Université d’Orléans – Master Langues et Société, parcours Langue, Transmission et Médiation Interculturelle (LTMI)

Les objectifs

Ce parcours d’études s’adresse à des étudiants spécialisés dans les langues-cultures, en particulier anglais et espagnol, tout en restant potentiellement ouvert également (parcours adaptés) à des étudiants n’ayant pas étudié l’espagnol.

Ce Master se fixe comme objectif d’ouvrir aux étudiants soit l’accès aux métiers de la médiation interculturelle au sens large, soit la possibilité d’une poursuite d’études dans le domaine de la recherche scientifique. Il s’agira pour les étudiants de développer leur autonomie de pensée, leur sens critique, leur ouverture d’esprit et leurs capacités interculturelles, en renforçant leur maîtrise des langues-cultures, et donc leur capacité à connaître et à faire partager les cultures étrangères, à comprendre les enjeux et interactions culturelles et à servir eux-mêmes d’interface linguistique et culturelle entre des interlocuteurs divers.

Au terme de cette formation, les étudiants auront approfondi les connaissances culturelles nécessaires à la compréhension des évolutions contemporaines au sein des aires anglophone et hispanophone et entre celles-ci, la maîtrise de savoirs théoriques indispensables pour aborder les questions interculturelles et un niveau élevé de connaissances en langues. La formation doit permettre aux étudiants de développer leurs capacités de recherche,etdoncd’étudecritique,d’analyseetde synthèse,exploitablesdansdesétudesdoctorales éventuelles comme dans divers environnements professionnels. Les étudiants seront ainsi formés aux techniques de la communication et de la rédaction multilingues et aux méthodes de recherche dans différents domaines (veille documentaire, utilisation de ressources documentaires et bibliographiques, analyse, interprétation et synthèse de données, connaissance des outils et produits numériques en rapport avec les compétences et domaines étudiés). La formation comprend un séjour ou un stage à l’étranger ou en milieu professionnel international.

Les métiers envisagés

Secteurs d’activités

– Recherche et enseignement universitaire (après études doctorales)
– Services culturels, culture et tourisme (entreprises et services culturels en France et dans le monde)
– Bureaux de recherche dans tous organismes ou entreprises à visée internationale
– Information et communication multilingue (communication d’entreprise ou d’organisme public ou privé
– Enseignement secondaire (après préparation et obtention d’un concours)
– Administration de la fonction publique et collectivités territoriales

Types d’emplois possibles
– Enseignant-chercheur (après doctorat)
– Métiers de la culture et du tourisme dans une perspective internationale ou d’accueil international
– Métiers de l’information, de la communication et de la médiation interculturelle : chargé de communication, chargé d’études dans des organismes publics ou privés, rédacteur-diffuseur dans le domaine de la médiation culturelle multilingue, conception/gestion de projets (inter)culturels, conseil culturel, veille documentaire internationale
– Professeur des collèges et lycées (après concours).

Modalités d’admission

Pour le master 1

Formation initiale :
La candidature est ouverte aux étudiants titulaires d’une licence LLCER Anglais ou Espagnol ou d’une licence LEA (via l’application e-candidat).
Dans le cas des étudiants venant de licences d’autres domaines obtenues en France ou à l’étranger, l’entrée se fera sur dossier, après décision de validation des acquis.
La formation est accessible dans le cadre de la formation continue (SEFCO).

Plaquette du Master : ici

Lien vers le site de la formation : ici

Lien vers le site de la section de japonais : ici

Université d’Orléans – Master LEA parcours Langues Affaires et Commerce International (LACI)

Langue A : anglais
Langue B : japonais (ou allemand, chinois, espagnol)

Les objectifs

Le parcours Langues, Affaires et Commerce International (LACI) est un cursus alliant l’apprentissage de deux langues vivantes et les techniques du commerce international. Il a pour objectif de former à un haut niveau de compétence en langues étrangères (anglais/allemand, anglais/espagnol, anglais/ japonais ou anglais/chinois), de donner aux étudiants des connaissances avancées dans les domaines qui touchent à l’export et au commerce international (droit international, analyses des risques, douanes, transport et logistique, etc.), et de proposer une large ouverture sur d’autres disciplines et cultures, ainsi que sur le monde professionnel.

