Prix de thèse Okamatsu Yoshihisa

Présentation du prix de thèse Okamatasu Yoshihisa

Depuis 2016, la Société française des études japonaises (SFEJ) décerne chaque année le prix de thèse Okamatsu Yoshihisa récompensant une thèse de doctorat soutenue au cours de l’année civile. Le prix est doté d’un montant de mille euros.

Le jury est composé de spécialistes choisis par le Conseil de la SFEJ en fonction des thèses en compétition. Le vote final se déroule à bulletin secret. Le résultat des délibérations est annoncé à l’occasion de l’Assemblée générale de la SFEJ en décembre de chaque année.

Le prix est ouvert aux candidats de toutes nationalités.

Voir l’appel pour le prix de thèse 2021 (Appel Prix 2021)

Lauréats du prix depuis sa création :

Parution : Mutations paysagères de l’espace habité au Japon. De la maison au territoire

Mutations paysagères de l’espace habité au Japon. De la maison au territoire.

Auteurs :
Nicolas Fiévé, Yola Gloaguen et Benoît Jacquet (ed.)


Contributeurs :
Andrea Flores-UrushimaBenoît JacquetCorinne Tiry-OnoDelphine VomscheidEmmanuel MarèsGiada RicciNicolas BlanchardNicolas FiévéSoizik BechetoilleSylvie BrosseauWu XiaoxiaoYola Gloaguen

Éditeurs : Bibliothèque de l’institut des hautes études japonaises, Collège de France

Date de publication : 2020

Présentation :
Fruit d’un travail collectif mené par une douzaine de chercheurs réunis autour de Nicolas Fiévé, le présent ouvrage est une publication du programme de recherche « Mutations paysagères de la ville japonaise » conduit au sein du Centre de recherche sur les civilisations de l’Asie orientale (CRCAO UMR 8155). L’enquête épistémologique proposée dans le cadre de ce programme s’appuyait sur une réflexion commune sur les modes de conception et de production du paysage dans sa relation à l’architecture, et cela à partir de différentes échelles : la maison et le jardin, le quartier et la rue, la ville et les zones suburbaines. Une approche qui cherchait à comprendre les pratiques paysagères dans leur dimension historique, et dans la relation qu’elles entretiennent avec le monde naturel et végétal. L’un des objectifs du groupe de travail était de mettre en évidence des aspects méconnus de l’architecture et de l’urbanité japonaises, ainsi que des modes d’inscription et de transmission de la mémoire paysagère dans des villes en perpétuel renouvellement.

Appel : prix FFJ/Christian Polak du meilleur mémoire de master sur le Japon

Appel à candidatures
pour la sixième édition du Prix FFJ/Christian Polak
du meilleur mémoire de master sur le Japon

La Fondation France-Japon de l’EHESS a le plaisir d’annoncer le lancement de l’appel à candidatures de la sixième édition du Prix FFJ/Christian Polak du meilleur mémoire de master sur le Japon (soutenu au terme de l’année universitaire 2019-2020).
 
Le Prix 2021 FFJ/Christian Polak du meilleur mémoire de master sur le Japon a pour finalité de récompenser l’excellence et la valeur universitaires et scientifiques d’un mémoire de master soutenu dans un établissement d’enseignement supérieur français au cours de l’année universitaire précédant l’année de remise du prix. Grâce au soutien de M. Christian Polak, la Fondation peut ainsi verser au ou à la lauréat·e du Prix le montant de 2 000€.

Critères d’éligibilité du mémoire :
– Concerner le Japon dans une perspective aréale ou comparée
– Avoir été soutenu dans un établissement français au terme d’un cursus de master et au terme de l’année universitaire 2019-2020
– Appartenir à une discipline des sciences humaines et sociales
Dossier à envoyer avant le 30 octobre 2020, minuit :
– Intégralité du mémoire
– Résumé d’une page du mémoire Avis motivé du directeur ou de la directrice de mémoire à l’attention du Comité de sélection du Prix FFJ/Christian Polak
– Curriculum vitae
– La version papier du dossier doit être envoyée à :
Fondation France-Japon de l’EHESS
54, boulevard Raspail
75006 Paris

Les pièces de la version numérique du dossier doivent être envoyées sous format PDF et nommées « nom-type » à : prixpolak_ffj@ehess.fr.

