EA 4186). La majorité de nos membres est issue du personnel enseignant de l’Université Jean Moulin Lyon 3. L’IETT est un de membres fondateurs des réseaux EastAsiaNet et E-NeW (Europe in a Networked World). L’IETT est aussi un membre du réseau d’excellence GIS (Groupement d’intérêt scientifique) Asie.

Lien vers le site Internet : ici

Université Bordeaux Montaigne – Licence LEA Anglais/Japonais

Description

La licence Langues étrangères appliquées (LEA) est une formation pluridisciplinaire exigeante, qui comprend l’étude approfondie de deux langues, dontl’anglais, et une deuxième langue parmi 9 langues possibles, plus des matières liées à l’entreprise comme l’économie et le droit, et du français.

Objectifs

La mondialisation des relations et des marchés implique l’émergence d’un nouveau profil de gestionnaire, capable de maîtriser plusieurs langues étrangères, de communiquer, de conduire des négociations et de gérer des projets au sein d’entreprises ou d’organisations, dans le respect et la connaissance de l’identité de l’autre. 

Il s’agit de former en trois ans de futurs cadres trilingues dans des domaines très divers : communication, tourisme, relations internationales, marketing, négociation interculturelle, commerce international. 

En LEA, on n’étudie pas la littérature, mais la civilisation, ainsi que l’économie, le droit et l’informatique appliquée : tous les volets du cursus langues et matières socio-économiques ont une importance égale. 

La licence LEA est une formation tournée vers l’international et «professionnalisante», notamment par le biais d’un stage obligatoire de 4 semaines minimum en 3ème année, en France ou à l’étranger.

Les + de la formation

La licence de japonais ( LCE & LEA) n’est pas destinée aux étudiants qui ne connaissent pas les Hiragana et Katakana. La mise à niveau de pré-rentrée (obligatoire), organisée du 7 au 9 septembre 2021, permet à l’étudiant qui n’a jamais appris l’écriture japonaise (Hiragana et Katakana) d’acquérir ces bases.

Plus d’informations disponibles sur le site de l’université ici.