La formation comprend deux stages en entreprise, l’un en M1, l’autre en M2, le dernier d’une durée de 3 à 6 mois. En M2 les étudiants réalisent une étude de marché, par groupes de quatre ou cinq étudiants. Pendant six mois ils préparent une étude proposée par une PME/ PMI de la région travaillant à l’international. Les résultats de leurs recherches font l’objet d’un mémoire et d’une soutenance devant un jury de professionnels. En deuxième année les étudiants ont la possibilité de faire le cursus en alternance.

Les métiers envisagés

Les étudiants formés par le Master LACI auront vocation à occuper des postes de cadres et spécialistes dans une PME/PMI française. Cependant, la qualité de la formation leur permettra, en outre, d’occuper des postes liés à l’export dans des entreprises à l’étranger. Les diplômés de ce master seront compétents dans les secteurs d’activités Commerce International et Marketing International, pour des postes tels que cadre export, responsable de zone export, responsable de service export, Chef produit, Chef de projet, Responsable achats, etc.

Modalités d’admission

Pour le master 1
La candidature est ouverte aux titulaires d’une licence LEA (via l’application e-candidat).Pour les étudiants titulaires d’une autre mention de licence : entrée après décision de validation des acquis. Il pourra être demandé d’effectuer certains rattrapages de façon à satisfaire à tous les pré-requis.

L’admission a lieu suite à une sélection. Le jury est constitué de membres (universitaires et professionnels) de l’équipe pédagogique. Les principaux critères de jugement sont les résultats universitaires, l’expérience professionnelle (stages et emplois), le niveau en langues étrangères ( l’anglais niveau B2/C1,langue 2 niveau B2) et le projet professionnel. Le jury est particulièrement attentif à la culture des affaires des candidats.

La formation est accessible dans le cadre de la formation continue et de l’alternance (SEFCO et CFA des Universités).

Plaquette du Master : ici

Lien vers le site de la formation : ici

Lien vers le site de la section de japonais : ici

Université Grenoble Alpes (UFR de Langues Étrangères) – Licence LEA Anglais/Japonais

L’université Grenoble-Alpes (UGA) propose d’obtenir une licence en 4 ans. La formation comprend ainsi une année préparatoire et intensive du japonais qui donne accès à la licence anglais-japonais ou aux doubles cursus avec la faculté de droit ou d’économie de Grenoble. Il est toutefois possible d’accéder directement à la première année sous conditions. Aussi, la 3e année de licence peut être validée dans une des nombreuses universités étrangères et bien entendu japonaises (une quinzaine de partenariat). 

Plan :

  • Licence en 4 ans : système « L1 débutant »
  • Les licences en 3 ans (prérequis nécessaire) : 
    a) Licence anglais-japonais
    b) Doubles licences
  • La mobilité internationale
  • Poursuite d’étude

Licence en 4 ans : système « L1 débutant »

L’UGA propose une année préparatoire « L1 débutant » dédiée à l’apprentissage du japonais pour les grands débutants. 

Ce dispositif a été créé il y a plus de 15 ans dans le but d’amener à la hausse sensible du niveau linguistique du japonais à la fin de la licence. Une solide compétence en deux langues (en anglais, langue internationale et indispensable, et en japonais, langue recherchée sur le marché du travail) et une très bonne connaissance en sciences économique et sociale constituent un atout important lors de la recherche d’emploi. 

Programme :

Stage, grammaire-traduction, pratique de la langue, écriture (kanji), labo. 

Volume horaire 186h/an (+ parcours en ligne de kanji)

Les cours de L1 débutant ne sont pas crédités, mais validés. La validation de la L1 débutant est nécessaire pour entrer dans la première année de licence.  

Toutefois, les personnes ayant déjà acquis une certaine compétence en japonais  (au lycée, échange international…) ont la possibilité d’entrer directement en première année de la licence (pour le prérequis, voir le point suivant).

Pour plus d’informations :
https://formations.univ-grenoble-alpes.fr/fr/catalogue-2021/licence-XA/licence-langues-etrangeres-appliquees-lea-IBBYMAX0/parcours-debutant-japonais-IBBYZR0X.html

Les licences en 3 ans (prérequis nécessaire) : 

Le prérequis pour entrer directement en première année de licence anglais-japonais ou en doubles licences sans passer par la L1 débutant est un niveau A2.1 (Cadre européen commun de référence pour les langues), soit au minimum un apprentissage de 200h, et une connaissance de 250 kanji environ. Un test de positionnement conditionne l’accès en L1 directement.

a) Licence LEA anglais-japonais 
La licence pluridisciplinaire LEA anglais-japonais propose un même nombre d’heures d’enseignement en anglais et en japonais (7,5 h x 2) avec les sciences sociales ou information et communication comme matière d’application. 