Les résultats seront rendus publics en janvier 2021 et la remise du Prix se tiendra à Paris après le conseil de gestion de la Fondation France-Japon de l’EHESS.

Le règlement intégral du Prix FFJ/Christian Polak est accessible sur le site de la Fondation France-Japon de l’EHESS.

En bref :

Date limite des candidatures : mercredi 30 octobre 2020, minuit
Envoi du dossier numérique : prixpolak_ffj@ehess.fr
Envoi du dossier papier : Fondation France-Japon de l’EHESS
54 boulevard Raspail 75006 Paris

Séminaire de recherche de l’IAO, Lyon (automne 2020)

Voici le programme du Séminaire de recherche de l’Institut d’Asie Orientale pour l’automne 2020. Ce séminaire voit la participation d’invités exposant leur recherche, six séances par semestre. Cet automne, les trois dernières séances porteront sur l’Asie du Sud-Est afin de proposer quelques éléments pour les candidat.e.s à l’Agrégation de Géographie, dont c’est le sujet cette année. L’ensemble des séances seront en visioconférence du fait de la situation sanitaire ; il est nécessaire de contacter Arnaud Nanta (arnaud.nanta@ens-lyon.fr) au préalable pour y assister.

* Vendredi 2 octobre 2020, de 14h-15h30 : « La fin du rêve migratoire : transformation de la relation économico-morale avec la diaspora dans un ancien village d’émigration, Shenzhen (Chine) », par Anne-Christine Trémon, anthropologue de la Chine, maître d’enseignement et de recherche à l’université de Lausanne

* Vendredi 16 octobre 2020, de 14h-15h30 : « Où en est la classe ouvrière chinoise ? Le cas de l’industrie du prêt-à-porter », par Gilles Guiheux, professeur à Université de Paris, chercheur au CESSMA et membre senior de l’IUF

* Vendredi 13 novembre 2020, de 14h à 15h30 : « Japon-Chine, d’une bulle immobilière à l’autre ? », par Natacha Aveline, directrice de recherche au CNRS

* Vendredi 27 novembre, de 14h à 15h30 : « L’islam en Asie du Sud-Est : réflexions géo-historiques », par Rémy Madinier, chercheur au CNRS, historien de l’Indonésie contemporaine. Il a notamment publié : L’Indonésie, entre démocratie musulmane et Islam intégral (Karthala, 2012)

* Vendredi 11 décembre, de 14h à 15h30 : « Donner naissance au Viêt Nam : quelle est la place des femmes ? », par Myriam de Loenzien est socio-démographe et directrice de recherches au Ceped (université de Paris-IRD)

* Vendredi 18 décembre 2020, de 14h-15h30 : « Migrations et intermédiations migratoires entre les empires français et japonais en Asie-Pacifique, 1870-1954 », Frédéric Roustan, historien, spécialiste du Japon, maître de conférence à l’Université Lumière Lyon 2

Page internet du séminaire de l’IAO : https://iao.cnrs.fr/manifestations/seminaire-iao/

Parution : Apprentissage d’une langue éloignée: analyse des erreurs d’apprenants francophones

Apprentissage d’une langue éloignée: analyse des erreurs d’apprenants francophones – Didactique des langues et plurilinguisme

Resp. scientifiques : 
Hiroko Oshima, Jean Bazantay, Rémy Porquier

Contributeurs :
 Jean Bazantay, Tomoko Higashi, Kayoko Iwauchi, Jin-Ok Kim, Martine Marquilló Larruy, Yayoi Nakamura-Delloye, Viet Anh Nguyen, Fumi Omuro-Ito, Hiroko Oshima, Rémy Porquier, Smilauer Ivan, Adeline Tan, Pascale Trévisiol-Okamura, Kazuko Ushiyama, Marzena Watorek

Éditeur : Lambert-Lucas

Date de publication : août 2020

Présentation :
Cet ouvrage rassemble les communications présentées lors du colloque « Analyse des erreurs de francophones apprenant une langue éloignée » qui s’est tenu les vendredi 5 et samedi 6 février 2016 à Paris, à l’Inalco et à l’Université Paris Diderot (aujourd’hui Université de Paris).
Au croisement des recherches en didactique et en acquisition des langues, l’erreur est au centre de tout enseignement-apprentissage d’une langue et soulève de nombreuses interrogations, d’autant plus épineuses lorsqu’elles concernent l’apprentissage de langues éloignées de celle de l’apprenant.
Après deux chapitres introductifs proposant un cadrage théorique sur la notion d’erreur et un tour d’horizon de son exploitation en acquisition des langues depuis un demi-siècle, sont présentés des travaux originaux portant sur les langues japonaise, chinoise, coréenne, vietnamienne, polonaise et tchèque. Les principales thématiques abordées sont la localisation, le déplacement et le changement, le traitement de l’autre dans certaines langues asiatiques, ainsi que diverses questions de morphologie. La question des erreurs n’est pas abordée dans une perspective évaluative ou directement corrective mais comme un terrain d’observation et un levier d’investigations sur les difficultés naturellement associées aux processus d’apprentissage d’une langue non voisine.
Ainsi, au-delà des particularités de chaque langue, cet ouvrage pose de premiers jalons pour l’étude des spécificités de l’acquisition de langues éloignées par des francophones. En outre, le contraste avec des langues et cultures typologiquement très différentes et la mise en évidence de phénomènes récurrents révèlent certaines spécificités du français non appréhendées par des comparaisons avec des langues typologiquement voisines.

Lien vers le site de l’éditeur : ici

Parution : Ôoka Shôhei, Mon Stendhal

MON STENDHAL

Auteur : Ôoka Shôhei

Traduction et édition critique par Julie Brock. Préface de Philippe Berthier. Postface de Cécile Sakai

Editeur : Honoré Champion Collection : littératures étrangères

Date de publication : 12 juin 2020

Présentation :
Ôoka fut un spécialiste de Stendhal avant de devenir l’un des grands écrivains japonais d’après-guerre. Depuis sa première lecture de La Chartreuse de Parme en 1933 jusqu’à sa mort en 1988, il ne cessa d’approfondir sa recherche sur la vie et l’oeuvre de Stendhal. Mon Stendhal est un recueil des articles qu’il a publiés sur ce sujet dans les magazines littéraires de l’époque. Chacun éclaire un aspect singulier de la vie et de l’oeuvre de Stendhal, souvent au prisme d’un critique français (Taine, Balzac, Thibaudet, etc.) ou japonais (Ueda Bin, Mori Ôgai, Tanizaki Jun’ichirô, et bien d’autres auteurs qui ont contribué à la réception de Stendhal au Japon à partir de 1900). Interrogeant le point de vue de chacun, Ôoka écrit pour ainsi dire une histoire de la réception de Stendhal en France et au Japon. En même temps, il développe et approfondit une question qui intéresse tous les lecteurs de littérature : quelle est la nature de l’amour que suscite en nous la lecture d’une oeuvre littéraire ?

À travers le prisme de ce témoignage, le lecteur pourra appréhender l’évolution de la critique et de la pensée littéraires au Japon tout au long du XXe siècle. Il pourra découvrir en filigrane les fondements de la pensée romanesque d’Ôoka Shôhei, et même, en retournant le miroir, interroger son propre rapport à la littérature sous l’angle singulier de l’amour qu’il porte lui-même à ses auteurs d’élection.