1)Le programme de la 1ère et de la 2e année comporte trois UEF : l’anglais (10,5 ects), le japonais (10,5 ects) et les sciences sociales * (6 ects) + une option (3 ects) qui peut être un enseignement transversal au choix ou une langue vivante 3 ou un sport

2)Le programme de la L3 prévoit en plus des trois UEF un UEF « Projet tutoré » et quatre UEF de spécialisation au choix de l’étudiant :
– UEF de spécialisation « Traduction spécialisée » (3 EC avec 9 ects au total)
– UEF de spécialisation « Management » (5 EC avec 9 ects au total)
– UEF de spécialisation « Coopération internationale » (5 EC avec 9 ects au total)
– UEF de spécialisation « Environnement, Ressources, Sociétés » ( 5 EC avec 9 ects au total)
+ une option (Enseignement transversal au choix, langue vivante 3, sport, stage), non-créditée mais bonifiée

Les UEF de spécialisation permettent aux étudiants de découvrir les secteurs professionnels associés aux disciplines, de préciser ainsi leur projet d’études et d’acquérir des compétences professionnelles dans le domaine choisi.

Pour plus d’informations :
https://formations.univ-grenoble-alpes.fr/fr/catalogue-2021/licence-XA/licence-langues-etrangeres-appliquees-lea-IBBYMAX0/parcours-anglais-japonais-IBC0MRKR.html

b) Doubles licences
L’UGA propose la préparation de doubles diplômes Langues-Droit ou Langues-Économie Gestion, sous condition d’une double inscription dans chacune des mentions choisies. Il s’agit d’une filière sélective.

La formation est pluridisciplinaire et professionnalisante. Elle a pour objectifs :
-L’acquisition de compétences culturelles et linguistiques en adéquation avec les matières professionnelles qui font la spécificité de cette licence appliquée aux affaires et commerce ou à l’information-communication
-L’acquisition de connaissances en marketing, comptabilité et commerce international en gestion, économie, droit, informatique, techniques de traductions pour valoriser les compétences linguistiques nécessaires dans les métiers à l’international

Le même système de L1 débutant est proposé pour l’apprentissage de la langue avant d’intégrer ce double cursus sélectif. 

Pour plus d’informations :
https://formations.univ-grenoble-alpes.fr/fr/catalogue-2021/licence-XA/licence-langues-etrangeres-appliquees-lea-IBBYMAX0/parcours-economie-et-gestion-ou-droit-langues-JQRXSNN6.html

La mobilité internationale

Les étudiants en LEA anglais-japonais ont la possibilité d’effectuer et de valider leur 3ème année de licence dans des universités japonaises (actuellement 15 universités partenaires), des universités européennes, ou hors d’Europe (UK, Islande, Singapour, Corée du sud, USA, Australie…).  Généralement, ils suivent les cours de langue et civilisation japonaises et les cours en sciences sociales en anglais proposés par ces universités. La sélection est basée sur le dossier établi par les candidats. 

Les universités japonaises partenaires de l’UGA ou de l’UFR de LE : 
Université de Hokkaido, Université de Tohoku, Université de Tokyo, Université de Tsukuba, Université de Nagoya, Université de Kyoto, Université d’Osaka, Université de Kyûshu, Université de Kobe, Université Nationale de Yokohama, Université de Tokyo des Études Étrangères (TUFS), Université Tokyo Gakugei, Université Seinan-Gakuin (Fukuoka), Université des Langues Étrangères de Nagoya (NUFS), Université Chûkyô (Nagoya), Université de Meiji (Tokyo), Université Internationale de Tokyo (TIU).

Poursuite d’étude

L’UFR LE de l’UGA propose deux masters :

– Traduction spécialisée multilingue avec label EMT

– Négociateur trilingue en commerce international

La licence LEA prépare à la poursuite dans des masters ou des emplois de secteurs professionnels très variés :

– Commerce international ;
– traduction ;
– relations et solidarités internationales ;
– information et communication (pour les mineures info-com) ; – tourisme ;
– et enseignement.

•Master LEA parcours traduction spécialisée multilingue Plus d’information (Programme, admission) => https://formations.univ-grenoble-alpes.fr/fr/catalogue-2021/master-XB/master-langues-etrangeres-appliquees-IBC9TA4H//parcours-traduction-specialisee-multilingue-IBCA6ED6.html?search-keywords=TSM

•Master LEA Parcours négociateurs trilingue en commerce international français- anglais-japonais => https://formations.univ-grenoble-alpes.fr/fr/catalogue-2021/master-XB/master-langues-etrangeres-appliquees-IBC9TA4H//parcours-negociateur-trilingue-en-commerce-international-IBCA03UW.html?search-keywords=TSM


Groupe d’étude de philosophie japonaise

Le Groupe d’étude de philosophie japonaise a commencé ses activités en 2001 au sein du Centre d’études japonaises de l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco, Paris). Depuis 2019, il fait partie de l’Institut français de recherche sur l’Asie de l’Est (Inalco/Université de Paris/CNRS). À ses débuts, les activités de recherche portaient principalement sur Nishida Kitarô, sur lequel trois des membres du Groupe ont soutenu leurs thèses de doctorat, deux en France, un en Suisse. Depuis, le champ de recherche s’est élargi à d’autres penseurs et philosophes japonais anciens et modernes, Dôgen, Kuki Shûzô, Miki Kiyoshi, Watsuji Tetsurô, Nishitani Keiji, ou encore Maruyama Masao. Des recherches en philosophie comparée ont aussi été menées. Les membres sont principalement des chercheurs et des doctorants venant de France, de Belgique, de Suisse, d’Allemagne, desÉtats-Unis et du Japon. Le Groupe organise plusieurs communications par an, en français ou en japonais.

Lien vers la page Internet du groupe : http://philosophiejaponaise.blogspot.com

« Asie Thèses », base de données du GIS Asie des thèses en sciences humaines et sociales portant sur l’Asie

Le GIS Asie a mis en place une nouvelle base de données à destination des personnes s’intéressant aux recherches sur l’Asie.

La base de données est accessible à cette adresse : http://www.gis-reseau-asie.org/fr/theses

Description :
La base de données Asie Thèses recense les thèses en sciences humaines et sociales sur l’Asie délivrées par un établissement français depuis 1970. L’aire géographique concernée va de l’Asie Centrale à l’Asie Extrême Orientale en passant par le sous-continent indien.

Cette base, créée et maintenue par le GIS Asie, contient les informations et notices des thèses présentes dans le SUDOC, et pour les travaux soutenus à partir de 2013, dans theses.fr. Son originalité : elle ne contient que des thèses sur l’Asie, un critère de recherche qui n’existe dans aucun autre catalogue.

Comment faire une recherche ? Différents filtres sont disponibles dans le menu ci-contre, qui peuvent être croisés pour affiner les résultats (si vous entrez plusieurs mots, l’opérateur par défaut est « ET »). Un outil d’export des résultats est actuellement en développement et sera disponible courant 2021.

Aujourd’hui, la base AsieThèses rassemble plus de 8300 thèses. Elle est incrémentée avec les thèses nouvellement soutenue tous les 6 mois. Si certains travaux ne sont pas répertoriés, n’hésitez pas à les signaler en écrivant à webmestre@gis-reseau-asie.org

Association des Enseignants de Japonais en France (AEFJ)

Présentation

Association des Enseignants de Japonais en France (AEJF)

L’AJF a pour but principal de promouvoir l’enseignement de la langue et de la civilisation japonaises et d’approfondir les échanges culturels entre la France et le Japon afin de contribuer à la compréhension mutuelle entre les deux pays.

Pour ce faire, elle a la vocation de faire état de l’enseignement du japonais en France et de tisser un réseau de relations permettant d’accroître la coopération et les échanges d’informations entreles enseignants.

Année de la création : Avril 1997
Publiée dans le Journal Officiel du 10 mai 1997

Activités de l’AEJF

◊ Collecte et diffusion des matériaux, documents et informations sur l’état de l’enseignement du japonais en France.

◊ Etablissement d’un réseau d’échanges entre les enseignants de japonais.

◊ Organisation de réunions d’études, de stages de formation sur l’enseignement de la langue et la culture japonaises.

◊ Promotion des échanges avec les organismes publics ou privés de l’enseignement du japonais, au Japon et dans les autres pays.