Traductrice :
Julie Brock est professeur à l’Institut de Technologie de Kyôto. Spécialiste en esthétique, en littérature japonaise, en littérature comparée et en traductologie, elle vit et travaille au Japon depuis une trentaine d’années. Elle a dirigé plusieurs équipes de recherche et publié de nombreux travaux. En présentant au public français ce témoignage d’un grand écrivain à propos d’un autre, elle apporte un document indispensable aux chercheurs en littérature japonaise moderne et contemporaine, aux chercheurs en études stendhaliennes, à ceux qui s’intéressent à la question du roman, et de manière générale, à tous les amoureux de la littérature.

Lien vers le site de l’éditeur : ici

Parution : L’histoire du poète qui devint un dieu

L’Histoire du poète qui devint un dieu
– Récit de fondation –

Traduit du japonais et présenté par Eric Faure Préface de François Macé

Éditeur : L’Harmattan Collection : Lettres japonaises

Date de publication : 29 juin 2020

Présentation :
Tenjin-san, « L’Honorable Dieu Céleste », est sans doute le kami le plus populaire du panthéon des divinités autochtones du Japon. Cependant, Tenjin-san n’a pas toujours été un dieu. Il fut d’abord un homme : Sugawara no Michizane (845-903). C’est dire l’importance de cette traduction inédite d’un récit de fondation du XIIe siècle et qui retrace la vie et les miracles de ce poète devenu un dieu et dont le culte a exercé une influence considérable sur le Japon et les Japonais.

Traducteurs :
Éric Faure est professeur des universités Ritsumeikan et Doshisha de Kyôto, et il est titulaire d’une thèse de doctorat en études japonaises de l’Inalco.

Lien vers le site de l’éditeur : ici

Lien vers la couverture du livre : ici

Suivi des recrutements MCF 2021

Cette page vise à centraliser les informations concernant recrutements de maîtres de conférences et professeurs en études japonaises pour la session synchronisée 2021.

L’objectif est donc de rassembler ici les informations suivantes:

  • nom, numéro et profil du poste
  • composition du comité de sélection
  • dates des différentes étapes
  • recrutement définitif

La liste des postes publiés est disponible sur le site galaxie.

Postes de MCF

Université Aix-Marseille

Fiche de poste

Référence Galaxie : n°938

Comité de sélection : Internes : Pauline Cherrier (P), Arnaud Brotons, Homa Lessan Pezechki, Arthur Mitteau, Jade Nguyen, Isabelle Renaudet ; Externes : Yannick Bardy, Noriko Berlinguez-Kono, Jean-Michel Butel, Eric Guerrassimof, Isabelle Konuma, Sarah Terrail-Lormel

Dates de réunions : 15/04/2021 ; 10/05/2021

Nombre de candidat.e.s auditionné.e.s : 6

Résultat validé par le CA : 1. Kanae Sarugasawa ; 2. Edouard L’hérisson ; 3. Clara Wartelle ; 4. Grégoire Sastre

INALCO

Fiche de poste

Référence Galaxie : n°4178

Comité de sélection : Internes : Estelle Leggeri-Bauer (P),Jean-Michel Butel, Sébastien Colin, Catherine Gery, Françoise Robin ; Externes : Julien Bouvard, Mathias Hayek, Cléa Patin, Sandra Schaal, Kazuhiko Yatabe

Dates de réunions : 06/05/2021 ; 25/05/2021

Nombre de candidat.e.s auditionné.e.s : 6

Résultat validé par le CA : Procédure invalidée par le CA restreint par une décision du 2 juillet 2021

Université de Paris

Fiche de poste

Référence Galaxie : n°137

Comité de sélection : Internes : Cécile Sakai Mink (P), Daniel Struve (VP), Anne-Lise Mithout, Julien Martine, Sébastien Billoud ; Externes : Sandra Schaal, Guillaume Carré, Hélène Le Bail, Mélanie Hours, Laurent Nespoulous

Dates de réunions : 02/04/2021 ; 05/05/2021

Nombre de candidat.e.s auditionné.e.s : 4

Résultat validé par le CA : 1. César Castellvi ; 2. Kanae Sarugasawa ; 3. Edouard L’hérisson

[Parution] Guide illustré des produits renommés des monts et mers du Japon (Nippon sankai meisan zue)

Guide illustré des produits renommés des monts et mers du Japon (Nippon sankai meisan zue), traduit et annoté par Annick Horiuchi, Daniel Struve et Charlotte von Verschuer.