◊Projets de développement collectifs :
– Evaluation et analyse des matériels pédagogiques disponibles,élaboration et développement de nouveaux matériels.
– Publication régulière de Newsletteret de rapports sur l’état de l’enseignement du japonais en France.
– Echanges et coopération avec les associations analogues dans les pays européens.Coordonnées

Coordonnées

Bureau : Association des Enseignants de Japonais (AEJF)
bureau@aejf.asso.fr
c/o Hiroko OSHIMA
c/o UFR LCAO (Langues et Civilisations de l’Asie 
Orientale), 
Université Paris Diderot, Casier 7009 
5, rue Thomas Mann, 75205 Paris Cedex 13, France
(changement d’adresse en cours)

Bibliothèque Universitaire des Langues et Civilisations (BULAC)

La bibliothèque universitaire des langues et civilisations (BULAC) est une bibliothèque universitaire et patrimoniale, ouverte à tous, et spécialisée dans les langues et civilisations des aires culturelles du monde non occidental.

La BULAC est ouverte du lundi au samedi, de 10h à 22h, y compris pendant les vacances universitaires, et fermée les jours fériés (lundi de Pentecôte compris) ainsi qu’une semaine en décembre et 3 semaines en août.

La bibliothèque est accessible à tous, à partir de l’âge de 18 ans. Vous pouvez vous pré-inscrire sur place ou à distance. Vous devrez ensuite finaliser votre inscription à l’accueil de la BULAC en présentant une carte d’étudiant ou une pièce d’identité afin de pouvoir accéder aux espaces. Certaines places sont réservables pour les étudiants et les enseignants-chercheurs en sciences humaines et sociales des établissements partenaires de la BULAC. En savoir plus

Site Internet de la Bulac : ici

Domaine japonais

Ce domaine est composé de 62 000 ouvrages (40 000 ouvrages en japonais) et de 147 revues. Il est constitué de la réunion de quatre fonds issus de la Bibliothèque interuniversitaire des langues orientales (BIULO), de l’École française d’Extrême-Orient (EFEO),  et du Centre de recherches sur le Japon (CRJ) de l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) et de l’UFR des Langues et Civilisations de l’Asie orientale (LCAO) de l’université Paris Diderot. 

Page du Domaine japonais de la Bulac : ici

Chine, Corée, Japon (CCJ)

Chine, Corée, Japon (CCJ, UMR 8173)

Fondé en 2006, le laboratoire Chine, Corée, Japon (CCJ, UMR 8173) est un laboratoire du CNRS, de l’EHESS et de l’Université de Paris. C’est l’un des principaux laboratoires français dédiés à la recherche sur l’Asie orientale et septentrionale, à partir des études chinoises, coréennes et japonaises (mais aussi taïwanaises, mongoles et tibétaines), fort d’une quarantaine de chercheurs permanents et d’une cinquantaine de doctorants.

Recherche

Les recherches menées au sein du CCJ s’articulent autour d’une double structure. D’une part elles s’appuient sur les trois équipes qui sont les trois Centres de l’EHESS fondateurs de l’UMR (Centre d’Études sur la Chine Moderne et Contemporaine CECMCCentre de Recherche sur la Corée CRC et Centre de Recherche sur le Japon CRJ), structures fondamentales (et uniques en France) pour le développement des recherches et partenariats portant sur les trois grands pays de l’aire de civilisation concernée. Ces trois centres abritent chacun un centre de documentation spécialisé (au total 80 000 ouvrages), dont les collections, constituées pour plus de la moitié d’ouvrages en sciences humaines et sociales en langues locales, vont alimenter le Grand équipement documentaire (GED) du Campus Condorcet.

D’autre part, ces recherches se déploient en transversalité autour de quatre axes définis dans le projet quinquennal (Circulations & réseaux, L’habiter, Savoirs et techniques, Sociétés et États) renforcés par deux pôles méthodologiques (Humanités numériques, Cultures visuelles).

Mission du CCJ

Au-delà d’une démarche comparative ou d’études globales, la production d’une recherche fondamentale en sciences sociales est au cœur de sa mission. Elle implique une synergie entre d’une part un ancrage dans les sources et matériaux recueillis sur le terrain, et d’autre part l’ensemble des disciplines pratiquées dans le laboratoire — anthropologie, archéologie, économie, géographie, histoire, sociologie, pour ne citer que les principales—. 

Le profil du CCJ

Actuellement localisé sur plusieurs sites (boulevard Raspail et à la Maison de l’Asie), le CCJ se caractérise par la très forte internationalisation de ses recherches et des partenariats très développés avec l’Asie, ainsi que par une implication profonde dans la société civile par l’action individuelle des chercheurs (importante présence médiatique) et des projets spécifiques (UrbaChinaCityNKOR).

Le laboratoire pratique la formation à la recherche par la recherche ; il est très impliqué dans le Master « Études asiatiques », un parcours unique aujourd’hui en France. Les doctorants et jeunes chercheurs y sont formés en sciences humaines et sociales, avec l’exigence d’une compétence linguistique préalable.

Institut national des langues et civilisations orientales

Le Master « Etudes japonaises » a pour vocation de former des chercheurs, des experts, des acteurs de la vie professionnelle, ayant une solide connaissance de la langue et de la culture japonaises.
Le programme comprend des cours de perfectionnement linguistique de haut niveau répartis sur les deux semestres du M1 et le premier semestre du M2. L’étudiant reçoit dans ce cadre un entraînement à la pratique écrite et orale de la langue correspondant à une préparation au Niveau 1 du Japanese Language Proficiency Test.
Le Master propose par ailleurs un grand nombre de séminaires de recherche, sur les quatre semestres. Ceux-ci sont organisés au sein de quatre parcours-type :

A. Histoire, sociétés et territoires B. Linguistique
C. Lettres et arts
D. Parcours enseignement

Le Master « Etudes japonaises » étant conçu en partenariat par l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales (Inalco) et par l’Université de Paris, tous les séminaires proposés par l’Université de Paris sont ouverts aux étudiants de l’Inalco et réciproquement.
Grâce à de nombreuses conventions nouées avec d’autres institutions universitaires, l’étudiant peut compléter sa formation par des séminaires de spécialité suivis à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes (EPHE) ou à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) par exemple. Cette offre unique, soutenue par la proximité des grands établissements de recherche parisiens, permet à l’étudiant de recevoir une formation disciplinaire de premier plan, qui vient compléter les acquis linguistiques.

L’équipe pédagogique, composée de plus de trente spécialistes de langue, lettres, sciences humaines et sociales, assure une formation disciplinaire de pointe, sans aucun équivalent en Europe. Le Master s’insère en effet dans un environnement de recherche dynamique animé par deux grandes équipes de recherche : l’Institut Français de Recherche sur l’Asie de l’Est (Inalco, Université de Paris, CNRS) et le Centre de Recherches sur les Civilisations de l ‘Asie Orientale (CRCAO ; UMR 8155 ; CNRS/EPHE/Collège de France/Université de Paris).

Ces deux unités organisent de nombreuses manifestations (conférences, journées d’étude, colloques, etc.) tout au long de l’année. La participation à ces manifestations fait partie de la formation mastérale. Pour toute information, consulter les sites internet :

http://www.inalco.fr/equipe-recherche/ifrae et http://www.crcao.fr.

Les enseignements ont lieu sur le site PLC, 65 rue des Grands Moulins (Paris 13e ) pour les cours pris en charge par l’Inalco, et aux Grands Moulins, 5 rue Thomas Mann (Paris 13e) pour ceux pris en charge par l’Université de Paris. Certaines activités pourront se dérouler au 2 rue de Lille (Paris 7e).

Lien vers la brochure de la formation :

http://www.inalco.fr/sites/default/files/asset/document/formation_japonais_master_llcer_etudes_japonaises_2021-2022_0.pdf

Inalco – Diplômes d’établissement

L’Inalco propose aux étudiants de japonais trois diplômes d’établissement qui garantissent un certain niveau de maîtrise de la langue. Ils ne permettent pas la poursuite des études dans un cycle de master.

– Diplôme de langue et civilisation 1ère année :
il est constitué des enseignements de 1ère année du Bloc des Fondamentaux de la Licence.

– Diplôme de langue et civilisation 2ème année :
il est constitué des enseignements de 2ème année du Bloc des Fondamentaux de la Licence.

– Diplôme de langue et civilisation 3ème année :
il est constitué des enseignements de 3ème année du Bloc des Fondamentaux de la Licence.

Plus d’informations disponibles dans la brochure « licence » de l’établissement :

http://www.inalco.fr/sites/default/files/asset/document/formation_japonais_licence_llcer_2020-2021.pdf