Editeur : Collège de France

Collection :  Institut des civilisations

Publication : 2 juin 2020

Ouvrage disponible à l’adresse suivante : ici

Présentation :
Le Guide illustré des produits renommés des monts et mers du Japon relève du genre des albums illustrés qui connaît une grande vogue au Japon à l’époque d’Edo (1600-1868). Composé de cinq fascicules, le livre est imprimé en 1799 et publié à Ōsaka. Les produits répertoriés sont aussi bien des produits naturels, issus de la chasse ou de la pêche, que des produits fabriqués ou transformés comme la porcelaine, le saké, la chaux, la bonite séchée, etc. L’une des raisons du succès de cet ouvrage réside dans les illustrations de grand format, réalisées par le peintre Shitomi Kangetsu, qui pourrait également avoir été l’auteur du texte. Elles offrent un tableau particulièrement vivant des scènes de fabrication, de récolte ou de capture de ces produits, qui vient en appui aux descriptions détaillées et techniques du texte.

Auteurs :
Annick Horiuchi (Traducteur) Professeure à l’Université de Paris, membre du CRCAO, ses recherches portent sur l’histoire des savoirs du Japon prémoderne (xviie-xixe siècles). Elle a co-dirigé avec Matthias Hayek, Listen, Copy, Read: Popular Learning in Early Modern Japan (Brill, 2014).

Daniel Struve (Traducteur) Professeur à l’Université de Paris, membre du CRCAO, ses recherches portent sur l’œuvre d’Ihara Saikaku, la littérature de l’époque d’Edo (xviie-xixe siècles) et l’histoire de la prose classique japonaise. Il est l’auteur de Ihara Saikaku, un romancier japonais du xviie siècle (PUF, 2001) et co-auteur avec Jean-Jacques Tschudin du Littérature japonaise (coll. « Que-sais-je ? », 2016).

Charlotte von Verschuer (Traducteur) Directrice d’études à l’École pratique des hautes études PSL, membre du CRCAO, ses recherches portent sur l’histoire du Japon ancien et médiéval et ses livres traitent des relations diplomatiques et commerciales du Japon avec la Chine et de l’histoire agricole du Japon.

Parution : Encyclopédie des historiographies. Afriques, Amériques, Asies

ENCYCLOPÉDIE DES HISTORIOGRAPHIES : AFRIQUES, AMÉRIQUES, ASIES – Volume 1 : sources et genres historiques (Tome 1 et Tome 2)

Direction de l’ouvrage:
Nathalie Kouamé, Éric P. Mayer & Anne Viguier

Éditeur : Presses de l’Inalco

Date de publication : 2020

Présentation :
Quels rapports les sociétés humaines entretiennent-elles avec leur passé et quels récits font-elles du temps révolu ? Pour ce premier volume de l’Encyclopédie des historiographies. Afriques, Amériques, Asies, 157 spécialistes représentant 88 institutions académiques en France et dans le monde explorent l’univers des productions humaines qui constituent des sources pour l’historien et déchiffrent les nombreuses modalités (« scientifiques », littéraires, artistiques, monumentales…) de l’écriture du passé. Évoquant tour à tour l’Afrique, l’Amérique latine, l’Asie, l’Océanie, les 216 notices de l’ouvrage présentent des matériaux historiques de toute nature, issus de toutes les époques, souvent méconnus, ainsi que l’histoire de leurs usages. L’entreprise collective qu’est l’Encyclopédie se veut novatrice : il s’agit de susciter une réflexion historiographique résolument non-occidentalo-centrée qui complète utilement les démarches épistémologiques traditionnelles. Nouvel outil de connaissance historique forgé à l’heure de la mondialisation, l’Encyclopédie des historiographies est aussi une véritable invitation au voyage.

Page sur le site de l’éditeur : ici
Ouvrage en accès ouvert sur OpenEdition : ici